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Vous ne le saviez peut-être pas, mais ce vendredi, comme chaque année, le 3è vendredi de septembre, c’est le Parking Day. Cette opération est un évènement mondial durant lequel citoyens et artistes collaborent pour transformer temporairement des places de parking payantes en espaces végétalisés et conviviaux. L’objectif étant de s’interroger sur l’espace urbain et l’emprise au sol qu’occupe la voiture en ville. Les organisateurs veulent également éveiller les consciences sur la place qui est accordée à la nature et sur la qualité de vie en centre-ville.

Ainsi, Parking Day invite celles et ceux qui le souhaitent à se réapproprier l’espace public en laissant libre court à leur imagination. C’est ainsi qu’à Besançon, sur le parking Saint Jacques, des aménagements ont vu le jour. Les participants, des associations et les étudiants en BTS « design espace Â» du lycée Claude Nicolas Ledoux, ont inventé des espaces végétalisés et de convivialité. Des arbres et du mobilier urbain, pour créer des espaces d’échange et de rencontre, construits avec du bambou, du carton et d’autres matériaux, ont vu le jour. Lucie de l’association « Hop Hop Hop Â» assure que malgré les nombreuses places de parking utilisées pour cette action, les automobilistes ne ronchonnent pas trop. « Lorsque l’on explique des choses et que l’ont fait de la pédagogique, cela passe beaucoup mieux Â» conclut-elle.

Le départ de la caserne historique de la Rue de la Glapiney en juin dernier avait été un grand moment pour les sapeurs-pompiers comme pour la population qui avait suivi la traversée de la ville des véhicules rouges avec émotion.

Depuis, c’est dans un bâtiment moderne et fonctionnel de 1 800 m² avec treize travées pour les véhicules qu’évoluent les sapeurs-pompiers. Locaux qui comptent également bureaux, salle de détente, local d’alerte, vestiaires, local de décontamination, magasin et atelier, atelier spécifique pour les appareils respiratoires isolants, locaux de rangement et dépôt, local de sport et cabinet médical le tout sur un terrain de 80 ares cédé pour l’euro symbolique par la communauté de communes du val de Morteau.

Le bâtiment sera officiellement inauguré demain avec pour l’occasion la présentation des nouvelles recrues, la remise individuelle de fourragère et la passation de commandement du centre entre le capitaine Charles Claudet et son successeur le capitaine Samuel Guichard.

Ce samedi 22 septembre, le CA Pontarlier Football reçoit la réserve professionnelle de l’OGC Nice dans le cadre de la 7è journée de championnat de France de National 2.

Les pontissaliens actuellement 16ème et derniers du championnat vont tenter de renverser les Niçois qui se classent à la 10ème place du championnat.

Le coup d’envoi du match sera donné à 18h au stade Paul Robbe demain.

Dans le cadre des exercices qu’ils effectuent au quotidien au camp du Valdahon, les sapeurs de la 4e Compagnie de Combat du 13ème Régiment de Génie ont récemment érigé un pont de type « Bailey ». Une préparation qui a nécessité des calculs préliminaires et une importante phase de nivelage des berges initialement en pente.

Pour réussir leur mission, les sapeurs ont dû monter plus de 15 tonnes d’éléments à la force des bras afin que ce pont puisse permettre la traversée des véhicules lourds au-dessus d’une coupure de plusieurs mètres. 

Un exercice utile puisque ce type d’équipement est fréquemment installé lors d’opérations extérieures comme au Mali ou en Centrafrique. « Des ouvrages actuellement empruntés chaque jour par la population locale Â» soulignent fièrement les militaires.

En marge des festivités autour de ce demi-siècle d’existence, c’est un reportage dans l’émission Envoyé Spécial sur France 2 qui a semé le trouble évoquant que le barrage pourrait être à l'origine d'un incroyable scénario catastrophe. Scénario qui jusqu’à présent n’avait été imaginé que dans une histoire purement fictive sous la plume du romancier jurassien André Besson dans « le village englouti Â» puis « le barrage de la peur Â».

Là, les doutes émis, de façon anonyme, par un technicien sont bien réels. Il y parle de la pression maximale de l'eau sur les rochers sur lesquels l'ouvrage est fixé, notant des problèmes de stabilité. « Ce type de construction peut péter instantanément Â» a-t-il confié dans le reportage.

EDF a d’ailleurs envisagé un scénario catastrophe : les 600 millions de mètres cubes d'eau seraient ainsi libérés et une vague de 12 mètres de haut submergerait plus de 50 villages, inondant  la vallée de l'Ain. A 90 km de Vouglans, la centrale nucléaire de Bugey pourrait aussi être impactée comme trois autres plus au sud, en bordure du Rhône.

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