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Le 16 novembre dernier, à Besançon, un homme de 31 ans a été interpellé en possession de 11.000 pilules d’ecstasy, soit une valeur 117.000 euros. Les policiers ont également découvert dans un sac trois kilos de cocaïne  et un kilo d’herbe de cannabis (10.000 euros).

L’individu était jugé hier en comparution immédiate mais il a demandé un délai pour préparer sa défense. Le prévenu a été placé en détention provisoire en attendant la prochaine audience, le 27 novembre prochain.

Dans l’affaire du hold-up de la boulangerie « Aux délices du Val Â» de Morteau, survenu le 30 octobre dernier, deux adolescents de 16 ans ont été arrêtés ce mercredi après-midi. Ils ont été placés en garde à vue.

François Sauvadet se serait bien passé de cette mésaventure. La commission départementale de propagande électorale de Haute-Saône a refusé les documents de campagne et les bulletins de vote de la liste « Les Républicains - UDI».

Les documents sont arrivés hors-délai. Le problème est dû à un problème de transport. De ce fait,  les documents électoraux ne seront pas insérés dans les enveloppes envoyées aux électeurs et les bulletins de vote ne seront pas acheminés dans les mairies du département.

Une situation identique est arrivée à la liste « PCF-Front de Gauche-MRC Â», qui devra également distribuer, à ses frais, ces documents dans les boîtes aux lettres des particuliers.

L’inquiétude se fait sentir chez certains travailleurs frontaliers. Depuis plusieurs semaines maintenant, des sous-traitants suisses, Å“uvrant dans le domaine de l’horlogerie, procèdent à des licenciements. Pour l’heure, les grandes entreprises, même si certaines font appel à du chômage partiel, ne sont pas encore complètement concernées. Mais jusqu’à quand ?

Monnier, Prototec, La-Joux Perret, Gilbert Petit-Jean, les exemples de sous traitants suisses qui sont en difficulté sont nombreux en cette fin d’année. Le ralentissement du marché asiatique explique en partie cette situation. Au Groupement Transfrontalier Européen, Jean-François Besson son secrétaire général, ne cache pas son inquiétude. « Il faut espérer que ce ralentissement ne dure pas trop longtemps, car en 2016, on pourrait assister à des licenciements dans les grandes entreprise horlogères » précise-t-il.

Et de poursuivre : « on sort d’une période de quatre années bénies, durant laquelle il y a eu beaucoup d’embauches et les chiffres d’affaires des entreprises ont bondi Â». Jean-François Besson se veut néanmoins rassurant : « on est bien loin de la grande crise qu’a connu le secteur dans les années 70. Il est tout à fait possible que dans quelques mois, on reparte à la hausse. C’est un secteur qui connaît des aléas conjoncturels assez forts Â». Affaire à suivre.

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