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Ce jeudi, lors d’un contrôle routier, un véhicule a été intercepté par la patrouille de police pontissalienne. Le conducteur roulait alors que son permis avait été annulé sur décision judiciaire. Il roulait également sans assurance.

Entendu, l’homme est en attente d’une réponse pénale.

Dans la suite d’un projet de classe, Lou-Eléonore et Brandon, deux étudiants en STAPS à Besançon, viennent de réaliser un vidéo clip pour dénoncer les féminicides et les crimes passionnels. Les deux jeunes, aidés par Clément pour le tournage, ont pensé qu’à travers la danse, ils pouvaient faire passer des émotions et sensibiliser le grand public à ces drames qui gangrènent notre société.

Les  jeunes artistes n’ont pas ménagé leurs efforts pour cette réalisation. Durant trois semaines, pour donner naissance à ce projet qui leur tient particulièrement à cœur, ils ont pensé la chorégraphie, la mise en scène et le tournage. « Cela nous révolte. On ne comprend pas comment cette violence est encore possible aujourd’hui. Des actions se mettent en place, mais nous voulions, nous aussi, à notre échelle, faire un petit geste et témoigner de notre soutien aux victimes » expliquent-ils.

La production est réussie. Elle ne laisse pas indifférent. Bien au contraire. Désormais Lou-Eléonore, Brandon et Clément espèrent que leur création sera appréciée et qu’elle trouvera son public. Néanmoins, ces étudiants ne cherchent pas la gloire, ils espèrent tout simplement apporter modestement leur contribution à cette lutte et faire cesser cette violence, omniprésente dans notre société et relayée dans la presse nationale et locale.

Pour voir la vidéo : https://www.facebook.com/loueleonore/videos/2808792919160352/UzpfSTEwMDAwMDg5MDE1NTI2MDozMDYwNjExMjk0OTk0MTQ6MTA6MDoxNTc1MTg3MTk5OjI5NzU0ODk2NzU2NjY1NTI2Mg/

Pour la 18è année consécutive, l’association Recidev organise son marché de Noël Solidaire à Besançon. Pour cette nouvelle édition, 49 associations, qui œuvrent dans le domaine de la solidarité, seront présentes square Saint-Amour.

Cette année encore, le public pourra donner du sens à ses présents de fin d’année. Car sur place, les visiteurs trouveront de nombreuses idées cadeaux. Des produits réalisés par des artisans locaux, auxquels seront reversés une partie de l’argent récolté lors des ventes. L’argent perçu permettra aussi aux associations de financer leurs différents projets en France ou à l’étranger. Il y en aura pour tout le monde : bijoux, vêtements, sculptures, objets de cuisine, livres, jouets, … .

Par ailleurs, à la mi-journée, les visiteurs pourront s’évader, grâce à la découverte de traditions culinaires, qui transporteront les gourmands dans différentes parties du globe : France, Mali, Rwanda, Cameroun, Madagascar. Soit onze saveurs à découvrir sans modération.

Le marché de Noël solidaire de Besançon se tiendra jusqu’au 15 décembre, square Saint-Amour. Rendez-vous tous les jours de 10h à 19h30. A partir de 14h le lundi.

Deux accidents se sont produits cet après-midi sur l'A36. Le premier impliquait un poid-lourd seul qui a percuté la barrière de sécurité. le chauffeur n'a pas été blessé. Suite à une fuite de gazoil qui s'écoulait du réservoir dans l'apluviome central de l'autoroute, la circulation a été coupée sur les deux voies de gauche. La fuite a pu être arrêtée. 

Quant au deuxième accident, il s'est produit à hauteur d'Exincourt. Deux véhicules se sont percutés. Aucun blessé n'est à déplorer.

La Police Nationale du Doubs lance un appel à témoins sur son compte Twitter pour tenter de résoudre le "Cold Case" de l’affaire Virginie Raymond.

Le 20 octobre 1987, la jeune fille alors âgée de 16 ans était assassinée de 14 coups de couteau à son domicile de Besançon.
“La Police Judiciare de Besançon recherche tous les témoignages qui permettraient de résoudre ce “cold case” et d’identifier l’auteur de cet assassinat”.

La police recherche des témoignages de personnes habitant aux abords du 134, rue de Belfort et du 8, rue Schweitzer en 1987. Toute personne également ayant pu apercevoir Virginie en octobre 1987 à Dijon, ou toutes femmes, nées entre 1964 et 1976 qui auraient été accostées par un homme pour des séances photos.

Si vous avez la moindre information vous pouvez joindre la police judiciaire de Besançon au 03.80.44.58.70.

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