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Le futur équipement va être construit près du stade des Tuileries sur un terrain, cédé par la commune, de 3000 m² avec un bâtiment de 600 m² dont une partie consacrée à la revente d’objets.

C’est en effet l’objectif d’une telle activité qui va permettre de donner une seconde vie aux objets. Nettoyés et réparés ils seront ensuite proposés à la vente.

Un rapport évoquant plus de 150 tonnes possibles d’objets à recycler chaque année et dans le même temps une dizaine d’emplois pourraient être créés. Des emplois d’insertion par l’activité économique.

L’enjeu est donc de limiter le gaspillage et de diminuer la quantité de déchets, en orientant les objets encore en bon état qui sont déposés en déchèterie vers une filière locale de réemploi et revente. Et de donner la possibilité à des personnes éloignées de l’emploi, de remettre un pied à l’étrier comme l’explique à la rédaction Constant Cuche, adjoint au maire de Maiche et vice-président de la communauté de communes.

« Face au silence et à l’indifférence Â», les départements du Grand Est et de la Bourgogne Franche-Comté, les plus touchés par la sécheresse, lancent un appel à la mobilisation pour faire face à cette crise. « Si cette sécheresse est unique par son ampleur, elle est surtout unique par l’absence de réponse du Ministre de l’agriculture Â» déplore le syndicat. « Depuis plusieurs années, l’État s’est dégagé, en grande partie, des dispositifs calamités, pour les faire porter soit par l’Europe (assurance récolte) soit par les agriculteurs eux-mêmes (fonds calamités, assurances,…). Oui, mais faut-il pourtant qu’il s’en lave les mains, alors que de nombreux systèmes ne sont pas bien couverts ? Â»

Aujourd’hui, avec cette sécheresse qui a commencé en juin, la première préoccupation des éleveurs, c’est l’affouragement des animaux et la nécessité d’avoir assez d’aliments pour tenir jusqu’au printemps prochain.

«  Après la mobilisation dans tous les départements, les visites de terrain et l’écoute des préfets, des parlementaires, des administrations, des représentants des collectivités,… il faut maintenant éviter une catastrophe économique Â» poursuivent les responsables qui demandent des mesures immédiates à trois niveaux :

 

Au niveau européen :

- Des dérogations collectives élargies pour les surfaces d’intérêt écologique comme pour les pièges à nitrates.

- Un taux de 90 % pour les avances sur les aides Pac (Politique agricole commune) versées à la mi-octobre.

- Le rehaussement du plafond des aides de minimis.

Au niveau français :

- Des dégrèvements de la taxe sur le foncier non bâti (TFNB) pour les parcelles touchées par la sécheresse.

- Des enveloppes supplémentaires pour les caisses de la Mutualité Sociale Agricole (MSA) des départements touchés, permettant la prise en charge partielle des cotisations sociales des agriculteurs fragilisés par cette calamité.

- Des aides aux transports pour la paille et le fourrage pour les éleveurs des départements concernés. - La mise en place accélérée de la procédure des calamités, avec une actualisation des critères pour mieux prendre en compte les pertes subies par les agriculteurs : augmentation des factures d’eau, achats de fourrage, perte de qualité des fourrages,… et une meilleure prise en compte des systèmes durables (polyculture élevage,…).

- La mobilisation de la cellule export pour dynamiser les marchés.

- Des assouplissements pour les jeunes agriculteurs qui ne pourraient pas atteindre le revenu disponible et toutes autres complications administratives liées à ces pertes de revenu.

Au niveau local :

- Des conventionnements permettant aux départements, aux Régions et autres collectivités de pouvoir intervenir et compléter le dispositif.

- L’adaptation des cahiers des charges pour faire face à l’aléa climatique (AB, AOP et IGP,….).

- La mobilisation des Organisations Professionnelles Agricoles avec des mesures adaptées pour faire face aux difficultés des exploitants.

Comme de nombreuses communes, Charquemont se prépare à commémorer la fin de la Grande Guerre en célébrant l’Armistice du 11 novembre. Une exposition « Souvenons-nous de 14-18 Â» sera à cette occasion proposée à la population.

Pour étoffer celle-ci, la mairie lance un appel à la mémoire collective des habitants de Charquemont mais aussi du plateau de Maîche.

Un appel qui vise à recueillir un maximum de documents retraçant la vie des femmes et le quotidien à l’arrière, l’histoire des familles mais aussi à collecter des plans des villages, cartes postales, photos, objets, témoignages et anecdotes, journaux de l’époque ou encore des noms des médecins, sages-femmes, maires, instituteurs, prêtres....

Hier, lors de la présentation de son Plan santé, Emmanuel Macron a annoncé la fin du numérus clausus à partir de 2020. Autrement dit, la fin du quota qui définit chaque année le nombre d’étudiants admis au concours de première année aux études de santé. Pour le remplacer, Agnès Buzyn, la ministre de la santé évoque des examens « qui sanctionneront le passage en deuxième puis en troisième année, comme dans toutes les filières Â». La PACES, la première année commune aux études de santé, évolue. Qu’en pensent les étudiants bisontins en médecine ? Nous leur avons posé la question.

Julie pense que cette décision n’est pas forcément la bonne. « Les étudiants doivent avoir une certaine capacité à engranger des connaissances Ã©normes qui leur serviront pour les années à venir. Quelqu’un qui n’a pas une bonne mémoire ne peut pas réussir Â» explique la jeune femme qui entame sa cinquième année en médecine. Stéphane aborde cette question différemment. « C’est vrai que la PACES est une année difficile. Je ne sais pas comment se passera désormais l’entrée en première année, mais je pense que la suppression du numérus clausus est une bonne chose. Cela va donner beaucoup plus de chance aux étudiants en première année et d’avoir plus de médecin à l’avenir pour éviter les déserts médicaux que nous connaissons aujourd’hui Â» analyse le jeune homme.

Enfin, pour Hugo, le numerus clausus permettait de « faire une sélection Â». Le jeune homme s’interroge sur l’organisation de tout le cursus de formation. Selon lui, quoiqu’il en soit, « il faudra procéder à une sélection Ã  un moment ou à un autre ». « Si après trois années de formation, un candidat se voit refuser l’entrée en master parce qu’il n’est pas dans les meilleurs, il aura perdu trois ans Â». Et de conclure : « Il supprime la PACES pour mettre un peu de social, mais ce sera très compliqué Â».

Comment fonctionne le sommeil ? Pourquoi dort-on ? Quels troubles du sommeil existent-ils ? Comment faire pour mieux dormir ? Des questions qui souvent reviennent au quotidien et peuvent paraitre anodines mais qui ont surtout une forte influence sur l'état de santé général.

Toutes ces questions seront abordées lors de la conférence sommeil organisée aujourd'hui au centre hospitalier de Morteau.

Cette action de santé publique est organisée par le Centre Hospitalier de Morteau en partenariat avec l’Association Santé Education Prévention sur les Territoires de Franche-Comté / Bourgogne (ASEPT).

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