Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus peu après 12h à Saint Hippolyte au lieu-dit La Petite Roche.
Un chasseur et son chien se sont retrouvés en difficulté sur une falaise. Deux victimes ont été prises en charge par l’équipe du GRIMP.
Ces deux personnes n’ont pas été blessées.
Quatre mois après la mise en place du 80km/h sur les routes de France, la question de l’efficacité de cette réforme se pose encore.
Certes les premiers chiffres étaient encourageants, mais au mois de septembre le nombre de mort sur les routes a de nouveau augmenté. L’occasion pour les automobilistes de pointer du doigt la réforme du 80km/h.
Michel Guillemin président de la Ligue contre les violences routières du Jura ne comprend pas la colère des automobilistes.
« Ces chiffres sont en augmentation certes, mais ils ne nous disent pas ou se sont passés les accidents mortels, ni même ce qui a causé ces accidents. Le problème ce n’est pas le passage au 80km/h ! Le problème c’est qu’il faut arriver à convaincre les automobilistes de respecter le code de la route » explique-t-il.
Pour rappel, 75% des accidents arrivent à moins de 10km du domicile. Ce weekend encore dans le Doubs, deux motards sont décédés sur les routes du département à seulement quelques kilomètres de chez eux.
« Les motards ne veulent pas de limitation de vitesse, mais ils sont trop nombreux à mourir sur les routes françaises à cause de la vitesse ».
Sur les routes, les motos représentent seulement 1,9% des véhicules, mais les motards représentent 22% des tués sur les routes françaises.
Pour les professionnels de la route, il ne faut pas dénigrer la mise en place du 80 km/h, mais plutôt le comportement inconscient des automobilistes.
EDGE, l’Espace de Dialogue des Gauches et des Ecologistes, est en train de naitre dans l’agglomération bisontine. Son objectif principal est de co-construire un projet alternatif, élaboré avec les différentes composantes de la gauche et les citoyens, qui définiront son contenu, sa validation, sa mise en œuvre et son contrôle.
L’idée principale, à moyen terme désormais, étant bien entendu de construire une alternative politique à gauche en 2020. Une réunion de lancement est programmée le 10 novembre à la salle Battant à Besançon de 9h à 11h30.
« Face à cette politique autoritaire et indécente qui tourne le dos à l’intérêt général, nombreux sont les citoyens, les associations, les mouvements et les différentes organisations et partis politiques implantés dans (l’) agglomération qui souhaitent construire une alternative et placent leur espoir dans un projet réellement humain qui préserve la planète et la solidarité entre les habitants » explique le communiqué de presse.
Pour contacter le collectif : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Jean François Longeot, sénateur du Doubs, a écrit à Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des comptes publics, pour lui demander de soutenir les communes contraintes de s’approvisionner quotidiennement en eau potable par camion-citerne.
Il lui demande « de bien vouloir permettre à ces communes de récupérer par le biais du fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée les sommes avancées » pour assurer le maintien du service de l’eau sur leur territoire. Le courrier a été envoyé le 24 octobre dernier.
Après l’officialisation d’une arrivée d’étape à la Planche des Belles Filles en Haute-Saône le 11 juillet 2019, la question de la ville départ le lendemain restait en suspens. Mystère levé ce matin lors de la présentation du parcours de la Grande Boucle : c’est de Belfort que partiront les coureurs le vendredi 12 juillet à l’occasion de la 7ème étape pour prendre la direction de Chalon-sur-Saône.
Les élus du Territoire-de-Belfort se réjouissent d’accueillir cette animation qui mettra la ville et le département sous les projecteurs du monde entier, quelques jours à peine après le festival des Eurockéennes. Tous espèrent des retombées économiques et touristiques à court et moyen termes.
