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Beaucoup se sont sans doute étonnés depuis plusieurs semaines de voir des bois coupés être arrosés aux abords des scieries alors que la sécheresse fait rage et que l’eau devient une denrée rare.

« Cette année, les professionnels ont beaucoup de stock du fait de la tempête de début d’année et faute d’arrosage, ces bois pourrait sécher et entrainer un manque à gagner Â» explique la DREAL, en charge des questions d’environnement. Le responsable ajoute : « Une scierie importante consomme pour cela environ 10000 mètres cubes par an donc dans leur très grande majorité, les scieries fonctionnent avec des bassins de récupération et en circuit fermé Â».

L’Etat a toutefois réglementé l’usage de l’eau par les scieries dans un arrêté en faisant varier les autorisations selon la température extérieure, élément déterminant pour la prolifération ou non des nuisibles :

« En dessous d'une température de 5°C, interdiction totale d'arrosage des grumes ; entre 5°C et 10°C, interdiction de l'arrosage en continu avec une possibilité d’arrosage ne dépassant pas 50% du temps, quelles que soient les conditions de température ; interdiction d'alimentation des bassins de réserve via le réseau et obligation du recyclage des eaux d'arrosage Â»

Ce samedi a lieu la 10ème édition du jour de la nuit organisé par l’association Agir pour l’environnement qui explique que « C’est important à une époque où l’énergie n’est pas gratuite de ne pas la gaspiller comme ça, à éclairer le ciel ! Â»

Avec l’augmentation du niveau de vie dans nos sociétés occidentales, l’éclairage artificiel a en effet connu un essor mal maîtrisé : éclairage individuel et collectif de « confort » mais aussi éclairage publicitaire et de « mise en valeur » de monuments ou de sites naturels.

« Pour corriger cette évolution et préserver l’avenir, nous devons nous réconcilier avec la nature. La nuit est aussi le temps du repos, de la contemplation, du ressourcement. La nuit nous apporte le calme nécessaire après les journées trépidantes de notre vie moderne. Nous avons besoin du confort de la nuit. La gêne occasionnée par un éclairage extérieur trop fort diminue la qualité du sommeil. C’est un problème de santé publique mis en avant par les médecins. Prenons le temps de redécouvrir notre vision nocturne. Après quelques minutes, l’oeil s’habitue à la pénombre et nous découvrons la beauté du paysage nocturne Â».

L’ENSMM, l’école nationale supérieure de mécanique et des microtechniques, ouvre ses portes ce samedi 13 octobre de 9h à 18h à l’occasion de la fête de science. Enseignants, enseignants-chercheurs, élèves ingénieurs et personnels seront présents pour accueillir les visiteurs et leur faire découvrir l’établissement et ses outils de haute technologie.

Cette visite est accessible aux enfants (dès l’âge de 5 ans) comme aux plus grands. Un atelier de fabrication de support personnalisé de téléphone portable sera proposé. Les élèves ingénieurs ont également prévu d’autres animations pour illustrer les activités extra-scolaires pratiquées à l’ENSMM comme une course de drones, le montage et le démontage d’une montre et la présentation d’un prototype de voiture électrique conçu par les élèves.

Enfin, les futurs élèves qui souhaitent découvrir davantage l’école et obtenir de plus amples renseignements seront accueillis par la direction des études de l’ENSMM tout au long de la journée.

L’ESBF revient de son déplacement à Brest avec les points du match nul. Hier soir, dans le cadre de la huitième journée en LFH, les Bisontines et les Brestoises se sont quittées sur le score de 28 partout. L’ESBF conserve sa quatrième place au classement.

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