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La Coupe du Monde démarre aujourd’hui pour un mois de football.
La fête s’organise pour la diffusion des matchs et notamment ceux de l’Equipe de France.

Dans le Doubs, les communes s’organisent suite à l’interdiction de retransmettre les matchs sur la voie publique.

La préfecture du Doubs n’a pour l’instant enregistré qu’une seule commune qui s’est manifestée pour la diffusion des matchs, c’est Pontarlier.

Dans le Doubs, chaque commune souhaitant diffuser les matchs devra assurer un dispositif de sécurité, tel que des fouilles à l'entrée, des patrouilles etc.

Des villes comme Besançon attendent de voir quel parcours aura l’équipe de France pour faire une demande de diffusion auprès de la préfecture.

 

Après la « marée populaire » du 26 mai, les organisations participantes ont créé le Collectif Dolois des Luttes Populaires « pour continuer le combat contre la politique d’Emmanuel Macron Â» dénoncent ses responsables qui poursuivent « Son gouvernement et le Medef mettent en Å“uvre la destruction de notre modèle social. La multiplication de leurs « réformes » entraîne la dégradation de notre vie quotidienne, en particulier des services hospitaliers, ce que nous subissons à Dole Â».

Ils listent ensuite les points qui les font régir et agir : Â«  suppression d’une des deux lignes de SMUR, des service de réanimation et de cardiologie…mais aussi de la SNCF, contre laquelle les cheminots dolois restent mobilisés, politique d’austérité qui aggrave les conditions de vie de toutes et tous (les 99 % de la population), réforme fiscale privilégiant les plus riches (les 1 %), destruction des droits des travailleurs, casse des services publics, loi antisociale sur le logement, aggravation de la situation des sans emplois et des précaires, priorité donnée au secret des affaires au détriment des droits des citoyens, aggravation des inégalités d’accès à la justice ï‚· introduction de la sélection à l’entrée des universités, utilisation de l’égalité femmes-hommes comme simple outil de communication... Â»

Un large panel de revendications qui a permis localement de fédérer les mécontentements « face à ces destructions en cours et à venir, du privé comme du public, de toutes générations et de tous statuts, nous nous retrouvons en état de légitime défense Â».

 

«  Fruit d’un capitalisme paternaliste, le club occupera pendant 85 ans une place à part dans le football français en symbolisant les valeurs ouvrières de son territoire. De cet héritage, il ne reste aujourd’hui plus rien… Â». Constat laconique et sans appel de ces supporters qui fustigent les 5 années de gestion TechPro qui auront « mis Ã  terre ce club atypique qui défendait une certaine idée du football Â».

L’arrivée du groupe Baskonia Alavès est-elle si bonne à leur yeux ? « Il prend le FCSM sous sa tutelle comme on le fait d’un malade en fin de vie, ne fait que parachever cette oeuvre de destruction Â» poursuit le groupe qui regrette de voir les valeurs du FC Sochaux « piétinées par deux entités hors-sol servant leurs propres intérêts au mépris de ceux de la région et du respect des racines du FCSM Â».

Dans ce communiqué, les sociochaux évoquent les symboles du club et de la région (lion, couleurs et devise) qui « sont sournoisement mis en avant afin de transformer les supporters en consommateurs . Le projet de socios ne peut cautionner cette supercherie et reste donc subordonné à l’hypothétique vente du club à un repreneur respectueux de son histoire Â»

Ce plaidoyer se poursuit par une annonce : « Le mouvement Sociochaux va changer de forme et s’adapter à cette situation inacceptable. Nous continuerons d’expliquer pourquoi cet attelage hybride TechPro-Baskonia nous conduit à la catastrophe. Nous engagerons les démarches, y compris juridiques si nécessaire, pour démontrer l’immoralité et sans doute l’illégalité du montage financier entre ces deux sociétés. Nous sommes en train de créer une association ouverte à tous les amoureux du club afin de préparer la résurrection du FC Sochaux-Montbéliard sur des bases saines Â»

A Besançon, dans le quartier Planoise, une école tournée vers l’informatique et le numérique a vu le jour en septembre 2016. Co-créée par Azouz Manaï et Malika Zebbiche, son objectif est de former des enfants, des adolescents et des adultes à ces domaines. Les objectifs sont différents en fonction des publics et des situations. Si pour les enfants, il s’agit principalement d’un intérêt pédagogique, pour les adolescents et leurs aînés les objectifs sont multiples.

Pour certains, il s’agit de transmettre des connaissances en vue d’une formation ou d’une reconversion professionnelle, pour d’autres l’intervention vise un public en difficulté sociale ou scolaire. Dernièrement, la structure a accueilli des jeunes étudiants décrocheurs et des réfugiés. Son implantation dans un quartier prioritaire n’est pas neutre. Beaucoup de ces jeunes habitants sont orientés vers des activités professionnelles par défaut, notamment dans le bâtiment, alors qu’ils ont d’énormes compétences dans ces nouvelles technologies qu’ils pourraient très largement mettre à profit dans des entreprises ou en développant leur propre affaire. Azouz Manaï reconnaît que le monde de l’entreprise évolue et qu’aujourd’hui certaines sociétés ne cherchent pas à tout prix le salarié surdiplômé mais un collaborateur passionné et investi.

A la fabrik@wek, on apprend, on découvre, on teste, … . On acquiert des connaissances et des savoir-faire dans des domaines aussi variés que la robotique, la programmation jeux vidéo, web et mobile ou encore l’impression 3D. En fonction de l’âge des stagiaires, on apprend comment ça marche pour mieux maîtriser l’outil ou tout simplement pour être capable de maîtriser et reproduire cette technique. Cette démarche a plu puisqu’elle a remporté en 2016 le concours « talent des cités Â».Ces métiers ont de l’avenir puisque selon Mr Massaï, « 70% des métiers vont dépendre du numérique dans les années à venir».

Une formation qualifiante

L’association multiplie les actions. Elle intervient dans les écoles, les maisons de quartier ou accueille son public dans ses locaux implantés rue Pablo Picasso à Planoise au sein de la pépinière d’entreprises. Prochainement, elle dispensera une formation qualifiante, niveau BAC +2, labellisée grande école numérique. Cette nouvelle session débutera le 16 juillet prochain. Dans quelques semaines également, la fabrik@web quittera ses locaux historiques pour rejoindre un espace de travail plus spacieux, avenue du parc, toujours dans le quartier Planoise. Azouz Manaï est un responsable heureux. Avec son équipe, et notamment Paul, un jeune formateur autodidacte, il espère pouvoir continuer ce rôle de formation et de transmission de savoirs qui permettent à de nombreuses personnes de prendre leur envol et de pouvoir vivre de leur passion.

Pour joindre la Fabrik@web : O6.77/39.41.45 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

A Morteau, et c'est assez rare pour le souligner dans une ville avec une telle activité commerciale, le stationnement est gratuit. Toutefois, afin que cette gratuité ne devienne pas un problème, la ville préfère communiquer en rappelant les règles élémentaires à respecter, notamment en zone bleue.

« Sur toutes les places situées en zone bleue, pensez à mettre votre disque et à respecter la durée maximale de stationnement d'1h30 Â» précise donc la ville précisant que le disque est obligatoire les jours ouvrés de 9h à 11h30 et de 13h30 à 18h.

Un choix afin de favoriser « un stationnement rapide et gratuit pour un accès aux commerces facilité! Â». Parmi les places en zone bleue, certaines sont même matérialisées au sol et par un panneau comme étant limitées à 15 minutes pour permettre une rotation encore plus importante dans certaines zones du centre-ville.

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