Choix du secteur :
Se connecter :

Conformément aux orientations de son projet C@P25, le Département a entièrement repensé son partenariat « afin de créer une collaboration pérenne et sortir de la logique de guichet Â». Cette nouvelle contractualisation, sur-mesure et établie à l’échelle du territoire de chaque établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre, « met l’accent sur les actions conformes aux orientations de C@P25: agir en faveur de l’enfance et de la jeunesse, garantir à tous l’accès à la culture et au sport pour tous, engager la transition énergétique et écologique, encourager l’attractivité du territoire, et la mixité sociale Â».

Les priorités retenues par les Portes du Haut-Doubs, un territoire de 47 communes regroupant 26 070 habitants sont l’affirmation du tourisme en tant que composante économique et son développement, le renforcement des services à la population pour une meilleure attractivité, une vie associative et culturelle plus active, l’accent mis sur un aménagement durable en développant la transition énergétique déclinée dans le plan climat air énergie territorial (PCAET).

Le FISAC (Fonds d'Intervention pour les Services, l'Artisanat et le Commerce) permet de financer des opérations portées par les collectivités territoriales ou les chambres consulaires ainsi que des actions individuelles d’entreprises artisanales dans les zones rurales. Modernisation et mise aux normes des locaux professionnels des artisans, travaux d’aménagement des centres-bourgs, installation de signalétique commerciale, lutte contre la vacance commerciale, autant d’initiatives qui ont pu voir le jour grâce au FISAC.

Depuis la loi du 31 décembre 1989, il a ainsi permis de préserver les services artisanaux et commerciaux de proximité dans des zones rurales ou urbaines fragilisées. Or, le projet de loi de finances pour 2019 prévoit la disparition de ce dispositif.

"Supprimer le FISAC reviendrait à supprimer le seul outil national de soutien à l’artisanat dans les territoires fragiles et en particulier les communes rurales. La fin de ce dispositif serait un signal négatif. Il faut être cohérent. On ne peut pas lancer un grand programme de revitalisation des territoires comme Coeur de Ville et dans le même temps, couper les crédits des acteurs qui les font vivre" défendent les professionnels concernés.

"Mais il faut être cohérent et se donner les moyens de réussir la revitalisation de nos territoires, un enjeu majeur pour notre pays en termes économique et social"

 

Partenaire incontournable d’Octobre Rose et présent ce mercredi soir à la Crazy Pink Run de Maiche, l’association Oncodoubs peut jouer un rôle important auprès des malades.

Dans ce long et difficile processus de la chimiothérapie, elle permet en effet offre à ces femmes en souffrance de bénéficier de soins socio-esthétiques.

Des moments apaisants, rassurants qui peuvent également s’accompagner d’ateliers d’activités physiques adaptées. Un bon moyen pour s’occuper à la fois de son corps et de son esprit.

Les femmes aidées par Oncodoubs reconnaissent que ces actions les aident beaucoup moralement d’abord mais aussi au niveau physique. Il est unanimement reconnu que ces activités sont un moyen efficace pour supporter les traitements et diminuer le risque d 'une récidive.

Depuis la rentrée sportive de septembre, le cercle pugilistique bisontin propose une nouvelle discipline : le Grappling Fight. Ce sport de combat est proposé tous les mardis soirs de 18h30 à 20h au pôle sportif des Montboucons.

Le Grappling Fight s’adresse à un public féminin et masculin. Il combine différentes techniques et arts martiaux. Ce qui suscite pas mal d’intérêt chez les personnes désireuses de découvrir de nouvelles sensations, après avoir pratiqué pendant plusieurs années une même discipline. « Il y a de la lutte, du judo, du ju-jitsu, de la boxe, de la boxe française Â» explique Arnaud, l’un des deux entraîneurs du CPB. « Tout le monde est invité à venir découvrir cette discipline Â» précise-t-il. Un sport récent sur Besançon, affilié à la fédération française de lutte.

A ce sujet, le 4 novembre prochain, une compétition de Grappling simple, c’est-à-dire sans percussions, se tiendra au pôle des Montboucons. Lors de ce rendez-vous, les combattants porteront leur tenue spécifique, short et t-shirt de compression. Les projections au sol et les soumissions classiques de lutte ou de ju-jitsu seront autorisées pour terminer l’opposition.

Pour obtenir de plus amples informations : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est un véritable fléau qui touche les forêts de Franche-Comté et notamment celles situées sur les premiers plateaux du Doubs. En raison du fort épisode de sécheresse, les épicéas sont attaqués par des scolytes. Ces coléoptères prolifèrent. Christian Coutal, le Président de l’association des communes forestières du Doubs et vice-président en Bourgogne Franche-Comté, évoque la présence «  de 2500 petites bêtes au m3 dans les forêts Â».

Le responsable reconnaît que les dégâts sont importants et que l’état sanitaire des forêts est un vrai sujet de préoccupation. Chaque jour, de nouveaux soucis apparaissent. Pour l’heure, les forêts situées en dessous de 600 mètres d’altitude sont fortement impactées, mais les zones d’altitude sont loin d’être épargnées. Les sapins pourraient aussi être attaquées si la situation ne s’améliore pas. Autant dire que la pluie et le froid sont attendus impatiemment. Si les conséquences environnementales sont indéniables, elles le sont tout autant d’un point de vue économique. Ces attaques assèchent le bois et le rendent de moins bonne qualité. Ce qui a un impact sur sa valeur marchande, déstabilisant toute la filière bois. Mr Coutal explique que les pertes seront aussi importantes que les ravages occasionnés par la tempête de 1999 ou la sécheresse de 2003.

Il n’y a aucun doute. Ce grave sujet sera évoqué ce samedi 20 octobre lors de l’assemblée générale des communes forestières du Doubs qui se tiendra cette année sur le territoire de la commune des Premiers Sapins. « Le cap de l’hiver va être fondamental pour voir si dès le printemps les attaques ne continuent pas et ne remontent pas en altitude » conclut Mr Coutal.

Sous-catégories