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Le 13 février dernier, le sénateur du Doubs Jean-François Longeot a été désigné par Gérard Larcher, le président du Sénat, pour siéger au sein du haut comité du système de transport ferroviaire en qualité de membre titulaire. Cette instance, présidée par le ministre chargé des Transport, a pour mission d’éclairer le gouvernement et le parlement sur la situation du système ferroviaire national et de proposer ou d’évaluer les grandes orientations de la stratégie nationale dans le domaine ferroviaire.

Le parlementaire fait savoir que, suite à la rédaction d’un rapport parlementaire relatif à l’ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs, déposé le 21 mars 2018, il veillera « avec attention aux discussions portant sur les enjeux du secteur ferroviaires dans le cadre de l’examen au Sénat du projet de loi d’orientation des mobilités Â».

Besançon : Une pétition pour s’opposer au projet d’écoquartier de la ville

A Besançon, l’association « le jardin des Vaîtes Â» s’est créée pour s’opposer au projet d’éco quartier de la ville sur ce territoire bisontin. Claire Arnoux et les membres de cette association montent au créneau pour dénoncer un projet « qui n’a que le nom d’écoquartier Â» et « qui va supprimer des terres agricoles, des espaces naturels, des jardins ouvriers et autres espèces protégés Â». Le collectif rappelle également la qualité de la terre à cet endroit et les zones humides qui s’y trouvent, et assurent « une autonomie en eau de l’ensemble des jardiniers de la zone Â». Alors, pour toutes ces raisons, le projet municipal ne passe pas. « La mairie veut tout bétonner Â» déplore Claire Arnoux.

Selon l’association, rien ne justifie l’existence d’un tel projet, d’autant plus qu’à Besançon, « le taux de vacance locative est en augmentation Â». « Techniquement, on n’a pas besoin d’urbaniser l’ensemble de la zone à cet endroit-là Â» explique-t-elle. Claire Arnoux tient également à préciser qu’avec le réchauffement climatique que nous subissons, « ces poches de verdure sont à protéger Â». « Toutes les personnes qui sont restées en ville l’été dernier en ont bien conscience Â» ajoute-t-elle. A ce sujet, plusieurs personnalités nationales, engagées dans la cause environnementale, ont apporté leur soutien à cette initiative.

Pour signer cette pétition, rendez-vous sur la plateforme change.org et cliquez sur le lien « préserver les Vaîtes poumon vert en cÅ“ur de ville Â» : https://www.change.org/p/pr%C3%A9servez-les-va%C3%AEtes-poumon-vert-en-coeur-de-ville?recruiter=443371322&utm_source=share_petition&utm_medium=email&utm_campaign=share_email_responsive&recruited_by_id=3f56f7e0-9d8a-11e5-8c4a-47490f282882

A l’image de leurs homologues européens et parisiens, les jeunes bisontins se mobilisent à leur tour pour le climat. Le 15 mars prochain, un rassemblement se tiendra à 10h au centre-ville de Besançon.

Cette manifestation s’inscrit dans le cadre d’un appel à la « grève internationale pour le climat Â», lancé par l'adolescente suédoise Greta Thunberg. Une quarantaine de villes en France sont déjà dans les starting-blocks. Besançon en fera partie.

De nombreuses villes de Franche-Comté ont répondu à l'appel lancé par les partis politiques, les mouvements et les associations à organiser ce mardi soir une mobilisation contre l'antisémitisme.

La section socialiste du bassin de Lons-le-Saunier a décidé d'organiser ce rassemblement ce mardi à 18h place de la Liberté à Lons-le Saunier. "L'antisémitisme n'est pas une opinion, mais un délit. Il est redevenu une incitation au meurtre" exprime l'appel lancé par les différents mouvements politiques. 

Besançon et Ornans ont également décidé d'organiser des rassemblements pour dire "Non, l'antisémitisme, ce n'est pas la France !"

Ce rassemblement se tiendra ce mardi soir à 19h sur l’esplanade des Droits de l’Homme à Besançon. Dans la cité comtoise, l’association France Palestine Solidarité considère dans un communiqué de presse « qu’aucune tolérance ne peut être acceptée envers toute forme de racisme, qu’il s’agisse d’antisémitisme, de racisme anti-arabe ou anti-Roms, ou d’autres encore, ni envers quelque forme de discrimination, qu’il s’agisse de l’apartheid israélien, du sexisme, de celles touchant les LGBT, … Â».

L’association condamne « fermement toute forme de racisme et les provocations et amalgames qui assimilent l’antisionisme, qui est une opinion politique critique à l’égard de la politique israélienne, à l’antisémitisme, qui est un racisme, et qui cherchent ainsi à criminaliser une position politique, ce qui est non seulement une atteinte grave à la liberté d’expression, mais aussi un dangereux dévoiement de la lutte contre l’antisémitisme Â».

L’association France Palestine Solidarité regrette que certaines grandes formations politiques, qui appellent à se rassembler, « entretiennent malheureusement trop souvent les amalgames Â» et, qu’en termes d’antiracisme « agissent souvent en pompiers pyromanes Â».

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