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Une bonne nouvelle en provenance du Haut-Doubs et de Belleherbe plus précisément. La mobilisation des parents d’élèves a payé puisque le village conserve finalement sa huitième classe menacée. L’info est tombée hier soir.

Le conseil départemental du Doubs fait savoir que les travaux de transformation du carrefour des départementales 11 et 216 entre Chemaudin et Vaux sont désormais une réalité. Le projet porte sur la transformation du carrefour en croix en un carrefour giratoire. Ces travaux incluent également la modification du tracé de la RD 216, la création d’un chemin en site propre et d’une traversée mode doux de la départementale 11, la reconstruction d’un mur de soutènement et le remodelage des terrains autour du carrefour.

L’objectif principal de cet investissement est de sécuriser l’écoulement des différents flux de circulation pour les automobilistes, les cyclistes et les piétons. Le coût total de l’opération, financé par le Département, avec une participation de la commune, s’élève à 670.000 euros, dont 570.000 euros à la charge du Département.

Le projet global repose également sur la création d’une liaison piétonne le long de la route départementale, accompagnée de la réfection et de l’adaptation de cette dernière. Cet aménagement est réalisé par la commune et le Grand Besançon, avec une participation financière du Département.

Ce mercredi à Pontarlier la presse était réunie au cÅ“ur des anciens ateliers municipaux, afin de découvrir l’avancement des travaux d’aménagement du futur îlot Saint-Pierre.

L’année 2019 marque la déconstruction de l’ancien Centre Technique Municipal. Ce grand programme d’aménagement initié par la Ville de Pontarlier en 2015 s’inscrit dans le cadre d’une reconversion urbaine.

Concernant le quartier Saint-Pierre, la Ville a choisi de déléguer en concédant la majorité du projet à la société Territoire 25. L’entreprise a démarré les travaux il y a quelques semaines. Ils  sont organisés en trois phases. Ils ont débuté  par le désamiantage des lieux. Ce lundi,  ils se sont poursuivis par la déconstruction des locaux de l’ancien Centre Technique Municipal. L'ancienne caserne des pompiers sera également démolie. La dernière phase consistera à dépolluer les sols, en effet une cuve d’hydrocarbure est située sur le terrain suite aux anciennes activités du quartier.

La fin des travaux de déconstruction est prévue cet été.

Pour rappel, l’aménagement final de l’îlot St Pierre regroupera la maison médicale, une résidence pour les seniors et 140 logements. Connaissant le marché immobilier pontissalien, la municipalité a souhaité que ces logements soient accessibles à un plus grand nombre. Ils seront donc vendus 20 à 30% moins cher que le prix du marché pontissalien, afin d’élargir l’accès à la propriété.

Ce mercredi, le tribunal pour enfants de Montbéliard a condamné un adolescent de 16 ans à 20 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat d’une dame de 88 ans en janvier 2018 à Vieux-Charmont. Son complice, un individu de 18 ans, comparaîtra prochainement devant la cour d’assises de Besançon.

Ce sont des proches de l’octogénaire qui ont découvert son corps sans vie. La victime a été asphyxiée avec un sac plastique et étouffée sous son matelas. Les malfrats sont repartis avec un téléviseur et de l’argent en liquide. Un bien maigre butin pour des vies gâchées.

Jusqu’à jeudi, la fédération française de tennis de table organise à Besançon, au Palais des sports, les championnats de France des régions de tennis de table dans les catégories minimes et cadets. Ce sont les meilleurs jeunes pongistes de France qui se disputent actuellement le titre suprême en terre bisontine.

13 comités régionaux, soit environ 250 jeunes compétitrices et compétiteurs, répartis en quatre catégories : filles et garçons minimes et filles et garçons cadets, se défient. Pour figurer dans ce tableau final, les jeunes ont été sélectionnés par leur comité régional respectif. En Bourgogne-Franche-Comté, deux équipes sont engagées. Ses jeunes licenciés évoluent dans les catégories minimes filles et cadets garçons. Il faut remonter en 1992 pour voir un championnat de France de tennis de table se disputer à Besançon.

Les équipes sont composées de trois ou quatre jeunes, lorsqu’elles comptent un remplaçant. Une rencontre se décline en cinq parties. La victoire revient à l’équipe qui a remporté trois parties. Les rencontres sont âprement disputées.

Léo (15 ans) fait partie du PSB tennis de table. L’adolescent n’a pas été retenu pour cette compétition, mais il vient donner le coup de main aux bénévoles de son club qui ont la lourde charge d’organiser au mieux l’évènement. Fair-play, Léo « félicite Â» tous les participants qui s’affrontent durant ces trois jours. « Ils ont beaucoup de mérite. C’est du très haut niveau. C’est compliqué d’y accéder. Il y a beaucoup de travail à fournir Â» explique-t-il.

La compétition se poursuit ce jeudi encore. N’hésitez pas à faire le déplacement au Palais des sports. Le spectacle est assuré.

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