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A Besançon, suite à un effondrement karstique, la départementale 572 reste fermée à la circulation dans les deux sens dans la rue de Vesoul,  à hauteur de la rue de Chaillot, jusqu’au giratoire Cassard. Et ce, pour une durée indéterminée. Un périmètre de sécurité et des déviations sont mis en place. L’accès des riverains et aux commerces est maintenu. Des investigations sont menées pour connaître les causes de cet incident et ses conséquences sur l’ensemble des réseaux.

Ce lundi, à Besançon, à Montrapon, des habitants du quartier se sont mobilisés pour aménager un lieu de vie agréable, participant également à la lutte contre les îlots de chaleur. Enfants et adultes ont répondu à l’invitation de l’agence Néolia pour planter des arbres. Au total, 450 plants ont été enracinés sur un espace, qui était délaissé par les habitants. Différentes espèces ont été sélectionnées.

Arbres montrapon

 

La méthode Miyawaki

Cette démarche consiste à planter de façon très dense. Trois arbres par M2 y sont ainsi positionnés, en associant dans chaque petite parcelle chacun des trois strates d’une forêt naturelle. « Le but est de faire quelque chose de très dense pour que cela pousse et que les essences plus fortes prennent le dessus sur les autres. En deux, trois ans, la forêt va devenir complètement autonome » explique Baptiste Poli, responsable d’agence pour Néolia.

 

ARBRES MONTRAPON 3

Deux projets à Besançon

En parallèle de la réhabilitation thermique de ses bâtiments, Néolia a prévu un autre projet  de verdissement sur le territoire bisontin. « Nous voulons faire quelque chose de citoyens. «  Nous souhaitons que les gens se réapproprient cet espace. Nous en ferons ce qu’ils souhaitent. On peut tout envisager, comme l’installation de bancs par exemple » ajoute M Poli. « Je trouve que c’est bien car les gens s’investissent » explique cette habitante du quartier. Et de poursuivre : « Des gens qui, habituellement, ne vont pas se parler, vont trouver une réalisation commune ». Du haut de ses 12 ans, Brahim est également présent. Le jeune adolescent a plaisir à venir donner le coup de main. « Je me suis mis en binôme avec un adulte. Je voulais m’amuser et planter un arbre avec mes amis » conclut le jeune bisontin.

L'interview de la rédaction Baptiste Poli, responsable d’agence pour Néolia.

L'interview de la rédaction : Gisèle, habitante du quartier, et Brahim, jeune participant

 

ARBRES MONTRAPON 4

Les sapeurs-pompiers sont intervenus, ce dimanche après-midi,  pour un feu de cave dans un immeuble d’habitation collective de cinq étages à Besançon, 21 rue de la Mouillère. L’action rapide des secours a permis de préserver l’incendie à la cave. On ne déplore aucun blessé. Aucun relogement ne sera nécessaire.

La Ville de Besançon fait savoir qu’une rue de la ville  portera le nom du Colonel de Gendarmerie Arnaud Beltrame. Pour honorer sa mémoire, Anne Vignot proposera au conseil municipal qu’une des voies du projet Grette-Polygone porte son nom. « Arnaud Beltrame  est un exemple de l’engagement des hommes et des femmes dans nos forces républicaines de sécurité » explique le communiqué de la ville. Le Colonel de Gendarmerie  Arnaud Beltrame a été tué lors d’une attaque terroriste, le 23 mars 2018 à Trèbes, après s’être substitué à un otage dans un supermarché.

La Citadelle de Besançon a rouvert ses portes après une fermeture hivernale habituelle. A l’occasion de ces vacances, le site bisontin propose une programmation culturelle variée. Des visites thématiques du site et de ses musées sont proposées. Jusqu’au 31 mars, la Citadelle est ouverte de 10h à 17h, sauf le lundi. Pour de plus amples informations et faire une réservation : www.citadelle.com ou https://billetterie.citadelle.com/fr-FR/accueil

La Ville de Besançon définit une nouvelle organisation à son service « hygiène et santé » et lui donne également une nouvelle identité. Désormais, appelez-le « service de santé publique ». A travers cette perspective, Anne Vignot et son équipe s’engagent dans une démarche « une seule santé ». Pour faire simple, la majorité municipale veut s’inscrire dans une évolution plus large, répondant aux enjeux sanitaires et environnementaux d’aujourd’hui. L’objectif est de faire savoir et d’appliquer des actions reconnaissant que la santé va au-delà de l’hygiène individuelle, mais englobe d’autres composantes que sont la santé humaine, animale et environnementale dans un ensemble interconnecté. « Ce service fait un travail de coordination de toutes les actions qui peuvent être menées dans toutes nos politiques » explique Anne Vignot.

Engagement des différents services de la Ville

Ainsi, cette nouvelle démarche prend forme dans une approche globale, impliquant différents services de la ville de Besançon. Anne Vignot veut  une réponse coordonnée face aux défis croissants en matière de santé publique tels que le changement climatique, les enjeux liés à l’alimentation, la nécessité d’une vaccination étendue, la lutte contre la sédentarité et la gestion des maladies vectorielles. Des actions qui s’organisent également avec Grand Besançon Métropole, via le Contrat Local de Santé.

Trois grands champs

Le service santé publique s’articule ainsi autour de trois grands champs que sont : la salubrité publique santé environnement, la prévention et la promotion de la santé et la vaccination. C’est dans ce cadre-là que de nombreuses actions sont mises en œuvre, avec différents autres partenaires et experts,  comme : la lutte contre les îlots de chaleur, la présence du moustique tigre et  les piqûres de tique, la qualité de l’air, … . Précurseur dans ce domaine, en se dotant d’un service spécifique depuis 1890, la Ville de Besançon continue d’exister dans ce domaine. Elle organisera, en 2024, les états généraux de la santé en région, et, en 2025, le colloque national du réseau français Villes-Santé.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

Les oppositions municipales, « Ensemble Bisontins ! » et « Besançon Maintenant » et leurs chefs de file Laurent Croizier et Ludovic Fagaut dénoncent l’utilisation par la ville de Besançon du magazine d’information municipale, en l’occurrence le N°451, « pour sa propagande ». Il est dénoncé l’interview d’Anne Vignot, « sur six pages », sur la récente loi dite « immigration ». Les élus exigent « le remboursement de l’intégralité de l’argent public utilisé à des fins de propagande politique personnelle ». Ils disent avoir « saisi le préfet » et étudient « la possibilité de saisir le tribunal administratif ».

La rénovation, notamment thermique, de l’école maternelle Pauline Kergomard, implantée avenue de l’Observatoire à Besançon, est désormais terminée. Cette école fait partie des quatre premiers sites bisontins qui ont bénéficié du soutien de la Ville de Besançon dans le cadre du plan école,  que la cité met en œuvre. D’un montant global de 70 millions sur ce mandat, cette enveloppe conséquente a pour objectif de financer des travaux importants dans les domaines de la consommation énergétique, de la sécurité, mais également du mieux être et du vivre ensemble de tous les acteurs de l’école, qu’il s’agisse des enfants, des enseignants et des familles. La Ville de Besançon a bien compris que ce sont dans ces établissements que l’avenir se joue.

Un investissement de 2,5 millions d’euros

Concernant le seul projet de l’école maternelle Kergomard, le coût de l’opération s’élève à 2,5 millions d’euros. Ce chantier a lancé de nombreux travaux qui ont permis de diviser par quatre la consommation énergétique. Parmi les interventions qui ont été menées, on notera  la mise en place d’une toiture végétalisée, l’installation de panneaux photovoltaïques et d’une centrale de ventilation double flux, le remplacement des huisseries et des menuiseries existantes et l’utilisation de matériaux bio-sourcés pour un meilleur confort thermique… . Concernant les aménagements extérieurs, les sols ont été désimperméabilisés, pour une meilleure gestion et économie des eaux de pluie, et végétalisés, avec l’apport d’arbres supplémentaires. La direction de l’école le certifie, les conditions d’accueil et d’enseignement ont changé et le quotidien est devenu plus agréable.

L'interview de la rédaction / Annaïck Chauvet, élue en charge de la transition énergétique

 

Ca ne l’aura échappé à personne, c’est la Saint Valentin et, dans ce cadre-là, le Musée des Arts et du Temps de Besançon organise une nocturne thématique. Le rendez-vous est fixé de 18h à 22h. L’entrée est gratuite.  La Ville de Besançon veut profiter de ces évènements populaires pour ouvrir son musée au plus grand nombre. Et surtout, rendre la culture accessible à celles et ceux qui n’ont pas toujours le réflexe de pousser les portes de ces établissements, qui peuvent paraître austères.  Il y a quelques mois, la jeunesse avait notamment répondu présent.

Pour l’occasion, plusieurs animations seront proposées tout au long de la soirée.  Sur place, le public pourra apprécier la prestation d’un chanteur lyrique. Un blind test, autour de chansons d’amour, est également au programme. Il a été pensé par l’association « Le Cercle ». D’une durée de 30 minutes, il sera proposé, dans le hall du musée, à 18h30, 19h30 et 20h30. Enfin, parmi les autres rendez-vous, il y aura également l’animation des équipes du Musée, qui ont concocté une séquence sur le thème de l’amour, en s’inspirant des œuvres du site bisontin. Pout rendre la soirée encore plus cocooning, l’association des étudiants kiné de Besançon assurera des massages relaxants.

L'interview de la rédaction / Aline Chassagne, adjointe au Maire en charge de la Culture

La Ville de Besançon rappelle que les personnes intéressées par l’achat d’un bien immobilier dans le quartier Grette-Brulard-Polygones doivent se faire connaître avant le 29 février. Une démarche importante pour que Territoire 25, l’aménageur de la Ville de Besançon, puisse finaliser la programmation des logements mis en vente. Pour connaître les démarches nécessaires : https://welcooom.fr/ad/page/projet/quartier-grette-brulard-polygones