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Ce sont toujours des conditions météo redoutées qui peuvent perturber tout un réseau. Et ce, malgré toutes les précautions qui peuvent être prises. En cette période hivernale, la société Kéolis prend toutes les précautions pour que la circulation du tram et des bus soit la moins paralysée possible par la neige.

Pour éviter ces désagréments, une étroite collaboration existe avec les services de déneigement du Grand Besançon. L’objectif étant de faciliter la circulation des bus pour limiter au maximum le trafic des voitures, qui peut rapidement compliquer le trafic routier. Concernant le tram, sa robustesse (40 tonnes) permet d’évacuer facilement la neige au sol. La situation devient plus compliquée lorsque la glace s’installe sur les rails et les lignes aériennes. Dans ce cas, une intervention humaine et mécanique est nécessaire pour relancer la machine. C’est ce qui s’est passé dernièrement dans le secteur de la Malcombe. L’autre inquiétude pour la société de transport est la dangerosité que représente le gel pour les usagers. Les glissades sur les trottoirs, devant les arrêts de bus et dans les véhicules peuvent provoquer de graves blessures.

En collaboration avec les services du Grand Besançon, une priorité est donnée aux lignes dites «  à haut niveau de service Â». Il s’agit des lignes 3 à 6. Une attention toute particulière est également accordée aux terminus et aux secteurs où le contournement des bus est nécessaire. Les autres lignes sont également traitées dans les délais les plus rapides. Sans oublier bien sûr le parking de l’entrepôt. Sans quoi le départ des véhicules s’avère délicats et compliqués

L’annonce de la société Lyria de supprimer un aller-retour Paris-Lausanne via Dijon, Dole et Frasne partir de décembre 2019 ne cesse de faire réagir. François Sauvadet, président du groupe Union des Républicains de la droite et du centre au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté a souhaité s’exprimer à ce sujet.

Par le biais d’un communiqué de presse, il demande à la SNCF de respecter son devoir de service public et à la région de faire respecter notre territoire. « Par cette décision, Lyria, semble aller à l’encontre des missions que la loi pour un nouveau pacte ferroviaire lui a confiées Â» explique-t-il.

Il demande à la « filiale Lyria, de renoncer à supprimer un aller-retour Paris-Lausanne Â».

La ministre des transports Elisabeth Borne en déplacement dans la région le 25 janvier prochain, sera très certainement interpellée par les élus sur les questions de mobilités des habitants de la région.

Depuis hier, Adrien Moreaux de Montlebon et ses deux chiens de traîneau Snow et Naya ont pris le départ de la Grande Odyssée Savoie Mont Blanc dans la catégorie ski joëring. L’idée est de parcourir la piste en ski tout en étant tiré par un chien.

Habitué des courses, Adrien Moreaux s’est lancé pour la première fois dans l’aventure de La Grande Odyssée. Pendant trois jours, il parcourt 95 km et 1800m de dénivelé positif avec ses chiens.« C’est La course qui fait rêver quand on a  des chiens de traîneaux, elle est réputée pour sa difficulté et pour sa beauté Â» confie Adrien Moreaux. 

Pour lui l’objectif est double dans cette compétition, tout d’abord participer et terminer la course, et dans un second temps mettre en avant le passé et l’histoire de ses chiens. En effet, Adrien Moreaux participe à la course avec un chien ayant un passé difficile qu’il a adopté dans un refuge. « C’est l’occasion de montrer qu’avec un peu de travail et d’envie ces chiens aussi sont capables de grande choses Â» explique-t-il.

Après cette première participation, Adrien Moreaux n’exclut pas l’idée de revenir participer à la Grande Odyssée Savoie Mont Blanc et cette fois-ci dans la catégorie traîneaux.

C’est parti. La Ville l’assure, à quelques heures de l’arrivée de la neige, les équipes et le matériel sont prêts pour faire face aux aléas climatiques annoncées. Selon les prévisions, une dizaine de centimètres pourrait tomber cette nuit sur les chaussées en plaine.

 Alors, à Besançon, on se prépare à accueillir cet or blanc. Plus que la quantité de neige, c’est surtout les éventuels blocages qui sont redoutés. « Une voiture en difficulté peut rapidement paralyser la Ville Â» explique Marie Zehaf, l’adjointe au maire en charge de la voierie et des déplacements. Les véhicules sont équipés. La saumure et le sel y ont été trouvés leur place. La feuille de route est connue. Elle se décline en trois circuits. Une priorité est tout d’abord donnée aux axes les plus fréquentés et ceux desservant des services importants comme le centre hospitalier et les pompiers par exemple. Conjointement avec Kéolis, une attention toute particulière est également réservée aux circuits de transports en commun.

Le PC neige du centre technique municipal est activé. Sur les écrans de contrôle, le responsable suivra avec attention le déroulement de la situation et donnera les conseils en conséquence aux conducteurs des camions, avec lesquels il est en lien en permanence. En fonction de l’évolution de la situation, une première intervention pourrait avoir lieu dans la soirée. L’objectif étant de rendre les chaussées les plus praticables possibles mercredi matin à l’heure de l’embauche.