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La quinquagénaire, brûlée à l’acide, vendredi à l’Etoile (39),  par l’ancienne compagne de son nouvel ami, a été auditionnée hier. Elle a porté plainte contre sa rivale.

Rappelons que par jalousie, la victime a été aspergée d’acide chlorhydrique et a reçu plusieurs coups de cutter sur le corps. Elle bénéficie d’une incapacité totale de travail de 29 jours.

L’épouse  était montée de Besançon pour régler ses comptes. Elle a été internée à l’hôpital psychiatrique de Saint Ylie. Son état de santé ne permettait pas un placement en garde à vue. 

Ce jeudi matin, la Préfecture du Doubs présentait son radar mobile de nouvelle génération. Cet outil est un appareil embarqué à bord d’une voiture banalisée, qui peut photographier  en roulant, les usagers en excès de vitesse. Cet équipement permet également d’effectuer des contrôles à l’arrêt.  Il est équipé d’une antenne radar, placée dans la plaque d'immatriculation avant, d’un appareil photo caméra, d’un système informatique dans le coffre qui gère toutes les infos enregistrées,  d’un GPS et d’une tablette associée au tableau de bord. Ce nouvel équipement, dont l’objectif est  de lutter contre les excès de vitesse et les conduites dangereuses, est capable de relever trois infractions à la seconde. Il fonctionne par tous les temps, de jour comme de nuit et utilise un flash infra-rouge, non visible pour les usagers flashés. 

300 infractions mensuelles 

Ce radar « mobile de nouvelle génération » est en action en zone gendarmerie. Il circule sur des axes déterminés par les unités de gendarmerie sous l’autorité du Préfet du Doubs et principalement sur les portions de route où sont relevées de nombreuses infractions,  à l’origine d’accidents. Tous les types de réseaux sont concernés ( autoroutes, routes nationales, départementales ou agglomération). En moyenne, depuis sa mise en service, une moyenne mensuelle de 300 infractions ont été relevées. Précisons que les messages d’infractions qui ont été relevés pendant le contrôle sont directement transmis au Centre National du Traitement des contraventions à Rennes. Concrètement, seront flashés sur autoroute, les usagers qui roulent à 146 km/h ; sur voie express, les usagers à 124km/h ou plus ; sur voie nationale ou départementale, les usagers à 102 km/h ou plus ; en agglomération, les conducteurs à 61 km/h ou plus. 

Compléter les dispositifs existants 

Ce radar vient compléter les dispositifs déjà existants (radars fixes, tronçons, discriminants, …). Après plusieurs mois de statistiques positives, les chiffres de la sécurité routière repartent à la hausse en juin. Depuis le début du mois de juillet, deux personnes ont perdu la vie sur les routes du Doubs. Le Préfet rappelle que la vitesse reste une cause majeure de la mortalité routière. Elle est responsable de 40% des accidents mortels de la circulation pour le département. 

Son coût 

Le prix d’un équipement de contrôle de ce type est de 70.000 euros TTC, véhicule compris. Précisons que le coût d’un radar fixe est de 90.000 € TTC et que le coût des accidents de la route pour la France entière pour l’année 2011 est de 23 milliards d’euros. 

Un accident de parapente s’est produit aux Longevilles Mont d'Or cet après midi.  Une jeune fille, âgée de 17 ans, demeurant à Malpas, volait avec son père lorsque sa voile s’est repliée suite à un vent violent. Elle chuta lentement et se posa indemne dans les arbres sur la paroi du Mont d'Or.

Equipée d'une radio, elle avertit immédiatement son père qui se posa à proximité d'elle. Elle a été examinée par le médecin sur les lieux de l'accident. Elle a ensuite rejoint le sommet à pied. Par précaution, elle a été évacuée à l'hôpital de Pontarlier pour des examens de contrôle.

Un accident de parapente s’est produit aux Longevilles Mont d'Or cet après midi. Suite à un mauvais vent au décollage, une jeune fille, âgée de 17 ans, a chuté en contrebas. Elle a fini sa course dans les arbres. Le GRIMP et Dragon 25 sont intervenus pour la secourir.  

La cour d’appel de Besançon a condamné jeudi un myopathe, Dominique Loumachi, qui réclame le droit de fumer du cannabis à des fins thérapeutiques, à 50 euros d’amende avec sursis.

Le prévenu, qui milite pour la dépénalisation du cannabis thérapeutique, a indiqué qu’il ne pouvait se satisfaire de cette peine symbolique : il a l’intention de se pourvoir en cassation et ira, si nécessaire, «jusqu’à la Cour européenne des droits de l’homme».

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