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Conseillère municipale de Charquemont de 1989 à 1995 avant d’en devenir Maire pendant 20 ans, Christine Bouquin préside aujourd’hui le conseil départemental du Doubs après avoir exercé d’autres mandats comme conseillère régionale, générale et présidente des maires du Doubs.

Un long parcours politique qui lui vaut d’avoir reçu la légion d’honneur des mains du Préfet Raphael Bartolt. Un moment émouvant pour l’élue qui était pour l’occasion entourée de sa maman et de son fils.

La Ville de Besançon va participer à la journée nationale du don d’organes. La cité comtoise souhaite s’impliquer en tant qu’acteur de la promotion du don d’organes et réalise une campagne d’information auprès de ses concitoyens pour sensibiliser chacun sur la nécessité du don et de la greffe d’organes pour sauver des vies.

Ainsi, en partenariat avec le Centre Hospitalier Universitaire de Besançon, elle organise un ciné-débat suivi de témoignage de familles de donneurs et de patients receveurs, le 22 juin, à 18h, au Petit Kursaal.

Le débat sera animé par le service de la coordination des prélèvements d’organes et de tissus du centre hospitalier bisontin. Des milliers de vie peuvent être sauvées grâce aux greffes. Chaque année, le nombre de personnes en attente de greffes ne cesse d’augmenter.

C’est fait. Les 13.608 candidats au baccalauréat ont été accueillis dans l’un des 83 centres d’examen recensés dans l’académie de Besançon. Ils planchent depuis 8h sur l’épreuve de philosophie.

Pour la troisième année consécutive, les épreuves écrites des séries générales et technologiques se déroulent sur six journées, du lundi 18 au lundi 25 juin inclus.

« La raison peut-elle rendre la raison de tout ? », « Une Å“uvre d’art est-elle nécessairement belle ? », « Défendre ses droits, est-ce défendre ses intérêts ? », « Peut-on se libérer de sa culture ? », « Y a-t-il un mauvais usage de la raison ? Â» ou encore « Pour trouver le bonheur, faut-il le chercher ? Â». Tels étaient quelques uns des sujets sur lesquels les bacheliers de l’an dernier ont planché.

Morez va perdre la plus ancienne de ses entreprises spécialisées dans la lunetterie. Fidela, qui était présente dans la cité jurassienne depuis 1820, va déménager avec la quinzaine de ses employés dans la commune voisine de Saint-Laurent-en-Grandvaux.