Choix du secteur :
Se connecter :

Un homme , âgé de 21 ans a été poignardé mardi après-midi dans le quartier Planoise à Besançon.

Il aurait reçu un ou plusieurs coups de couteau. Le corps de la victime a été retrouvé dans la cage d’escalier d’un immeuble, situé rue de Franche-Comté.

L’hôpital de jour pour enfants de Champagnole ainsi que le Centre Médico Psychologique sont menacés de fermeture depuis quelques mois.

Cette menace est liée au manque de médecin pédopsychiatre. L’équipe soignante a donc décidé de se mobiliser pour trouver ce fameux médecin. Ils ont créé un clip sur Youtube, dans l’espoir de trouver enfin la perle rare.

Si le poste vous intéresse, vous pouvez contacter directement l’équipe soignante de l’hôpital de jour de Champagnole. 

Pour visualiser le clip : https://www.youtube.com/watch?v=ydBS6vJMDew&feature=youtu.be

A Levier, une toute nouvelle fresque est venue orner l’entrée du village. 

Cette fresque est d’abord née dans la tête du chanteur compositeur Billy Fumey originaire du Jura. Cet artiste inspiré par la musique traditionnelle franc-comtoise a écrit une chanson racontant l’émigration franc-comtoise en Amérique du Nord au cours du XIXè siècle.

Pour le besoin de son clip, il souhaitait réaliser cette fresque retraçant l'histoire sur un bâtiment grisâtre pouvant rappeler l’Amérique.

Le conseil municipal de Levier a très vite accepté la création de cette fresque. Pour eux, elle s’inscrit dans la reconnaissance de leur histoire et de l’histoire franc-comtoise.

 

C’est une première initiative, qui en appellera sans doute d’autres. Ce mardi, le Sybert dans le cadre de la semaine européenne de réduction des déchets et du programme « territoire zéro déchet, zéro gaspillage Â» organisait le salon professionnel « Objectifs D Â».

Pour cette première édition, 42 exposants, spécialisés dans la gestion des déchets, ont fait le déplacement à Micropolis Besançon. Ces entreprises, bureaux d’étude et associations sont venus présenter leur offre de matériels, d’équipements, ainsi que leurs services en matière de prévention, de collecte et de traitement des déchets. L’idée étant de mettre en relation ces interlocuteurs avec des collectivités ou des entreprises pour trouver ensemble des solutions pour une meilleure gestion des déchets.

Chaque année, 345 millions de tonnes de déchets sont produits en France. 247 millions de tonnes sont issus du BTP, contre 31 millions de tonnes pour les ménages. Si globalement, la gestion des déchets ménagers ne pose pas de problème, celle concernant les déchets issus du BTP, de part leur quantité et leur diversité, est plus compliquée à mener. D’où l’importance de porter une réflexion collégiale sur cette problématique. Si les grandes villes sont plutôt bien équipées en la matière, les villages manquent cruellement d’infrastructures ou de moyens pour traiter ces matériaux encombrants.

Au sybert, on se félicite de cette première rencontre, qui semble avoir répondu aux attentes des participants et des visiteurs. Plus de 200 personnes ont été accueillies durant cette journée. Rappelons que le Sybert est en charge du traitement des déchets de la communauté d’agglomération du Grand Besançon, de la partie du Doubs de la Communauté de Communes du Val Marnaysien et de l’intégralité de la nouvelle communauté de communes Loue Lison, qui regroupe les secteurs de Quingey, Ornans et Amancey. Ce qui représente 225.000 habitants.

Même dans le Doubs, dans un secteur très rural, l’agriculture connaît une crise des vocations. C’est la raison pour laquelle la FDSEA va lancer une campagne d’information, sous la forme de spots publicitaires, qui seront dans un premier temps diffusé sur internet. D’autres canaux de communication pourront également être sollicités.

Qu’il s’agisse des exploitants eux-mêmes, des responsables du service de remplacement du Doubs ou du groupement d’employeurs, tous font l’amer constat qu’il est difficile de trouver aujourd’hui des salariés agricoles pour donner le coup de main aux travaux de la ferme, pour une aide ponctuelle ou pour une embauche sous la forme d’un CDI par exemple. Pour le syndicat, il est important de s’adresser aux jeunes à la recherche d’une orientation professionnelle, mais aussi aux personnes en reconversion professionnelle.

Florian Dornier, l’un des responsables de la FDSEA du Doubs, en charge notamment de la formation, explique que « parmi 50 offres d’emploi déposées auprès de (ses) services en moyenne par an ces dernières années : 15% trouvent preneur après plus de 3 mois de recherche ; 14 projets ont été abandonnés et la moyenne de postulants sur une offre varie entre 3 et 4 Â». Selon le responsable, le métier souffre de clichés qu’il convient de démonter comme les salaires, la dureté, l’image du salarié agricole ou encore la place trop importante que prend cette profession dans la vie personnelle. L’agriculture doit également lutter contre l’emploi frontalier, qui lui fait aussi du tort. C’est tout l’enjeu des messages publicitaires qui seront prochainement mis en ligne.

Par ailleurs, la profession entend également mettre en place une organisation permettant à chaque demandeur d’emploi qui le souhaite de découvrir, de tester et de se former, mais ce sont aussi des idées de complémentarité pour rendre les emplois plus attractifs, en combinant différents corps de métier (station sport d’hiver/agriculture, filière bois / paysagisme ou encore agriculture / déneigement hivernal de la commune, … ) et des temps de formation à destination des agriculteurs employeurs, portant sur l’accueil de nouveaux salariés et le management du personnel. Enfin, pour certains professionnels, il convient de revoir également les contenus de formation, dispensés dans les lycées agricoles, avec les réalités du terrain.

L’agriculture a besoin de bras. Les personnes intéressées ou souhaitant obtenir des informations peuvent contacter la FDSEA du Doubs au 03.81.65.52.63

Sous-catégories