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L’appel à idée du budget participatif de la ville de Besançon est officiellement terminé. Pour cette nouvelle édition, plus de 130 projets ont été déposés par les Bisontins dans l’ensemble des quartier de Besançon. Ils émanent de collectifs désireux de proposer de nouveaux services, de nouvelles infrastructures, de nouvelles animations sur leur territoire de vie.

De décembre 2023 à mai 2024, les services municipaux étudieront la faisabilité technique, juridique et financière des projets déposés. Par ailleurs, du 11 mai au 1et juin prochain, les initiatives qui respectent le règlement intérieur du budget participatif seront soumis aux votes des Bisontins. La ville de Besançon a prévu une enveloppe de 250.000 euros sur cette édition, pour un montant de 1 million d’euros sur la totalité du mandat. Soit 100.000 euros par projet.

Il est possible de retrouver l’ensemble des projets citoyens sur atelierscitoyens.besancon.fr, rubrique « budget participatif-saison 2 ».

L'interview de la rédaction  / Kevin Bertagnoli

 

La ville de Besançon et le Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie viennent d’acquérir une huile sur toile de François Boucher, intitulée « le Mérite de tout pays ». La cité bisontine évoque une toile « très rare par son format et ses dimensions ». Cette acquisition a été obtenue lors d’une vente aux enchères pour un montant de 115.000 euros. Le fonds du patrimoine et le fonds régional d’aide aux musées ont été sollicités,  ainsi que les amis du musée,  pour le financement de cette œuvre.

Dans un communiqué de presse, la majorité bisontine, composée des élus écologistes, socialistes, d’à gauche citoyens et de la société civile, demandent à la préfecture du Doubs une dérogation pour que les commerces de proximité puissent accueillir leur clientèle le dimanche 31 décembre. L’objectif étant de ne pas mettre en concurrence ces commerces, avec certaines grandes surfaces, qui seront ouvertes ce jour-là.

Depuis le début du mandat, la majorité municipale a fait de l’éducation sa priorité. Depuis leur prise de fonction, Pascale Billerey et Claudine Caulet,  ont souhaité travailler avec tous les acteurs éducatifs de la ville, les parents y compris. Et ce,  pour mettre en place, dans les quartiers,  des projets au plus près des réalités du terrain et du territoire. Neuf zones ont été définies. Sous la forme d’ateliers participatifs, ce sont 101 référents qui ont été réunis pour définir et écrire le projet éducatif de la cité. La parentalité, l’inclusion et l’accompagnement des enfants à besoins spécifiques, le vivre ensemble et l’écocitoyenneté sont les quatre piliers de cette démarche. En procédant ainsi, les élus ont voulu créer du lien entre ces différents intervenants et instaurer une continuité éducative tout au long du temps de vie des enfants.

Création d’outils et d’actions éducatives

Cette réflexion commune et ciblée à donner naissance à des outils et des actions pédagogiques. Un groupe de travail sur la sécurité routière aux abords des écoles a permis d’initier l’installation de pastilles de couleurs pour signaler les écoles et la pose d’une borne pour fermer les rues à l’heure d’arrivée et de départ des enfants, dans le secteur Pesty. La création d’un kit d’outils pour aider les équipes à accompagner les enfants à besoins spécifiques, la création d’un jardin dans une école, pour sensibiliser à la biodiversité, et la formation des agents périscolaires, enseignants et enfants à la gestion de conflits font partie des initiatives qui ont pu voir le jour.

L''interview de la rédaction : Pascale Billerey

Dans le cadre de son plan Climat Air Energie, la Ville de Besançon entend, d’ici 2026, prendre les mesures nécessaires pour consommer 60% d’énergie renouvelable dans les bâtiments publics et diminuer, à hauteur de 20%,  ses consommations énergétiques et les gaz à effet de serre.. En parallèle, la cité comtoise continue de développer l’utilisation des énergies renouvelables. C’est dans ce cadre-là que s’inscrivent différents projets, qui trouvent encore plus leur sens avec la crise énergétique que nous connaissons encore. Bois énergie, solaire photovoltaïque, solaire thermique, … les initiatives ne manquent pas. Au total, la Ville a prévu, sur l’intégralité de l’actuel mandat, une enveloppe de 5,9 millions d’euros pour financer son plan sobriété

Focus sur deux projets novateurs

Sur le secteur Granvelle, la production d’énergie se fera par la géothermie. La nappe du Doubs à Granvelle est suffisante pour fournir la ressource nécessaire pour assurer les besoins de chaleur du musée du Temps, du Kursaal et du Théâtre Ledoux. Une reprise des travaux est prévue l’année prochaine.

Par ailleurs, à compter de demain, les travaux pour l’installation d’une première chaudière à bois mobile débuteront à l’école des Beaux-Arts de Besançon. Elle couvrira plus de 80% des besoins en énergie de la structure. Trois autres sites en seront prochainement dotés : la cuisine centrale, le groupe scolaire Jean Zay et la mairie. Ces installations sont transitoires, à terme ces sites seront raccordés au réseau de chaleur urbain. Cependant, la ville  ne veut pas attendre la fin des travaux en cours, compte tenu de la hausse du prix du gaz de ces deux dernières années. Le coût de cet investissement s’élève à plus de 1 million d’euros. Cet équipement devrait être mis en place pour une durée de 4 à 5 ans, avant de connaître d’autres destinés. Avec les quatre chaudières la Ville de Besançon entend faire une économie de 124.000 euros environ. 

L'interview de la rédaction / Annaïck Chauvet, élue en charge des bâtiments et de l'énregie à la Ville de Besançon

 

 

Ginko fait savoir qu’en raison de travaux d’élagage chemin de La Chapelle des Buis, et pour des raisons de sécurité, la ligne 23 sera perturbée, ce mardi, à Besançon. Ces perturbations sont prévues du début à la fin du service. N’hésitez pas à vous rendre sur le site internet de Ginko pour obtenir de plus amples informations et connaître l’évolution du trafic en temps réel.

Les élus de la Ville de Besançon, de Grand Besançon Métropole et du Centre Communal d’Action Sociale ont décidé d’attribuer une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat, prévue par le décret du 31 octobre dernier, aux agents territoriaux. Cette indemnité varie de 300 à 800 euros bruts, selon le niveau et la période de rémunération. Elle sera versée dès ce mois-ci aux fonctionnaires répondant aux critères établis. Cet effort budgétaire représente un coût de plus de 1 million d’euros  pour la ville de Besançon, 530.000 euros pour Grand Besançon Métropole et 169.000 euros pour le Centre Communal d’Action sociale.

Ce mercredi après-midi, quatre enfants et adolescents, âgés de 6 à 14 ans, dont le frère ou la sœur sont suivis au service hématologie Oncologie pédiatrique et à l’hôpital de jour de pédiatrie du CHU de Besançon, ont reçu les livres qu’ils ont réalisés durant une prise en charge spécifique lors de la dernière année scolaire. Durant ces dix séances, au CHU Minjoz, ces garçons et filles ont participé à ce dispositif groupal, de fratrie,  d’accompagnement à l’écriture.

Proposée  par Déborah Maillot, psychologue clinicienne au centre hospitalier bisontin, et animée par une biographe hospitalière de l’association  doloise « Traces de vie », cette initiative motivait un triple objectif. Tout d’abord, celui de donner la possibilité à ces enfants, qui vivent et subissent la maladie d’un proche, de partager une activité, de rencontrer d’autres jeunes, qui connaissent  un quotidien proche du leur, et de pouvoir dire et exprimer leurs émotions, leurs doutes, leurs souhaits et leurs difficultés dans ce quotidien qui leur échappe et dans lequel ils doivent exister et trouver une place.

Le reportage de la rédaction

 Quatre créations très personnelles

Les enfants ont donné libre cours à leur imagination. Ils ont créé des ouvrages très personnels. Certains d’entre eux, à l’image de Loïs (12 ans)  souhaitent en garder la primeur à leur famille. Les jeunes participants ont apprécié cette initiative. Chacun a trouvé sa place et un véritable groupe s’est créé. Cet atelier a permis de se libérer un peu, de s’évader ou d’envisager un autre avenir, que seuls les mots et les crayons permettent.  Ce mercredi, à la maison des familles, durant quelques minutes, ils ont également partagé un moment avec leurs parents. Un petit instant de plaisir. Un moyen d’arrêter le temps et de vivre un peu dans l’insouciance de leur âge, dans cette vie où la maladie a pris tellement de place.

Le reportage de la rédaction

A Besançon. Dans le cadre des travaux entrepris au Centre Pierre Bayle, la Ville de Besançon fait savoir que la célèbre statue « l’arroseur arrosé » de Pascal Coupot va changer provisoirement de lieu. Elle sera stockée le temps du chantier dans les réserves du Musée, pour ensuite retrouver sa place initiale lorsqu’elle ne sera plus menacée.

 

La Ville de Besançon annonce le lancement d’une nouvelle campagne de dératisation entre le 20 et le 30 novembre. La cité rappelle que « ces animaux représentent une menace permanente d’épidémies ». Des techniciens et des égoutiers municipaux procéderont à la dératisation de la totalité du réseau visitable d’égouts, soit environ 65 kilomètres.