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Ce mercredi, la mission locale du bassin d’emploi de Besançon organise son salon de l’emploi et de l’alternance à l’espace Grammont, 20 rue Mégevand, au centre-ville de Besançon.

Cette manifestation a notamment pour objectifs de mettre en relation demandeur d’emploi, jeunes en recherche d’alternance et offres existantes sur le territoire et informer sur les dispositifs et les outils existants. Le salon s’adresse prioritairement aux jeunes de 16 à 30 ans et aux personnes en situation de handicap en recherche d’un emploi ou d’un contrat en alternance.

Sur place, les visiteurs pourront rencontrer des centres de formation et des employeurs. Des centaines d’offres seront proposées  en CDI, CDD et alternance.

Depuis quelques semaines seulement, les U18 du CA Pontarlier handball refoulent les parquets de la région. Un groupe de 16 joueurs, coaché par Baptiste Jeannier et Adrien Cruz, est prêt à en découdre.

Après deux matches amicaux contre deux équipes au niveau supérieur, le groupe disputait ce dimanche son premier match de qualification excellence. Les Haut-Doubistes ont vaincu l’équipe de Quingey Val de Loue sur le score de 31 à 22.

« Un match défensivement solide qui a permis de faire jouer tous les joueurs de l’effectif Â» explique Baptiste Jeannier. La compétition se poursuit ce dimanche, avec un déplacement à Lons-le-Saunier.

Grâce à un triplé d’Inhabe, sa nouvelle recrue, un doublé de Younes et un but d’Oussama, le groupe des U17 de Planoise Chateufarine n’a pas fait de détail dimanche dernier contre St Apollinaire. L’équipe a vaincu son voisin bourguignon sur le score de 6 buts à 1.

Au classement, les jeunes planoisiens occupent la deuxième place, à égalité de points avec Belfort, le leader. A la vue des résultats de ce week-end, quatre équipes semblent se détacher dans ce championnat : Vesoul, Besançon Football, Belfort et Planoise.

Ce dimanche, les footballeurs bisontins affronteront le Besançon Football. Un derby en perspective.

Par le biais du Conseil National des Professionnels de l’Automobile (CNPA), ces commerçants entendent bien faire entendre leur voix et les difficultés qui sont les leurs, suite à l’arrêté préfectoral qui certes n’oblige pas ces structures à fermer leurs portes (les véhicules sanitaires par exemple ont une dérogation et doivent pouvoir avoir accès à ces stations) mais sanctionne lourdement un particulier qui y aurait recours.

« Investir dans l’ouverture d’une telle station a un coût d’environ 100 000 € par travée et nous avons donc des charges fixes auxquelles il faut faire face voire même du personnel à gérer Â» explique Monsieur Cottet représentant de la profession au CNPA.

S’il ne contexte pas la situation de crise actuelle, il tient toutefois à rappeler qu’il vaut sans doute mieux recourir à un équipement professionnel plutôt que de laver son véhicule en douce dans sa cour : beaucoup moins d’eau sera consommée et les effluents seront récupérés et ne pollueront donc pas les nappes phréatiques. 

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