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En sport en biathlon, les françaises n’ont pas brillé sur le sprint aujourd’hui à Antholz-Anterselva en Italie.

La première française, Julia Simon est 11ème, la jurassienne Anaïs Bescond prend la 13ème. Anaïs Chevalier termine 19ème, Justine Braisaz se classe 31ème. Les deux franc-comtoises Caroline Colombo et Célia Aymonier prennent respectivement la 42ème et 46ème place.

Un cambriolage a été commis, sans doute cette nuit, dans un commerce bisontin, situé rue de Pontarlier. C’est le gérant de l’enseigne qui a découvert les faits en se rendant au travail.

Les malfrats sont entrés dans le magasin en forçants une vitre. Ils se sont emparés du contenu du tiroir-caisse. Les dégradations sont importantes.

L’échéance approche. Dans quinze mois maintenant, en mars 2020, se dérouleront les élections municipales. A Besançon, pour l’heure, seul Eric Alauzet, le député La République En Marche, a fait savoir qu’il se présentait à ce scrutin. Pour ceux qui pensaient que les socialistes ne seraient pas représentés en 2020, Nicolas Bodin, président des élus socialistes au conseil municipal de la ville et président du groupe de la majorité plurielle actuelle au sein même de la collectivité, coupe court à toutes les rumeurs qui circulent en terre bisontine.

Une équipe travaille actuellement sur la rédaction d’un programme, tout en échangeant avec d’autres partenaires et partis politiques de gauche ( EELV, le PC, Générations, Place Publique). Car selon Nicolas Bodin, la victoire aux municipales, par la gauche, ne peut se concrétiser qu’en formant une alliance avec des partis et groupes voisins. Rappelons que chaque candidat devra être en mesure de proposer une liste de 55 noms en mars 2020.

D’ici là, de nombreuses autres échéances politiques auront lieu. Comme le choix d’un candidat. Plusieurs noms circulent dans le petit landerneau de la vie politique bisontine, mais rien de concret pour le moment. Chez les socialistes, seule certitude à ce jour, son nom sera connu au printemps, puisque des élections sont programmées pour le 28 mars. L’appel à candidature va débuter dans quelques jours. C’est lors de ce scrutin que les 200 militants socialistes bisontins choisiront celui qui les représentera. De son côté, Nicolas Bodin n’a pas encore pris sa décision. L’actuel adjoint au maire en charge notamment de l’urbanisme et de l’aménagement urbain se laisse encore un petit peu de temps pour réfléchir.

Les relations avec Jean-Louis Fousseret

Nicolas Bodin reconnaît que le choix de Jean-Louis Fousseret de rejoindre La République En Marche Â« rend la gestion quotidienne compliquée Â». Il affirme néanmoins que le programme municipal de 2014, voté majoritairement par les Bisontins, « est appliqué Â». « Ce document nous lie, mais la politique municipale ne peut pas être déconnectée de la politique nationale. Il y a des décisions qui sont prises au niveau gouvernemental qui ont des conséquences sur l’action municipale. De ce fait, cela crée des tensions Â» conclut Mr Bodin.

 

Un braquage s’est produit hier soir, vers 19h, dans une station-service, implantée rue de Vesoul à Besançon. Un homme s’est présenté dans l’enseigne en agitant une arme. Il serait reparti avec le contenu de la caisse.

Les investigations se poursuivent. Plusieurs éléments sont en possession des enquêteurs, dont notamment les images issues des caméras de vidéosurveillance.

 

Ce jeudi matin, entre 200 et 250 personnes, des enseignants, des parents d’élèves et des lycéens, se sont rassemblées devant le rectorat, à Besançon, à l’appel des syndicats, pour dénoncer la réforme du lycée et Parcoursup. Symboliquement, munis de sifflets et de cartons rouges, ils sont venus signifier à Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education nationale, « la fin de la partie Â».

Au cours des différentes prises de parole, les enseignants ont dénoncé, notamment avec la nouvelle organisation des options, une réforme génératrice « d’inégalités sociales et territoriales Â». Ils ont également pointé les nombreuses suppressions de postes qui en découlent. Au niveau national, ce sont plus de 2650 postes qui devraient être supprimés cette année. Dans l’académie de Besançon, 60 postes d’enseignants et 12 liés à l’administration sont en sursis. Au lycée Louis Pergaud de Besançon, ce sont six postes d’enseignants qui devraient disparaître en septembre prochain.

L’inquiétude des familles et des lycéens

Des parents d’élèves et des jeunes sont également venus soutenir les enseignants mobilisés. Parmi les lycéens présents, des élèves de 1ère, interrogatifs sur leur avenir en cas d’échec au baccalauréat, puisqu’ils seront la dernière génération à passer l’épreuve sous la forme qu’on lui connaît encore aujourd’hui. Leurs parents aussi ne sont pas très rassurés. La confusion qui règne actuellement concernant la carte des options et la peur que leurs enfants n’aient pas accès à certaines filières en raison de l’impossibilité d’accéder à certaines options au lycée est clairement affichée. Ils demandent également à l’éducation nationale une plus grande clarté et davantage de dialogue concernant ses choix dans la sélection des jeunes pour l’attribution des places pour les études supérieures.

Les manifestants souhaitaient être reçus par le recteur, qui a fait savoir qu’il était absent ce jeudi. Selon son agenda, il était à Dijon.

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