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Une votation était organisée ce dimanche en Suisse. A 71,6%, le peuple helvète a dit « non Â» à la suppression de la redevance audiovisuelle.

Le « non Â» a fait son plus gros score dans le canton de Neuchâtel avec 78,3%. C’est à Genève qu’il l’a emporté avec 74,8%. Cette initiative était portée par le Parti libéral-radical. Soulignons que la redevance en Suisse est l’une des plus chères d’Europe. Elle s’élève à 451 francs suisses (environ 392 euros).

Rien ne semble pouvoir arrêté le BesAC dans sa quête d’accession en nationale 1.

Les joueurs de Nicolas Faure se sont imposés sur le score de 67 à 55 contre le SMUC Marseille ce samedi soir. Ils profitent également de la défaite de Feurs à Montbrison, et du point bonus pris après leur qualification en ¼ de finale de la Coupe de France, pour lui ravir la place de leader de la poule. Dans ces conditions, la montée se précise pour les basketteurs bisontins.

Un dépassement du seuil d’information et de recommandations (>50µg/m3) pour les particules fines (PM10), a été constaté vendredi et samedi sur le Doubs.

Les modèles ne prévoyant pas de nette amélioration, la procédure d’information et de recommandations est enclenchée sur le département pour aujourd’hui et la procédure d’alerte est lancée pour demain (persistance des niveaux >50µg/m3)

Le mercredi 14 mars, le Centre Régional d’Information Jeunesse de Besançon propose une rencontre sur le thème des aides que peuvent bénéficier les jeunes pour un projet dans les domaines culturel, sportif, musical, …

Ces soutiens peuvent être financiers, matériels, méthodologiques, … privés ou publics. Cette action d’information et de sensibilisation, ouverte à toutes et tous, permettra de poser ses questions et d’échanger sur les idées et les projets. Le rendez-vous est fixé à 16h au CRIJ de Besançon, au 27 rue de la République.

A l’occasion de la semaine nationale de prévention et d’information sur l’endométriose, le CHU de Besançon s’associe à EndoFrance pour sensibiliser le grand public à cette pathologie gynécologique chronique qui touche une femme sur dix en âge de procréer. Deux temps forts sont organisés au CHU sur le site de Jean-Minjoz : un stand d’information tenu par EndoFrance le mercredi 7 mars de 10h à 18h et une conférence grand public animée par les médecins de l’hôpital le vendredi 9 mars à 19h.

L’endométriose est une pathologie gynécologique qui se caractérise par la présence de muqueuse utérine en dehors de l’utérus. En France, on estime qu’une femme sur dix en âge de procréer est atteinte d’endométriose, soit 3 à 6 millions de personnes. 30 à 40% de ces femmes sont confrontées à des problèmes de fertilité. Malgré cette prévalence importante, il faut en moyenne 8 à 10 ans pour qu'un diagnostic soit posé, période pendant laquelle la maladie se développe et s'aggrave. Les douleurs pelviennes sont l’un des principaux symptômes qu’il ne faut pas banaliser. Dans ses formes les plus sévères, l'endométriose est source de douleurs quotidiennes importantes et de troubles associés. Les femmes qui souffrent d’une forme sévère peuvent avoir recours à plusieurs épisodes chirurgicaux au cours de leur vie.

La prise en charge de l'endométriose au CHU de Besançon est assurée par une équipe pluridisciplinaire composée de radiologues spécialisés en imagerie de la femme, de gynécologues médicaux, de praticiens spécialisés en AMP et de chirurgiens gynécologues, urologues et digestifs. Le CHU assure depuis 2014 le traitement de l'endométriose profonde en chirurgie robot-assistée, une technique mini-invasive qui permet un rétablissement rapide des patientes. Les effets positifs de cette pratique chirurgicale sur la qualité de vie et la fertilité sont particulièrement encourageants.

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