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Quentin Fillon Maillet a remporté ce samedi la poursuite de la manche de Coupe du Monde de Soldier Hollow. Il s’agit de la deuxième victoire de sa carrière en Coupe du Monde,  après s’être imposé lors de la mass start d’Antholz.

Simon Desthieux se classe 3è. Simon Fourcade décroche la quinzième place, devant Fabien Claude et Antonin Guigonnat.

Nouvelle déconvenue pour l’ESBF ce samedi soir. Les filles se sont inclinées sur le score de 34 à 29 à Fleury Loiret.

La prochaine journée de championnat est programmée mercredi soir, à 20h, au palais des sports Ghani Yalouz, contre Metz.

National 2

Grasse 2 – 1 Pontarlier

Annecy 4 – 0 Jura Sud

Losc (2) 0 – 0 Belfort

National 3

Besançon Football 1 – 1 Sochaux Montbéliard (2)

Morteau Montlebon – Dijon (2) (reporté)

Jura Dolois 2 – 2 Louhans Cuiseaux

FC Grandvillars 2  – 0 Racing Besançon

Le départ est prévu mardi. Tous les concurrents de la région se donneront rendez-vous à 6h, à Chateaufarine, pour prendre la route ensemble. Cette année encore, plusieurs équipages francs-comtois participent au 4L Trophy, ce rallye raid solidaire ouvert aux jeunes âgés entre 18 et 28 ans. Le départ sera officiellement donné le 21 février. La fin de l’épreuve est prévue le 3 mars. Soit douze jours d’aventure, notamment dans le désert marocain.

Au programme : des épreuves d’orientation jusqu’au pied des dunes du Sahara et une étape marathon de 48 heures en autonomie. Le classement ne tient pas compte de la vitesse, mais du nombre de kilomètres parcourus. La Solidarité a également toute sa place puisque les participants accomplissent une mission auprès de l’association Enfants du désert et la Croix Rouge française.

Parmi les équipes engagées, il y a le duo formé par Camille Vuillequez et Elisabeth Colot. Ces deux anciennes étudiantes bisontines sont prêtes et attendent impatiemment le départ. La 4L est prête. Le budget est quasiment bouclé. Les dunes, les bivouacs, les épreuves, l’ambiance,… . Les filles savent qu’elles vont vivre un moment inoubliable. C’est d’ailleurs ce qui a décidé Camille, qui a dû se positionner en quelques heures seulement, après les désistements des deux premières amies d’Elisabeth qui, pour des raisons professionnelles, ont dû abdiquer. Ce samedi après-midi, les deux aventurières se sont installées dans la galerie marchande des passages Pasteur, à Besançon, pour rencontrer les Francs-Comtois et mener une dernière action lucrative.

Le rassemblement des gilets jaunes de ce samedi a une nouvelle fois de plus dégénéré à Besançon. Des individus sont parvenus à rentrer dans le centre commercial, provoquant de la panique chez les commerçants et les clients. Des enfants complètement apeurés ne pouvaient contenir leurs pleurs. Des dégradations ont été commises également. Des heurts ont éclaté également au retour lorsque les manifestants ont été bloqués à hauteur de la rue de Dole. Deux interpellations ont été effectuées. L’une pour outrage envers les forces de l’autre. La seconde pour des jets de projectile.

Ce samedi, ce sont entre 450 et 500 personnes qui ont participé à l’acte 14 des gilets jaunes à Besançon. Parti de la place de la Révolution, au centre-ville de Besançon, le cortège s’est dirigé vers le centre commercial de Chateaufarine. Les manifestants sont également passés devant la maison d’arrêt.

Comme à l’accoutumée, la manifestation a débuté par des prises de parole. Les dernières gardes à vue ont notamment été dénoncées. Les manifestants ont demandé la libération du jeune homme de 21 ans, incarcéré à l’issue de l’audience qui s’est tenu vendredi, pour avoir jeté des mortiers sur plusieurs gendarmes lors de l’acte 13, à hauteur du rond-point de Chalezeule.

Ce samedi, dans le cortège, des fonctionnaires, des blouses blanches, des syndicalistes, des personnes sans emploi, des lycéens et des étudiants. Les manifestants ont une nouvelle fois appelé à la démission du Président de la République. Le RIC, une meilleure justice sociale ou encore une autre politique d’immigration, … étaient au cÅ“ur des revendications. Les gilets jaunes dénoncent les pressions qu’ils subissent « pour les empêcher de manifester Â».

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