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La mauvaise nouvelle est tombée ce matin. Le tribunal de commerce de Lyon a annoncé vers 11 heures la mise en liquidation judiciaire du lunetier jurassien Logo. Cette société emploie 220 salariés dont 180 à Morez. Lâchée par la marque suisse Tag Heuer, qui appartient au groupe LVMH, l’entreprise a vu ses commandes s’écrouler et avait été placée en redressement judiciaire en mai dernier.

Un repreneur, Cémo, un autre lunetier jurassien avait fait connaître son intention de reprendre 34 salariés, à la condition que la marque TAG Heuer, revienne sur son désengagement. Mais la firme suisse s’y était opposée, provoquant le retrait de Cémo mercredi dernier. 

Les syndicats CGT, FO et Solidaires des finances publiques appellent à une grève nationale les agents pour protester contre la baisse des effectifs et une « mise en danger de leurs missions de service public Â».

Un grave accident de la route s’est produit hier, vers 17h,  à Evans (39). Un jeune homme, âgé de 20 ans, a perdu le contrôle de sa voiture qui est venue percuter un camion.

Grièvement blessé, le jeune automobiliste a été transporté à l’hôpital de Besançon. Légèrement blessé, le conducteur du poids lourd a été conduit sur le centre hospitalier de Dole. 

Selon le journal 20 minutes suisse, le groupe horloger Richemont va procéder à de nouveaux licenciements. Entre 200 et 250 postes seraient menacés. Le quotidien fait savoir que « les sites de Genève seront les plus touchés Â».

Mais les manufactures Piaget à la Côte-aux-Fées (NE) et Vacheron Constant au Brassus (VD) pourraient perdre respectivement 19 et 40 collaborateurs. Une baisse des commandes dans le domaine des montres haut de gamme serait à l’origine de ces décisions.

Au 1er semestre de son exercice décalé, Richemont a vu son bénéfice net reculer de 51% à 578 millions de francs.

C’est aujourd’hui que les salariés du lunetier jurassien Logo, dont le siège est à Morez,  seront fixés sur leur sort. Le tribunal de commerce de Lyon doit se prononcer ce mardi 15 novembre sur l’avenir de la société après avoir accordé plusieurs délais supplémentaires.

Lâchée par la marque suisse Tag Heuer, qui appartient au groupe LVMH, l’entreprise a vu ses commandes s’écrouler et a été placée en redressement judiciaire. Une liquidation judiciaire est à craindre.

A ce jour, un seul repreneur, le lunetier Cemo, s’est fait connaître mais cette offre pourrait ne plus être d’actualité.

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