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L’article 2 de la Constitution de la République Française et le principe de fraternité qu’il contient n’a pas été mis à mal par l’arrêté du maire de Besançon visant à règlementer la mendicité. Ainsi en a décidé le tribunal administratif de Besançon qui après s’être laissé le temps de la réflexion, a rendu sa décision ce matin précisant notamment que la liberté de mendier n’est pas une liberté fondamentale. Un revers pour le militant associatif Toufik de Planoise qui avait porté l’affaire en justice. Il ne souhaite pourtant pas en rester là annonçant son intention de faire appel.

Alors qu’hier matin le président de la Fédération nationale des chasseurs était reçu à l'Élysée, on se voulait optimiste dans les fédérations départementales, cette rencontre étant la deuxième déjà depuis le début d’année. La revendication d’un permis à 200€ donc en très forte baisse a été entendue ce qui est une première satisfaction.

Concernant la police de l’environnement et de la ruralité, l’exécutif se donne deux ans, soit à l’été 2020, pour achever une fusion des différents organismes, fusion qui doit permettre de “mieux surveiller et d’encadrer les pratiques de la chasse”, préciset-on à l’Elysée.

Des sujets évoqués hier en présence du Ministre de l’Ecologie Nicolas Hulot qui a ce matin même présenté sa démission… Sans y voir une conséquence directe, nul doute que le dossier de la chasse ajouté à celui des glyphosates ou encore du nucléaire a pesé dans la balance.

« Le but est d’éclaircir et d’embellir un secteur qui n’avait pas été sérieusement réhabilité depuis près de 40 ans » souligne-t-on à la mairie pour expliquer ces travaux qui sont entrés depuis hier dans leur troisième phase de requalification des espaces publics du centre-ville. 

« Elle concerne la place aux Fleurs et la partie piétonne de la rue des Arènes ». Dans la continuité des précédents aménagements et comme dans les rues déjà rénovées, « les pieds de façades seront habillés de pierres et la partie centrale de la rue traitée en béton désactivé. Les arbres et la statue des Commères seront conservés ».

Neuf nouvelles jardinières sérigraphiées sur toutes les faces, soient trente-six photographies du Maîche d’antan, sept bancs dispersés sur l’esplanade de la mairie et devant l’Office du Tourisme, cinq jets d’eau centraux pour accompagner ce nouvel aménagement à quoi s’ajoutent le Wifi gratuit déployé autour de l’Hôtel de Ville ainsi que la remise en état des pavés et le fleurissement…l’esplanade de la mairie a profité de l’été pour se refaire une beauté.

Un nouvel espace plus convivial et agréable invite à la flânerie, aux échanges devant les photos, ou simplement à une pause qui peut être connectée » se félicite la mairie qui avec le concept novateur de ces jardinières permet aux passants de se replonger dans les rues et la vie de Maiche autrefois et ce grâce à l’aide précieuse de Jean-Marie Choulet collectionneur passionné de cartes postales anciennes.