C’est une intervention qui n’est pas passée inaperçue. Elle a trouvé un écho au niveau national, et notamment auprès du syndicat majoritaire des Cadres de la Sécurité Intérieure et des officiers et commissaires de police. Elle fait référence à la critique émise par l’élu bisontin du parti Génération.S Kévin Bertagnoli, qui a fait remarquer, lors du denier conseil municipal de Besançon, à Yves Cellier, le directeur interdépartemental de la police nationale du Doubs, qu’il était venu armer. Le policier était venu dresser le bilan de ses effectifs sur le territoire bisontin.
Ce dernier a expliqué « qu’il était un policier de la République, et que dans ses conditions, il portait son arme ». Il a également rappelé, « qu’en mars 2002, lors d’un conseil municipal à Nanterre, huit conseillers municipaux ont été tués par un individu. La présence d’un policier armé leur aurait peut être sauvé la vie ». « Certains élus NUPES n’aiment pas la police » en a conclu le syndicat policier.