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Ce matin le stade olympique des Tuffes dans le Jura accueillait la première épreuve de l’étape de coupe du Monde Junior de Biathlon.
La première épreuve était le relais simple mixte, pour l’équipe de France, Martin Bourgeois-Republique était aligné aux côtés de Camille Bened.
Les deux français âgés de 19 et 18 ans ont très bien démarré la compétition en décrochant la seconde place derrière le duo slovène.
Pour leur première course ensemble, le jurassien et la Haut-Savoyarde étaient satisfaits de leur course malgré quelques erreurs au tir.

La compétition se poursuit demain avec le sprint et ils termineront avec la poursuite samedi. L'objectif de ces deux compétiteurs "réaliser des bons tirs pour réaliser de nouveaux podiums" explique Martin. Le jurassien vise le podium du classement général de la Coupe du Monde tout comme Camille. "Il faut que l'on arrive à jouer devant pour viser le podium du classement général" confie Martin. 

Cette étape au stade des Tuffes en France a une saveur particulière pour les athlètes français. "On s'entraîne toute l'année ici, on connaît le stade et la piste, forcément on n'aborde pas la course de la même manière quand on connaît le stade et la piste. Pour le reste il faut rester concentrer pour espérer fêter les bons résultats avec les supporters français" raconte le jeune jurassien. 

Vous pouvez vous aussi encourager les futures stars de la discipline jusqu'à samedi au stade olympique des Tuffes à Prémanon. Entrée gratuite, toutes les informations sur www.juraskievents.com

En France, environ 13 000 chevaux ont été abattus en 2016. Plus de la moitié d'entre eux sont des chevaux de course réformés (jeunes chevaux non sélectionnés, chevaux blessés ou chevaux en fin de carrière). « Pourtant, France Galop et Le Trot (les deux fédérations de courses) sous-entendent que les chevaux ne sont pas envoyés à l'abattoir, ils ont signé une charte qui spécifie notamment à la mesure 8, Assurer, tout au long de la vie des chevaux, les soins nécessaires, leur mort devant advenir dans des conditions décentes lorsqu'il n'existe pas de thérapies efficaces ou économiquement supportables. Â» déplore l’association de défense des animaux.

Cette nouvelle vidéo interpelle car les images, si elles sont choquantes, montrent pourtant « des pratiques globalement conformes à la réglementation, avec des cadences d'abattage modérées Â». Sur la vidéo, on peut voir les chevaux parqués dans l'écurie adjacente à la salle d'abattage ainsi que l'amenée au box d'immobilisation, l'étourdissement au matador (pistolet à tige perforante), la suspension puis la saignée des chevaux.

« Certains résistent et reçoivent des coups d'aiguillon électrique (ce qui est autorisé par la loi) et de nombreux coups de bâton pour avancer. Difficile de parler de respect, de bien-être ou de protection animale quand on voit ces chevaux en proie à des convulsions, en train d'être égorgés suspendus par une chaîne. Ces images d'animaux à l'agonie exposent la violence inhérente aux abattoirs Â».

L214 demande au président de la République Emmanuel Macron la mise en Å“uvre d'une politique volontariste et ambitieuse afin de réduire d'au moins 25 % d'ici 2025 le nombre d'animaux tués dans les abattoirs français. 

Lien pour voir la video : https://www.l214.com/enquetes/2018/abattoir-made-in-france/chevaux-jura/

Depuis des semaines, les revendications évoluent en France et l’une d’elle notamment ne laissent pas nos voisins suisses indifférents : la question du référendum d’initiative citoyenne. Celui-ci existe depuis bien longtemps dans la confédération helvétique et beaucoup aimeraient s’en inspirer.

Mais le sujet ne fait pas l’unanimité en France et les remarques par exemple du président de l'Assemblée nationale en France ont fait réagir. Il aurait en effet déclaré que les thèmes de votations en Suisse « sont très souvent le fait de quelques cliques affairistes et de quelques lobbyistes qui, à la fin, sont d’ailleurs démasqués». De son côté, le journaliste politique Alain Duhamel a estimé que le système de démocratie directe impliquait «un risque de tyrannie de la minorité sur la majorité».

Dans la vie de tous les jours, vous pouvez être amenés à secourir une personne, à pratiquer des gestes très rapidement car chaque minute compte, et tout le monde peut être confronté à des situations exceptionnelles comme les événements tragiques dont notre pays connaît.

Pratiquer un massage cardiaque, poser un garrot, mettre une personne en position latérale de sécurité (PLS), secourir une personne qui s'étouffe,... « Vous saurez réaliser les gestes qui s'imposent en attendant l'arrivée des secours spécialisés Â». La formation PSC1 permet aux participants d’apprendre comment intervenir efficacement.

Les gestes sont simples, ne nécessitent pas d'entraînement physique mais peuvent sauver une vie. En cas d'urgence vitale, le temps est compté. Cette formation est accessible à tout public à partir de 10 ans et se déroule sur une journée. Son coût est de 55 Euros.

Inscriptions et informations : 06 19 96 36 92 ou en adressant un courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

A l’approche des fêtes de fin d’année et de la Saint-Sylvestre en particulier, la Préfecture prend les devants pour essayer de prévenir au maximum les incidents qui pourraient survenir sur la voie publique. Ainsi, le Préfet indique dans un arrêté en date du 6 décembre 2018, « l’interdiction de l'utilisation d'artifices de divertissement des catégories C2, C3, C4, K2, K3 K4, F2, F3 et F4 dans le département du Doubs dans tous les lieux de rassemblement, sur la voie publique ou en direction de la voie publique à compter du dimanche 30 décembre 2018 minuit au mardi 1er janvier 2019 inclus Â».

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