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Une centaine d’étudiants en STAPS ont manifesté cet après-midi à Besançon pour dénoncer les conditions dans lesquelles ils effectuent leurs études. Leurs doléances portent sur les formations dans le domaine du sport qui restent confuses et les moyens mis à disposition par l’université pour l’enseignement. Clairement, ils veulent des lieux de cours mieux adaptés et une autre gestion pour bénéficier de meilleures installations. Actuellement, 600 étudiants suivent cette formation universitaire dans un amphithéâtre qui ne peut contenir que 120 personnes. Conscient que les étudiants dans cette filière sont trop nombreux, les manifestants demandent « une meilleure orientation des candidats à la sortie du lycée Â». Néanmoins, ils s’opposent catégoriquement « Ã  la sélection et aux concours d’entrée Â». « L’université doit être ouverte à tous. C’est un droit et non un choix Â» explique Angèle, présidente du bureau des étudiants en STAPS à Besançon. Selon elle, il y a de l’avenir et de l’emploi dans le sport, à condition que les budgets alloués à la formation ne servent pas à l’organisation des grandes compétitions sportives en France.

6 heures de cours par semaine

Jean-Romain est en première année en STAPS. Le jeune homme dénonce le nombre d’heures de cours dispensés chaque semaine. Devant le grand nombre d’étudiants inscrits, le groupe a été divisé en deux. Ce qui réduit incontestablement le nombre d’heures de cours hebdomadaires. Au total, les étudiants n’ont que six heures de cours hebdomadaires. Le reste du programme étant dispensé sur internet. « Sans prof pour nous expliquer, c’est très compliqué. En plus, on ne sait pas vraiment comment faire pour avoir accès aux cours en ligne. C’est très difficile Â» conclut l’étudiant. Pour l’heure, les manifestants se sont contentés de battre le pavé. Dans quelques jours, ils demanderont une audience au rectorat, à la direction régionale de la jeunesse et des sports et à l’université. Affaire à suivre.

Un jeune de quinze ans a été interpellé hier rue de Champagne à Besançon. Ce collégien était en possession de 650 euros en liquide et de drogue répartie en bonbonne.  

Les policiers ont découvert sur lui  7g de cocaïne, 38g d'héroïne et 40g de résine de cannabis ainsi qu'un talkie walkie.

Le jeune homme, placé en garde à vue, a avoué faire de la vente au profit de personnes majeures dont il n'a pas voulu donner l'identité. Il a déclaré faire cela  uniquement pour l'argent, il dit gagner en moyenne 100 euros par jour.

Il a été présenté aujourd'hui devant le  juge des enfants.  Il était jusqu’à présent inconnu des services de police.

Un incendie s'est déclaré en début d'après-midi à Ney dans le Jura. Une maison de 150m2 a pris feu. Les flammes ont embrasé le toit de l'habitation.

Les pompiers ont déployé plusieurs lances pour éviter la propagation à un atelier voisin. Les habitants étaient absents de leur domicile, ils seront relogés dans leur famille.

Une gaine électrique a pris feu à Lons Le Saunier à 16h30 dans un immeuble d'habitation.

Sept personnes incommodées par les fumées ont été évacuées au centre hospitalier de Lons.

Les autres habitants ont regagné leur appartement.

Les pompiers sont intervenus ce matin à Lons le Saunier pour un feu électrique sur la voie publique. Un coffret ERDF de 380V a explosé en fin de matinée peu avant 12h. Les forces de l'ordre ont assuré un périmètre de sécurité le temps des opérations.

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