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Une procédure est en cours à Pontarlier. Elle concerne un jeune homme de 19 ans qui a accumulé les infractions et les délits. Les faits ont été constatés le 25 janvier dernier, vers 6h30, alors que sa conduite était très hésitante.

Le jeune homme, qui conduisait sans permis de conduire, présentait un taux de 0,70 gramme d’alcool par litre de sang. Le test lié à la consommation de cannabis s’est révélé positif. Il a d’ailleurs reconnu avoir fumé un joint la veille. Le jeune conducteur a été placé en garde à vue. Il en ressorti depuis.

Une femme de 30 ans devra répondre prochainement de ses actes. Le 24 janvier dernier, vers 23h, dans le secteur de Pontarlier, elle téléphonait à proximité de sa voiture accidentée, entre le rond-point des quatre chemins et la fruitière de Doubs.

Il est apparu qu’elle était alcoolisée et qu’elle avait dégradé du mobilier urbain lors de son accident. Elle présentait un taux de 1,40 gramme d’alcool dans le sang. Elle est toujours hospitalisée. Elle sera entendue à sa sortie.

Au sein de l’Espace Communautaire Lons Agglomération (ECLA), on s’active en faveur de la transition écologique. Au départ, deux groupes de travail se sont interrogés sur les façons de moins consommer et la mise en place d’initiatives concernant les énergies renouvelables. Si le photovoltaïque est apparu comme une solution pertinente, le souhait était également d’ajouter les citoyens dans le projet, « pour que la population s’approprie le projet Â» explique Pierre Grosset, vice-président à l’environnement au sein de l’ECLA. C’est en ce sens que le projet de centrales villageoises a émergé.

Ces dernières sont définies comme « une démarche participative et citoyenne Â» par le vice-président. Elles consistent en des territoires équipés pour produire de l’énergie grâce à celles renouvelables, sous une gouvernance partagée entre collectivités et citoyens. Pour l’agglomération de Lons-le-Saunier, si les territoires n’ont pas encore été choisis, c’est bien parce que la parole sera laissée à la population et aux acteurs locaux durant deux réunions d’informations. Elles se dérouleront aux salles des fêtes de Vevy, le mardi 28 janvier à 18h30 et de Macornay, le jeudi 6 février à 20h30. Il sera question d’informer le grand public mais également de former des équipes motivées, qui recenseront, dans leurs commune respectives, les endroits disponibles pour accueillir des panneaux photovoltaïques.

 

 

Une solution… qui doit en emmener d’autres

Pour l’instant, aucun objectif n’est vraiment arboré par l’ECLA. « Les limites dépendent souvent du financement, affirme Pierre Grosset. Et comme celui-ci est participatif, si un certain nombre de citoyens ont envie de prendre part au projet, la collectivité pourra compléter par la suite Â». Un projet ambitieux que le vice-président relativise tout de même. « Il ne faut pas non plus s’illusionner sur les capacités de cette solution. Elle doit s’accoupler avec d’autres Â». En effet, même si ces centrales villageoises voient le jour dans l’agglomération, il faudra faire un travail sur les façons de consommer des habitants et l’isolation des maisons et bâtiments du territoire. « Si vous plantez une centrale photovoltaïque et rien d’autre à côté, ça ressemblera plus à un gadget qu’autre chose Â» ajoute Pierre Grosset.

Une démarche qui a déjà été menée dans le Haut-Jura et dont les représentants lédoniens veulent s’inspirer, en s’appuyant sur les témoignages des élus.

A Pontarlier, le 24 janvier, un homme de 40 ans a été interpellé par les policiers qui ont constaté que son cyclomoteur zigzaguait dangereusement.

Il est apparu qu’il roulait avec des pneus lisses et sous l’effet du cannabis. La procédure se poursuit. Il sera prochainement fixé sur son sort.

L’Association des internes et chefs de clinique de Besançon (AICB) vient de rendre publique le résultat d’une enquête locale portant sur le temps de travail des internes en Franche-Comté. Cette dernière a été réalisée au printemps 2019. Il y apparaît notamment que plus de 93% des Internes travaillent plus de 48h par semaine, dont 47,5% des Internes de Spécialités médicales au-delà de 60h par semaine et 43 %des internes en Spécialités Chirurgicales au-delà de 75h/semaine.

Il est constaté un non-respect du repos de sécurité suite à une garde de nuit déclaré par environ 10% des internes. Enfin, cette enquête locale indique que 44% des internes ne prennent pas la globalité de leurs congés annuels, la raison principale étant pour 80% d’entre eux une peur de créer une difficulté de continuité des soins si trop de congés annuels sont pris. Les rédacteurs regrettent qu’aucune réponse n’a été apportée à ce jour par la Direction Générale du CHU de Besançon suite à ces résultats.

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