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Les sapeurs-pompiers du Doubs ont été appelés en fin de journée, ce jeudi, pour un incendie. 

Un violent feu s'est déclaré dans un entrepôt à Baume-les-Dames, rue de derrière les murs. 

L'intervention des pompiers est en cours pour tenter de maîtriser les flammes et éviter la propagation de l'incendie aux maisons mitoyennes.

Si vous avez des projets, des envies ou des idées de constructions d’habitat en bois, vous aurez l’occasion de poser toutes vos questions au 3ème Salon Habitat Bois ce samedi et ce dimanche à Valdahon.

Le Village Expo bois Gardavaud sera accessible pour deux jours de salon avec de nombreux exposants. Des animations sont également prévues pour les enfants avec un château gonflable et une mini-ferme. Tandis que les parents pourront découvrir le savoir-faire des artisans et des commerçants locaux.

Au cours du weekend, Gardavaud Habitations réserve également une annonce surprise aux visiteurs concernant un nouveau projet d’habitat collectif situé aux portes de Besançon.

Le rendez-vous est donné ce samedi 18 et ce dimanche 19 mai, de 1àh à 18h, au 23 grande rue à Valdahon pour la 3ème édition du Salon de l’Habitat en bois Gardavaud.

Le Premier Ministre, Edouard Philippe a annoncé ce matin qu’il serait prêt à laisser aux présidents de conseil départementaux, la capacité de déroger aux 80km/h sur les routes secondaires. Edouard Philippe a tout de même précisé son attachement au « plus haut niveau de sécurité routière possible Â».

Michel Raison, sénateur de Haute-Saône a réagi suite à cette annonce. « Il s'agit d'une fausse ouverture de la part du Premier ministre qui omet sciemment de préciser que l'amendement proposé par LREM exclue du dispositif les routes nationales qui font partie du réseau secondaire Â» explique Michel Raison.

Ce vendredi 17 mai, c’est la journée internationale de lutte contre l’homophobie. Depuis quelques années, avec notamment le débat sur le mariage pour tous , les actes et les propos homophobes se multiplient en France. Actuellement, au niveau national, les autorités enregistrent une agression homophobe tous les deux jours. Cet été, la ville de Besançon n’a pas été épargnée avec huit agressions physiques survenues au parc Micaud en juillet et août et une autre en septembre dernier. Des faits que les autorités n’ont pas manqué de sanctionner.

Les actions du Refuge

A Besançon, comme dans d’autres territoires de l’Hexagone, l’association « Le Refuge » écoute, soutient, héberge et accompagne des garçons et des filles âgés de 18 à 25 ans en situation d’isolement. Certains d’entre eux ont été mis à la porte du domicile familial pour leur orientation sexuelle. Ce qui engendre une véritable précarité et souvent un mal être total. Il en ressort notamment que les tentatives de suicide sont treize fois plus élevées chez les jeunes homosexuels. « Nous avons connu récemment, la situation d’une jeune fille d’origine maghrébine, à qui l’on a imposé un viol collectif pour lui faire aimer les garçons et lui faire adopter une autre sexualité » explique Bernard Bressand, le délégué régional du Refuge en Bourgogne Franche-Comté. Dans la cité comtoise, pour aider ces jeunes et les éloigner des dangers de la rue et de la prostitution, la structure dispose d’un appartement de trois places permettant un accueil sur une durée maximale de 6 mois, pouvant être renouvelée exceptionnellement une fois. Des permanences sont également assurées par une équipe de 25 bénévoles.

Interventions dans les lycées

Tout au long de l’année, en Bourgogne Franche-Comté, l’association « Le Refuge » intervient dans les établissements scolaires, principalement dans les lycées, pour lutter contre l’homophobie et inciter la jeunesse à faire preuve de tolérance et d’ouverture. Au cours des échanges, de plus en plus de jeunes manifestent ouvertement leur hostilité aux homosexuels. Des propos parfois violents y sont tenus. La peur de la différence, un manque de repère et d’éducation et l’omniprésence des religions dans notre société sont sans doute à l’origine de cette violence verbale et physique. Les réseaux sociaux, les quartiers, la campagne, … autant d’endroits où il est devenu difficile d’affirmer ses choix et de les vivre pleinement. « Certains jeunes homosexuels, éloignés des grandes villes, souffrent énormément. Alors qu’il est possible de passer plus inaperçu en ville, à la campagne la situation est toute autre. Alors, on fait semblant. On se trouve un petite copine pour donner l’impression que l’on vit comme les autres » explique Bernard Bressand.

Le responsable bisontin ne le cache pas. « Même si l’homosexualité est reconnue légalement en France, il devient de plus en plus difficile de l’affirmer ». D’où l’importance de la grande marche militante qui se tiendra ce samedi, à partir de 14h30, au centre-ville de Besançon. Rendez-vous au parc Micaud.

Pour joindre le Refuge : 06.31.59.69.50. Pour soutenir le Refuge : www.le-refuge.org

Ce matin, les parents d’élèves de l’école Rivotte à Besançon ont rencontré Marie Zehaf, l’élue en charge de la voirie à la ville de Besançon, pour évoquer la vitesse excessive des automobilistes à proximité de l’établissement scolaire. Les parents d’élèves, inquiets pour la sécurité de leurs enfants, ont demandé la création d’une signalisation horizontale, jugeant que les panneaux actuels, imposant une vitesse à 20 km/h, étaient peu visibles et souvent inconnus des automobilistes. La ville n’a pas validé ce choix, qu’elle ne juge pas pertinent.

Dans ces conditions, il a été décidé de multiplier les contrôles aux abords de l’école. Dans un premier temps, dès la semaine prochaine, la police municipale mènera une action de sensibilisation, avant d’entamer une démarche répressive les jours suivants.

De leur côté, les parents de l’école Rivotte comptent sur la responsabilité de chacun pour réduire sa vitesse et respecter les piétons et les cyclistes.

 

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