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La circulation des trains sera perturbée sur les lignes TER Bourgogne-Franche-Comté à la suite d'un mouvement social national à compter de ce mardi 5 juillet,  en fin de journée,  et jusqu'au jeudi 7 juillet au matin. Il en sera de même pour la  circulation des TGV. La circulation du Lyria sera quasi normal.

Notez par exemple : 1 train sur 3 sur l’axe Dole/Pontarlier 1 train sur 2 sur la ligne Besançon/ Lons-le-Saunier. Des cars de substitution sont prévus entre Besançon et Morteau et Dole et Saint-Claude. Les revendications portent sur les salaires. Pour tout savoir sur les difficultés à prévoir, rendez-vous sur le site www. sncf.com ou www.ter.sncf.com .

En raison du Pont de l’Ascension, les horaires du réseau Ginko sont modifiés. Concernant ce vendredi 27 mai, Keolis applique les horaires « vacances scolaires » pour les lignes T1 à 87. Aucun service n’est assuré sur les lignes « Diabolo ». Fonctionnement normal sur les autres lignes. Concernant samedi, il est précisé que l’application des horaires « vacances scolaires » sera effective sur les lignes 51 à 87. Fonctionnement normal également sur les autres lignes.

Depuis ce lundi 16 mai, le masque n’est plus obligatoire dans les transports en commun. Cet après-midi, à Besançon, aux arrêts de bus et de tram de la ville, la population était plutôt mitigée. Beaucoup ont décidé de continuer à le porter. La peur de contracter le virus, toujours en vigueur en France, est encore bien ancrée dans les têtes.

Jeune et moins jeunes restent méfiants. Certains n’ont pas l’intention d’appliquer les libertés qui leur ont été récemment accordées. La situation sanitaire du pays et la promiscuité dans les transports en commun n’inspirent pas confiance. « C’est un peu précipité » explique Adeline. Et de poursuivre : « Je pense que dans les transports en commun, c’est mieux de le porter ». « Pour le covid, comme pour les autres maladies, je me sens plus en sécurité avec le masque » ajoute Anna.

Antonin, jeune collégien, ne s’en séparera pas non plus. Il a constaté que ce lundi, dans les transports en commun bisontins, les comportements étaient très différents. Même constat pour Angélique, qui reste méfiante. « Certains ont peut-être le covid sans même le savoir. Alors, je préfère me protéger ». « J’ai une santé trop fragile » conclut-elle.  

Le micro-trottoir de la rédaction

A Besançon, des fraudomètres ont été installés dans les bus du réseau Ginko. Ce dispositif prend en compte le nombre de voyageurs qui montent dans un véhicule et met en évidence, sur des écrans d’information, le nombre de voyageurs qui n’ont pas validé leur titre de transport. En fonction du niveau de validation, un message s’affiche pour « féliciter » et « encourager » ou « alerter ». Pour l’heure, ce nouvel outil est expérimenté sur les lignes 4 et 5 jusqu’en juillet 2022. Il sera déployé sur les autres lignes du réseau Ginko si les résultats de l’expérimentation sont fructueux.  

La société Ginko fait savoir que ce dimanche 1er mai, jour férié, les lignes 1 à 6 ne circuleront pas. Seules les lignes Ginko Citadelle, Ginko Hôpital, Ginko Gare, Ginko Clinique et Proxi TGV 1 à 4 circuleront normalement.

Ce lundi 25 avril commençait une semaine de mobilisation à l’initiative de  l’association “Bonne route RN83” afin de protester contre la traversée des camions dans les villages situés sur la route nationale 83 entre  Lons le Saunier et Besançon.  Malgré la pluie, la mobilisation se composait d’un cortège d’une vingtaine de vélos partis du rond-point de Beure pour aller en direction de Larnod, avant de faire demi-tour, perturbant ainsi grandement la circulation.

2500 camions en transit

Les manifestants ne cachent pas leur exaspération. Ils dénoncent l’insécurité ambiante, les perturbations sonores et les impacts de ce trafic incessant sur la qualité de l’air. “Il y a plus de 2500 camions qui traversent cette route chaque jour" explique l'organisateur du rassemblement. Par cette semaine de mobilisation, les habitants attendent des réactions de la part des élus et des services de l’état. Les précédentes rencontres n’ayant rien données.

rn 83 beure larnod 2

D’autres mobilisations à venir

Cette action se poursuit ce mardi sur les secteurs de Quingey et Mouchard. Mercredi, la mobilisation se tiendra dans le village de Samson, avant de rejoindre les communes d’Arbois et de Buvilly. Enfin, une manifestation au giratoire de Beure est programmée ce samedi matin.

Le reportage de la rédaction


La société Keolis indique qu’en raison de travaux boulevard Allende, la circulation du tram bisontin sera perturbée du mardi 19 au jeudi 21 avril et le lundi 25 avril. A partir de 20h30, les lignes T1 et T2 seront perturbées. Dès 21h30, les lignes T1 et T2 ne circuleront plus. Le Plan B sera alors mis en place.

 

En raison de la course cycliste Classic Grand Besançon Doubs, la société Keolis indique que des perturbations sont à prévoir ce vendredi 15 avril de 11h à 16h30 à Besançon et dans les communes périurbaines. Des lignes régulières, des services Diabolo collège et école primaires seront supprimés.

Lignes régulières

Ligne 56 Byans sur Doubs / Osselle-Routelle / Grandfontaine : suppression départ de 12H35 de Besançon Micropolis et départ de Byans sur Doubs de 13H04

Ligne 59 Saint-Vit / Pouilley-Français / Velesmes Essarts : suppression départ sur réservation de 12H35 de Besançon Micropolis et suppression départ sur réservation de 13H05 à Pouilley-Français

Ligne 62 Noironte / Audeux / Champagney / Champvans les Moulins / Pouilley les Vignes : suppression départs de 11H35/12H35 de Besançon TEMIS et départ de Noironte de 13H06 Ligne 63 Chaucenne / Pelousey / Pouilley les Vignes : suppression départs de 11H35/12H35 de Besançon TEMIS et départ de Chaucenne de 13H06

Ligne 65 Venise / Vieilley / Merey-Vieilley / Bonnay / Devecey / Châtillon-le-Duc / Ecole-Valentin : suppression départs de 11H35/12H35 de Besançon TEMIS et départ de Venise de 13H10

Ligne 66 Les Auxons / Miserey-Salines / Ecole-Valentin : suppression départs de 11H35/12H35 de Besançon TEMIS et départ de Les Auxons de 13H05

Ligne 68 Cussey sur l’Ognon / Geneuille / Les Auxons : suppression départs de 11H35/12H35 de TEMIS et départ de Cussey sur l’Ognon de 12H58

Ligne 81 Nancray / Gennes : suppression départ de 11H35 Besançon Chamars • Ligne 82 Montfaucon / Morre : suppression départ de 11H35 Besançon Chamars

Ligne 83 La Chevillotte / Mamirolle / Saône : suppression départ de 11H35 Besançon Chamars Ligne 85 Fontain / Beure : suppression départ de 11H25 Besançon Chamars

Ligne 86 Pugey / Larnod / Beure : suppression départ de 11H40 Besançon Chamars

 

Services Diabolo collège

Diabolo 415 collège de Saône / Montfaucon : départ collège de Saône de 16H10 : desserte des stations « Bas Village » et « Vierge » uniquement

Diabolo 417 collège de Saône / Morre : départ collège de Saône de 16H10 : desserte des stations de Morre réalisée avec du retard

 

Services Ecoles primaires

Les services sur le temps de midi sont supprimés pour :

RPI Pouilley-Français / Villers-Buzon / Mazerolles

RPI Osselle-Routelle / Roset-Fluans

RPI Chaucenne / Noironte / Audeux

RPI Bonnay / Mérey-Vieilley / Vieilley / Venise / Palise

RPI La Chevillotte / Mamirolle • RPI Le Gratteris / Mamirolle

RPI Fontain / La Vèze / Arguel / Pugey

Dans un communiqué de presse, la société Keolis indique que la ligne Ginko Citadelle reprend du service à compter de ce samedi 26 mars. Elle vous dépose aux portes de la Citadelle en 10 minutes environ depuis Chamars avec un itinéraire au cœur de ville. Elle circule tous les jours (1er mai compris). Périodes et horaires détaillés sur ginko.voyage https://www.ginko.voyage/se-deplacer/bus-tram-car/ligne-ginko-citadelle

La circulation a été perturbée ce matin à Besançon. En raison d’un mouvement de grève national, portant sur la hausse des coûts de l’énergie, 150 taxis, partis de la gare des Auxons, à Besançon, de Chateaufarine et de Montbéliard se sont rassemblés devant la préfecture du Doubs. Une délégation de trois personnes de la fédération des taxis du Doubs  a été reçue par un membre de la préfecture. « La discussion n’a pas été concluante » selon nos interlocuteurs. A leur sortie, il était convenu qu’ils ne quittaient pas les lieux tant que leur délégation nationale n’avait pas été reçue au ministère des transports à Paris.

taxi essence

Les taxis se disent être les grands oubliés du gouvernement. Ils ne comprennent pas pourquoi leur profession n’a pas été rattachée au plan de résilience de Jean Castex. Ils assurent que depuis un mois, en raison de la perpétuelle augmentation du prix de l’essence, « ils roulent à perte ». Les charges supplémentaires sont indéniables. Le prix moyen d’un plein est passé de 70 à 110 euros, à raison de trois pleins par semaine. Pour l’heure, la seule réponse qu’ils ont obtenue est l’autorisation de répercuter cette hausse sur leurs tarifs. Ce que les manifestants refusent de faire, « tant le pouvoir d’achat de leurs clients est déjà impacté par la crise actuelle ».

TAXI ESSENCE 3

Le reporatge de la rédaction