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Dans un communiqué de presse, le Mouvement Franche-Comté de Jean-Philippe Allenbach, candidat déclaré à l’élection municipale de mars prochain, se dit « consterné par l’injonction que vient de donner le maire de Besançon aux commerçants de la Boucle de retirer les panneaux publicitaires qui se trouvent devant leurs magasins, et ce,  au nom de la bonne image de la ville en secteur sauvegardé Â».

Et de poursuivre : «  après le récent doublement des amendes de stationnement,  cela ne fait jamais que s'inscrire dans la politique "anti-commerçants" menée à Besançon depuis plus de 15 ans Â». 

Pour fêter ses 100ans, Habitat 25 l’organisme de logement social, propose une exposition à Pontarlier jusqu’au 7 novembre.

L’exposition retrace l’histoire du logement social au cours du dernier siècle à travers l’œil du quartier des Pareuses de 1923 à aujourd’hui.
« Quand Habitat 25 a acheté le camp des Pareuses qui était alors un camp militaire, les logements militaires étaient occupés uniquement pendant l’été par l’armée. Les habitants de Pontarlier profitaient alors de leur départ pour récupérer les logements vacants Â» explique Lucie Louvet responsable communication d'Habitat 25.
Le choix est alors fait de créer 64 logements sur ce terrain-là. Au fur et à mesure du temps et après la seconde guerre mondiale, le quartier a connu de nombreux changements avec notamment la création de barre d’immeubles. Depuis des rénovations « moins visibles Â» telles que des mises aux normes ont été réalisées.

L’exposition est accessible dans la salle Annexe des Annonciades au centre-ville de Pontarlier tous les jours de 14h à 17h30, sauf vendredi, samedi et dimanche. L’exposition est proposée jusqu’au 7 novembre.

Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés à midi aujourd’hui pour secourir un homme et son chien au rocher du Dart à Bolandoz.

L’homme et son chien étaient en difficultés dans une pente à fort dénivelé.

Les secours se sont rendus sur place avec une équipe spécialisée.

A peine terminé le mois de sensibilisation Octobre rose, place désormais à Movember, mois dédié à la lutte contre les cancers masculins.
Movember se déroule tout au long du mois de novembre pour sensibiliser les hommes au cancer de la prostate. Pour participer à cette campagne de sensibilisation, les hommes sont invités à se laisser pousser barbe et moustache.

Dans le cadre de Movember, le CHU de Besançon organise deux événements le jeudi 7 novembre : La Prostate Tour, structure gonflable géante qui sera installée au CH Minjoz et une pièce de théâtre au Scénacle, L’Ablation.

Rappelons que le cancer de la prostate est aujourd’hui le premier cancer masculin. 48 000 nouveaux cas sont détectés chaque année en France. Un homme sur huit est concerné par cette maladie et 8 000 décès sont liés à ce cancer chaque année.

La structure gonflable, Prostate Tour « est une approche atypique et ludique de l’anatomie masculine qui consiste à visiter une prostate géante. La structure a été conçue dans le but de sensibiliser le plus grand nombre aux maladies de la prostate, mais aussi d’aider les personnes concernées à reconnaître les signes qui doivent alerter et les informer sur l’intérêt d’un diagnostic précoce Â».
Des visites sont organisées en présence de professionnels de 10h à 17h dans le hall de l’hôpital bisontin.

Deux mini-conférences sont aussi organisées à la bibliothèque de l’hôpital. La première concernant l’actualité liée au cancer de la prostate à 13h30 et la seconde sur la sexualité et le cancer de la prostate à 15h30.

Plus d’informations sur https://www.chu-besancon.fr/

En parallèle du Plan Régional d’Insertion des Travailleurs Handicapés (PRITH) de la Direccte Bourgogne-Franche-Comté, l'Agence Régionale de Santé (ARS) souhaite œuvrer pour l'insertion professionnelle des travailleurs en situation de handicap. Une enquête a été conduite en fin d'année 2018 auprès d'une douzaine d'établissements et services d'aide par le travail (ESAT) dans la région. Elle visait différentes problématiques d'organisation de ces organismes et la façon dont ces derniers conciliaient économie et accompagnement médico-social. Grâce à certaines réponses, l'ARS affiche l'ambition de "proposer une palette de services internalisés et externalisés pour des parcours fluides et durables des personnes en situation de handicap".

 

Un plan d'action régional

Dans le lot, on retrouve des formations en alternance qui pourraient être proposées aux travailleurs d'ESAT. L'agence déclare également vouloir accompagner des jeunes issus de différents instituts spécialisés dans des services civiques en milieu ordinaire, afin de "casser le systématisme du parcours en milieu protégé". Ces projets ont un but précis : l'adaptation d'un système aux personnes en situation de handicap. Voilà pourquoi l'ARS aimerait également une généralisation du dispositif emploi accompagné (DEA). Le déploiement se fait depuis début 2018. Il permet aux personnes handicapées d'être suivies par un "job coach" dès la création du projet professionnel et après l'insertion en entreprise. Le poste peut alors être adapté selon les besoins du travailleur.

En plus de proposer, l'agence dit également soutenir les différentes formations des responsables en entreprise et le développement de leurs locaux, ainsi qu'un réseau inter-gestionnaires départemental favorisant l'insertion professionnelle des jeunes.

 

Les ESAT en Bourgogne-Franche-Comté

Crées à partir de la centralisation des services proposés aux personnes avec handicap et d'abord appelé "Centre d'aide par le travail" (CAT), un ESAT peut être perçu de deux façons différentes. Comme "refuge" après une expérience compliquée en milieu non-protégé ou en tant que "tremplin" afin de faciliter l'accès au travail. La région compte 72 établissements en tout, dont 13 dans le Doubs et 6 dans le Jura. L'ARS aimerait placer ces ESAT "au cœur des dynamiques économiques et territoriales" et pour se faire, elles réfléchit à une approche avec les entreprises adaptés afin de conquérir de nouveaux marchés. Ces dernières s'engagent à employer au minimum 80% de travailleurs handicapés et sert principalement de passerelle vers les entreprises "classiques". La région en compte actuellement 25 au total.

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