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C’est devenu une habitude pour le comité des fêtes local : chaque 1er mars, jour de l’ouverture mais aussi fin septembre pour la fermeture, on accueille les pêcheurs à la salle des fêtes.

Demain, de 6h30 jusque tard dans la soirée si besoin, Michel Levillain et les autres bénévoles seront au rendez-vous : « D’autant plus qu’après plusieurs mois sans se voir, nos habitués auront plein de chose à se raconter Â». le moment se veut en effet convivial. Revigorant aussi puisque l’association propose café, thé, chocolat chaud, croissant, soupe aux pois, saucisse de Morteau, assiette franc-comtoise, comté, Morbier… De quoi lutter contre le froid et reprendre les forces.

« Et nous vendrons aussi des cartes comme la boutique le Ptit Goumois que nous dépannons pour l’occasion Â» termine le président du comité des fêtes qui n'exclut pas la présence de quelques convivves avec leur accordéon...

Le 1er mars prochain, de 13h30 à 17h, l’université de Franche-Comté organisera un forum permettant aux étudiants en BTS, DUT, 2e année de licence ou classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE) de se renseigner sur les différentes poursuites d'études possibles à l'université de Franche-Comté. Rendez-vous à la maison des étudiants, 36 A avenue de l’Observatoire à Besançon.

Cette journée est l'occasion de découvrir l’offre de formations de l’université de Franche-Comté accessible après deux années d'études supérieures : licences, licences professionnelles, cursus de master en ingénierie (CMI) ou encore diplôme d’ingénieur. C'est aussi l'opportunité de rencontrer des responsables de diplômes, de poser des questions sur les formations et de se renseigner sur les métiers ou les stages à l'étranger.

Des chargés d’orientation seront également présents pour aider les étudiants à élaborer leur projet de poursuite d'études.

L’info est relatée par le journal « Le progrès Â». Hier, une femme de 41 ans a été retrouvée sans vie à son domicile de Salins-les-Bains. Selon le quotidien jurassien, elle serait sans doute décédée des suites d’un malaise cardiaque.

Nous vous en parlions en début de semaine. La réflexion autour du franchissement de La Cluse-et-Mijoux et Pontarlier se poursuit. Chaque jour, 23.000 voitures empruntent cette route d’environ 4 kilomètres. Rappelons que 12 million d’euros ont été consentis par l’état pour améliorer la circulation sur ce secteur sud de Pontarlier. Dernièrement, un nouveau comité de pilotage s’est tenu. Une présentation des premières études a été réalisée. S’en suivra sur l’année 2018, la poursuite de cette réflexion, pour une concertation publique en septembre ou octobre prochain. Selon les résultats de la concertation, le projet pourra être poursuivi par la réalisation d’une enquête publique envisagée en 2019 et un engagement des travaux en 2020.

Patrick Genre, le maire pontissalien, comprend certains commentaires agacés, qui regrettent cette lenteur administrative, mais il tient à souligner que cette organisation est importante et qu’il n’est pas envisageable de lancer des travaux, sans être sûr de leur pertinence et de leur impact sur l’ensemble du réseau pontissalien. « Il s’agit d’un dossier extrêmement complexe qui nécessite des analyses et des études poussées Â» explique l’élu du Haut-Doubs. Mr Genre rappelle que le projet se déroule dans le temps qu’il avait annoncé. « L’ensemble des variantes seront présentées, proposées et analysées. D’un côté, je porte et je défendrai le dossier mais je suis aussi vigilant sur les impacts des schémas proposés sur la vie des quartiers concernés sur Pontarlier Â». Et de conclure : « La réflexion est importante car il ne serait pas opportun, voire aberrant, de se lancer dans plusieurs millions d’euros d’investissement pour n’avoir que 30 secondes ou une minute d’amélioration Â».

Comme évoqué dès lundi, jour de découverte du corps de Frédérique Flénet à Pont-de-Roide la justice a ordonné une autopsie qui aura lieu demain.

Cette mère de 4 enfants, retrouvée morte près d’une semaine après sa disparition à proximité de son domicile, ne portait alors pas de chaussures et se trouvaient dans un bosquet assez visible pour avoir suscité des questions.

Pourtant, nos confrères de l’Est Républicain croient savoir que la piste criminelle ne serait pas privilégiée par les enquêteurs. Le décès serait plutôt dû aux effets conjugués de la toxicomanie de la défunte et du froid

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