Choix du secteur :
Se connecter :

La Ville de Besançon fait savoir que la rue Luc Breton, située entre la Place Pasteur et la Place de la Révolution, va être réaménagée à partir du mois de juin pour une durée de 5 mois.

Des travaux de voirie et de réseaux seront en premier réalisés par Enedis et GRDF au mois de juin. De nouveaux points d’apports volontaires enterrés seront ensuite installés. Suivront les travaux de revêtement définitif au mois de septembre. 

Les Républicains ont lancé ce lundi une opération nationale « contre le matraquage que subissent les automobilistes Â».

L’objectif étant de dénoncer la décision du gouvernement de réduire la vitesse à 80 km/h au lieu de 90 km/h sur les routes secondaires. Un kit pour mener campagne sera transmis à chaque fédération afin qu’elle puisse massivement déployer l’opération sur le terrain.

Ce vendredi soir, à partir de 20h30, Besançon vivra un évènement unique en France. A l’initiative de Morrade Hakkar, le boxeur bisontin aux titres nationaux, européens et mondiaux, et président du local boxe club, et Philippe Haag, son vice-président, et avec le soutien de la Ville de Besançon, la Rodia, la salle bisontine consacrée aux musiques actuelles, accueillera la soirée Disko, qui combinera concert et combats de boxe. Côté musique, le public pourra applaudir Corine et sa musique disco. Concernant la partie sportive, ce sont cinq combats de boxe anglaise qui seront proposés, dont un match pro comptant pour le championnat de France. Plus de 300 personnes sont attendus. Pour les organisateurs, cette soirée a pour objectifs, de mettre en lumière leur sport, de s’ouvrir sur un autre public et de conjuguer sport et culture. La Ville y voit aussi un moyen de démocratiser cette discipline, qui a permis à Besançon de rayonner au niveau international.

178 licenciés

Avec 178 licenciés, âgés de 9 à 50 ans, le local boxe club de Besançon est le plus gros club de la discipline en Franche-Comté. Ici, on y pratique de nombreux sports de combat, dont la boxe anglaise , la boxe thaï et le kick boxing. Si la formation des boxeurs est une des priorités, on en oublie pas pour autant de transmettre des valeurs. « Etre champion, ce n’est pas que de donner des coups, c’est aussi avoir des valeurs humaines et sportives Â» explique Morrad Hakkar, qui sait de quoi il parle. Implantée rue Bersot, au centre-ville, la salle bisontine, qui porte le nom d’un autre grand champion, Jean Josselin, est ouverte du lundi au vendredi pour former les Jean Josselin, Morrade Hakkar, et Mamadou Thiam de demain. Pour ce faire, et pour permettre à ses boxeurs de se confronter au haut niveau, le club multiplie les galas. C’est d’ailleurs lui qui en organise le plus dans la région. En 2018, cinq dates sont d’ores et déjà programmées. Les deux prochaines se tiendront les 21 avril et 26 mai au gymnase Jean Zay. Le club entend également se professionnaliser dans les années à venir pour asseoir encore mieux sa suprématie et sa formation.

Un grand champion

Beaucoup de sportifs feraient bien d’en prendre de la graine. Malgré un riche palmarès, champion de France et double champion d’Europe notamment, Morrade Hakkar est un champion humble. S’il a mis un terme à sa carrière sportive, il n’en a pas pour autant rangé ses gants de boxe. Le gamin de Montrapon, qui reconnaît que ce sport et la Ville de Besançon l’ont construit, met aujourd’hui tout son savoir au service des autres. Un charisme, une compétence et un parcours qui lui assurent une autorité certaine. Ce passionné prend désormais beaucoup de plaisir à partager sa passion et son savoir avec son jeune public. Coach, Morrade endosse désormais avec beaucoup de sérieux son costume d’éducateur. Il ne cache pas également son projet de pouvoir intervenir à la maison d’arrêt de Besançon, comme il l’a fait il y a quelques années aux Baumettes, ou dans les quartiers de la ville pour y mener des actions sociales. La boxe, une véritable école de la vie.

Les pompiers ont été appelés peu avant 18h pour un accident de la route à la sortie d'Arçon en direction de Maisons du Bois. 

Deux véhicules sont entrés en collision, deux victimes sont à déplorer, l'un d'elle est sortie seule de son véhicule.

La seconde victime est incarcérée dans son véhicule. Les secours sont sur place.

Depuis quelques mois, le nouveau Pôle Ressources Jeunes a ouvert à Pontarlier place Zarautz. Dans les locaux de l’ancien point épisode, la commune a décidé de regrouper différents services à destination des jeunes dans un seul et même lieu.

Ouvert à tous les jeunes de 11 à 25 ans, ce pôle regroupe le PAEJ (Point Accueil Ecoute Jeunes), le PIJ (Point Information Jeunesse), et le dispositif de garantie jeune de la mission locale.

Ces trois dispositifs permettent aux jeunes qui le souhaitent de venir échanger sur différents sujets, c’est également un lieu d’informations, d’accès à l’emploi et de formation.

La gestion du Pôle Ressources Jeunes a été confiée à des professionnels tels que l’ADDSEA, la mission locale, ou encore le PIJ, afin de perpétuer la qualité du temps consacré à chaque jeune.

Vers une nouvelle politique jeunesse et familiale de la Ville ?

Avec la création de ce Pôle Ressources Jeunes, Karine Grosjean conseillère municipale et administratrice du Centre Communal d’Action Sociale (C.C.A.S) espère que la Ville va entrer dans une démarche de politique tournée vers la jeunesse.

Karine Grosjean souligne le chemin qu’il reste encore à parcourir, « Pour prendre des décision il faudrait savoir quelles sont les attentes des jeunes. Au niveau logement, quand on est jeunes à Pontarlier comment on fait pour se loger ? Â».

Mme Grosjean espère que l’ouverture de ce Pôle Ressources Jeunes n’est qu’un début, et que la Ville va désormais se pencher sur les préoccupations des jeunes.

Sous-catégories