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La commune de Frasne s’est inscrite depuis deux ans dans le « Zéro Phyto Â». C’est-à-dire qu’elle n’utilise plus de pesticide pour les travaux de désherbage et d’entretien de la commune. Elle répond ainsi aux exigences du Grenelle de l’environnement, qui oblige les collectivités à bannir l’usage des pesticides d’ici 2020.

Pour la commune, le désherbage écologique ne concerne pas que la municipalité, mais aussi ses concitoyens. C’est la raison pour laquelle chacun est invité à faire évoluer ses comportements, en utilisant des méthodes alternatives et en portant un autre regard sur ces herbes folles et dérangeantes.

Ainsi, pour toujours et encore faire de la pédagogie, une exposition grandeur nature, en partenariat avec le CPIE du Haut-Doubs, sera prochainement proposée. Elle n’aura pas lieu à l’intérieur, dans une salle prêtée par la commune, mais dans la rue. Des banderoles seront installées. Baptisée « sauvage des rues, belle et rebelle Â», elle invitera chacun à se questionner sur les travaux de désherbage et d’entretien. Il en va de la protection de la planète.

L’identité du modèle de « l’Origine du monde », le célèbre tableau du peintre Gustave Courbet, sur lequel on voit un sexe de femme en gros plan, est désormais connue.

L’information est révélée par Claude Schopp dans le livre « L’Origine du monde, vie du modèle » qui sortira le 4 octobre prochain chez Phébus.

La jeune femme s’appelait Constance Quéniaux. Elle était la maîtresse de Khalil Bey, le commanditaire du tableau. C’est en tombant sur une correspondance entre Dumas fils et Georges Sand que Claude Schopp a fait cette découverte

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Deuxième victoire pour le BesAC dans son championnat de Nationale 1. Hier soir, au gymnase des Montboucons, les Bisontins se sont imposés sur le score de 83 à 70 face à Andrézieux. Excepté son élimination en Coupe de France, le BesAC réalise un bon début de saison.

L’info est relatée par l’Est Républicain. Dans le cadre de l’affaire des agressions homophobes survenues cet été au parc Micaud à Besançon, six jeunes hommes ont été interpellés mardi matin. Il s’agit de jeunes majeurs et mineurs. Tous ont été placés en garde à vue.

Ce sont les caméras de vidéosurveillance et les témoignages des victimes qui ont permis aux enquêteurs d’identifier ces individus. Leur garde à vue s’achèvera ce mercredi, avec une présentation au parquet qui statuera sur les suites qu’il entend donner à ce dossier.

Lors d’une nouvelle audition, vendredi dernier, Nordhal Lelandais, le tueur présumé de la petite Maëlys, a changé de version. Selon RTL, citant une source proche de la famille de l’enfant, il reconnaît avoir porté quatre ou cinq coups très violents à la fillette.

Ces nouvelles déclarations viennent mettre à mal la thèse de l’accident qu’il défendait jusqu’à présent. Selon ce même média, lors de la reconstitution qui s’est tenue lundi 24 septembre, Lelandais a mimé les gestes infligés à l’enfant. Il a également conduit les juges d’instruction à l’endroit où il a porté les coups, à savoir un parking proche d’un centre commercial de Pont-de-Beauvoisin.

Les investigations se poursuivent car beaucoup de zones d’ombre subsistent encore dans ce drame.

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