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Hier soir à Doubs, alors que les forces de l'ordre effectuaient une simple ronde, un individu de 24 ans a jeté une canette de bière sur la voie publique. 

Les policiers lui ont alors demandé de ramasser son déchet et de le mettre à la poubelle. Visiblement ivre, le jeune homme a injurié les policiers. 

Placé en cellule de dégrisement, il avait également sur lui 0,4g de stupéfiants. Au moment de la fouille il a tenté de se battre avec les policiers. 

Il écope d'une amende, et est en attente d'une réponse pénale pour injure et violences à agents. 

Pour le deuxième week-end consécutif, la ligue de football de la région Bourgogne Franche-Comté a décidé d’annuler toutes les rencontres sous sa responsabilité ce week-end. Et ce, « pour préserver les installations sportives Â».

Un drame s'est déroulé cette nuit au collège des Fontenelles.

Ce matin "un employé municipal a découvert le corps sans vie d'un collégien de 14 ans au pied de l'internat du collège des Fontenelles où il était scolarisé en classe de 3ème" explique le Procureur de la République de Montbéliard. 

La brigade de recherches de Pontarlier a été saisie de l'enquête afin de déterminer les causes et circonstances de la mort. 

D'après "les premières constatations, l'adolescent a chuté au cours de la nuit de la fenêtre de sa chambre située au quatrième étage à une hauteur d’environ 12 mètres". Le procureur de la République précise qu'"aucun élément ne permet de conclure à l'intervention d'un tiers". 

L'enquête se poursuit, une cellule de soutien psychologique a été mise en place par l'établissement scolaire. 

Dans le cadre du contrat local de Santé, la Ville de Besançon et Cyril Devesa, l’adjoint au Maire en charge de la santé, de l’hygiène et de la sécurité agroalimentaire, ont souhaité, en partenariat avec la MJC de Palente, développer des actions permettant de sensibiliser un large public à l’hygiène alimentaire. C’est ainsi qu’en 2017 a été mis en place le projet « de la fourche à la fourchette, la santé en cuisinant Â». Ainsi, durant ces deux années, des actions ont été mises en place auprès d’enfants de primaire du quartier des Clairs Soleils et de Palente, d’adultes accompagnés par le CCAS dans le cade de l’épicerie sociale et de jeunes en réinsertion accueillis actuellement à l’école de production de Besançon.

Pour sensibiliser ces différents publics, le programme se décline en six modules pédagogiques. On y trouve par exemple un atelier du goût et de cuisine, une sensibilisation à l’équilibre alimentaire et un ultime sur la lutte contre le gaspillage alimentaire et la réduction des déchets. « La collectivité a un rôle à jouer dans la transmission d’outils pour que les personnes sachent se débrouiller avec la nourriture Â» explique Mr Devesa, qui regrette que certaines connaissances ne soient plus dispensées dans les programmes scolaires. Alexis Guilmain est le directeur de l’école de production de Besançon. Même si les jeunes qu’il accueille se forme avant tout sur les métiers de l’industrie, il explique que cette intervention est très importante car elle « prépare ces grands ados à devenir des adultes Â». « Il nous paraissait intéressant de pouvoir travailler avec ces jeunes sur le thème de l’équilibre alimentaire. C’est à nous de leur donner des codes, des éléments de lecture pour qu’ils puissent se créer leurs propres habitudes et leur propre alimentation Â» argumente-t-il.

Killian (17 ans) ne cache pas que ces ateliers lui ont fait découvrir de nouvelles saveurs. Certes, il continue encore à consommer des plats préparés, mais il a découvert de nouveaux produits et aliments et surtout il s’est aussi découvert des talents de cuisinier. « Cela m’a appris à comment faire. Du coup, j’aime bien cuisiner » explique l’adolescent.

Cette phase de test se terminera en juin prochain. Une évaluation sera ensuite menée pour analyser la pertinence de cette opération. A Besançon, Cyril Dewesa aimerait pouvoir la poursuivre et l’ouvrir encore à un plus large public.

En raison des conditions météos actuelles, le commandant de police de Pontarlier a décidé de mettre en place une opération de sensibilisation concernant les phares des véhicules.

« De nuit la visibilité est réduite, la neige et la pluie viennent rajouter des difficultés, il ne faut pas en plus causer des accidents à cause d’un phare cassé Â» explique le commandant Trousseau.

Depuis dix jours, ils circulent dans le Grand Pontarlier afin de sensibiliser les automobilistes. « Désormais nous allons sévir, un automobiliste avec le phare gauche cassé devient dangereux pour le conducteur qui arrive en face et qui croit avoir à faire à un deux roues Â» confie le commandant.

Les forces de l’ordre recommandent donc de vérifier les optiques de son véhicule avant tous trajets effectués de nuit.

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