En raison de la situation sanitaire et de l'absence de personnel sur ses lignes, la société Keolis fait savoir que les horaires des lignes périurbaines du réseau Ginko ont été modifiés sur le Grand Besançon. Pour de plus amples informations : www.ginko.voyage.
La société Keolis indique que les lignes de tram et de bus T1, T2, L4, 7 et Plan B seront perturbées lors de la soirée du 31 décembre prochain à Besançon. Pour tout savoir sur les difficultés à prévoir : www.ginko.voyage .
Le réseau Ginko alerte ses usagers à la suite d’un mouvement de grève sur le réseau périurbain qui a lieu ce vendredi 17 décembre. Les lignes régulières 61,62,65,68,71,73,74 et 76 seront impactées, ainsi que certaines lignes desservant des écoles, collèges et lycées. Plus d'informations sont à retrouver dans la rubrique info trafic du site internet de Ginko.
Compte tendu des conditions météo, les préfets du Doubs et du Jura ont décidé de prolonger les restrictions de circulation prises pour les poids-lourds. Ainsi, ces véhicules ne peuvent circuler sur les nationales 57 et 5 et la départementale 1005. Dans le Doubs, le représentant de l’état indique que cet arrêté court au moins jusqu’à ce samedi, à 12h. Ainsi, cette interdiction évoluera en fonction de la mise au noir du réseau.
La société de transport Kéolis indique que des perturbations sont à prévoir ce lundi sur le réseau bisontin et grand bisontin. Ces perturbations sont la conséquence d’un préavis de grève déposé par la SPL Mobilités Bourgogne Franche-Comté. Pour plus d’information : www.ginko.voyage
Ce samedi, à Besançon, à l’occasion de la journée mondiale d’actions pour la justice climatique, le parti « à gauche citoyens’, dont des militants figurent au conseil municipal, aux côtés d’Anne Vignot, procédait à une distribution de tracts au centre-ville pour demander à la population d’intervenir auprès de leurs représentants à l’agglomération pour qu’ils votent en faveur de la gratuité des transports en commun sur le territoire du Grand Besançon pour une partie de la population pour le moment.
D’ici la fin du mandant, le collectif espère que, dans un premier temps, les moins de 26 ans, et les bénéficiaires des minima sociaux pourront en profiter. Ils souhaitent également que l’ensemble de la population puisse bénéficier de cette gratuité le samedi. Rappelons que ces propositions figuraient sur la profession de foi de la liste « Besançon par nature », aujourd’hui aux responsabilités.
Comment financer ?
Pour l’heure, il est difficile de convaincre les élus de l’agglomération de franchir le pas. Les raisons sont bien évidemment financières. C’est la raison pour laquelle, il est proposé de faire passer le taux de versement mobilité, payé par les entreprises de plus de 11 salariés de 1,8 à 2%. Ce qui permettrait ainsi de récolter 3,5 millions d’euros pour financer le manque à gagner. La réflexion se poursuit au sein de la collectivité. Depuis quelques jours, une commission de travail est en place pour porter une réflexion sur ce point.
L'interview de la rédaction / Joseph Gosset ( à Gauche Citoyens)
Il s’agit là d’une période d’observation, ayant pour but d’abandonner complètement le diesel à long terme. Plusieurs véhicules seront expérimentés par le Grand Besançon Métropole et Keolis Besançon Mobilités. Un bus hybride (électrique/gaz naturel de ville) sera testé début novembre, nous précise Laurent Sénécat, le directeur de Kéolis Besançon Mobilités. Plus tard, un bus hydrogène sera aussi à l’essai sur le réseau Ginko au printemps 2022. L’objectif est clair : trouver le véhicule idoine à la configuration du territoire, en s’adaptant aux difficultés des routes étroites et escarpées de la cité comtoise, tout en satisfaisant les conducteurs et les voyageurs.
Il s’agit d’un bus à moyenne capacité de la marque Heuliez, produit en France dans les Deux-Sèvres. Il intègre 10 packs de batteries Lithium-ion, répartis sur le toit et dans le compartiment arrière pour une puissance totale de 420 kWh. Ce bus est également équipé d’une technologie de récupération d’énergie au freinage et à la décélération, qui est utilisée lors du redémarrage du véhicule. La durée de recharge est de 3 à 5h et l’autonomie de 200 à 300km journaliers. Concernant sa taille, il fait deux mètres de moins en longueur que les bus standards.
Après une interruption des circulations durant 8 mois, en raison des travaux de modernisation sur la ligne des horlogers, le trafic entre Besançon et Morteau reprendra à compter du 31 octobre à 14h et à partir du 23 décembre entre Morteau et La chaux-de-Fonds.
Le coût de ce chantier s’élève à 55,5 millions d’euros. Ces travaux ont pour objectif de conforter des ouvrages, renouveler la voie sur 35 km, rendre accessible les gares de Morteau et Valdahon et moderniser la signalisation pour permettre aux TER de continuer à circuler en Suisse.
Le Grand Besançon Métropole fait savoir que cent vélos à assistance électrique arriveront progressivement durant les mois d’octobre et novembre et viendront compléter le parc existant de 484 « Ginko Vélos » actuellement en circulation. 205 « Ginkos Vélos » supplémentaires doivent encore être livrés en février et mars 2022. Ce qui portera à 789 le nombre de vélos disponibles à la location. En parallèle, un nouveau système d’inscription sera opérationnel début novembre pour permettre l’inscription en ligne, avec la possibilité d’effectuer un dépôt de garantie par carte bancaire.
L’info est tombée ce mercredi soir. Le Grand Besançon fait savoir qu’il souhaite acquérir 5 à 8 rames supplémentaires de tramway d’une capacité de 220 à 230 passagers chacune. Ces rames seront déployées sur les lignes T1 et T2. Elles permettront, en heure de pointe, de porter la fréquence à 5 minutes sur le tronc commun des deux lignes. La consultation sera lancée début 2022. Le choix du constructeur sera fait en février 2023, avec l’attribution du marché. Cette offre de transport sera proposée aux Grand Bisontins dès l’arrivée des premières rames, en 2025.
Cet achat devrait s’effectuer dans le cadre d’un groupement de commandes avec les villes de Brest et de Toulouse. La décision a été entérinée ce mercredi lors des Rencontres Nationales du Transport Public qui se tiennent à Toulouse.