Le 3 janvier dernier, les policiers pontissaliens ont eu à gérer une affaire de violences conjugales réciproques. Il s’agissait d’une énième affaire de violences au sein de ce couple. Le concubin, âgé de 20 ans, s’est vu prescrire un jour d’ITT.
Quatre jours d’ITT ont été diagnostiqués pour la jeune femme de 23 ans qui est tombée seule. La justice a décidé de confier ce dossier et ses protagonistes aux services sociaux.
Dimanche soir, un individu âgé d’une trentaine d’années a été interpellé par les forces de l’ordre bisontines. Ce dernier a tenté de dérober la caisse du restaurant « Subway », situé rue des Bouchers dans la capitale comtoise.
A la vue des policiers, il s’est caché sous un véhicule, mais les caméras de vidéosurveillance ont permis de l’identifier. Interpellé, il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il est apparu qu’il faisait également l’objet d’un mandat de recherche.
C’est dans un contexte très particulier que se sont déroulées ces vacances de Noël. Très particulier, en raison de la crise sanitaire et des mesures imposées pour tenter de gérer au mieux la crise actuelle. Rappelons que les domaines alpins étaient fermés aux touristes et que les bars, restaurants et autres lieux festifs avaient également leurs volets clos. La semaine entre Noël et le Nouvel An a été plutôt intéressante avec un taux de remplissage en moyenne de 75% dans le Haut-Doubs, voire 90% sur le secteur de Métabief.
Désormais, à l’image de Sébastien Populaire, les élus de la station de Métabief espèrent que tous les professionnels du Haut-Doubs pourront exercer leur activité rapidement et surtout durant les prochaines vacances d’hiver. Il en va des remontées mécaniques, mais également de toutes les activités qui font vivre les stations de ce secteur géographique. Un maintien de la fermeture d’ici le 14 février prochain serait préjudiciable.
Ce matin, vers 8h15, à Sainte Suzanne, deux personnes ont été prises en charge pour malaise suite à une intoxication au monoxyde de carbone. Un groupe électrogène fonctionnant dans l'habitation en travaux est à l'origine de cette intoxication.
Dans un communiqué de presse, l’Agence Régionale de Santé invite les personnes n’ayant pas été en mesure de respecter les gestes barrières des fêtes de fin d’année à être particulièrement vigilantes.
Il est rappelé que la situation sanitaire reste très dégradée dans notre région, avec un système hospitalier en grande tension. Ainsi, le respect des gestes barrières, la limitation de ses contacts sociaux et la réalisation d’un test de dépistage, idéalement à sept jours de la situation à risque, font partie des mesures à prendre.
