Retour aux choses sérieuses pour le GBDH. Après plusieurs semaines de coupure, en raison de la trêve internationale, les handballeurs bisontins retrouvent leur championnat. Dans le cadre de cette 16è journée en Proligue, ils reçoivent Pontault-Combault ce vendredi à 20h15. Au classement, les locaux sont quatorzièmes. Leur adversaire est 4è.
Pour les Bisontins, l’objectif est de ne pas manquer leur deuxième partie de saison. Le maintien est dans toutes les têtes. Les matches amicaux disputés durant la trêve hivernale ont laissé apparaître, une nouvelle fois encore, quelques manquements. La combativité est encore jugée insuffisante. Une attitude qui a déjà porté préjudice au groupe de Benoit Guillaume lors des quinze premières journées. « Pour rivaliser contre un adversaire comme Pontault-Combault, il faut absolument faire 60 minutes de défense au plus haut possible » explique le coach bisontin. « Notre envie de combat n’a pas tenu dans la durée lors de nos deux dernières confrontations amicales » ajoute—t-il.
Remise en cause
Le collectif ne peut bien entendu pas se satisfaire de sa première partie de saison. Actuel 14è, le GBDH doit montrer un autre visage s’il veut se sortir de ses difficultés actuelles. « Il y a clairement une remise en cause. On ne peut pas se satisfaire de ce que l’on a produit jusqu’à présent. On ne va pas tout effacer. Néanmoins, on a tous envie de reprendre en faisant mieux » analyse le demi-centre Adrien Claire
Un entraîneur affaibli ?
C’est un entraîneur qui se sait sur le départ qui officiera sur le banc bisontin jusqu’en fin de saison. Même si la décision provient de la direction du club, Benoît Guillaume accepte la sentence. « On a fait une analyse de notre demi-saison, cette non-prolongation de mon contrat fait partie d’une réalité. Cela n’empêche pas d’aborder la deuxième partie de championnat avec des objectifs, de la motivation et l’envie de bien faire » explique le technicien, sans amertume apparente. Et de conclure : « Qu’est ce que j’ai à regretter quand je vois que sportivement les objectifs ne sont pas atteints ? Il n’y a rien à dire de plus ». Benoît Guillaume n’en dira effectivement pas plus sur son avenir. Si ce n’est que l’envie de coacher est loin d’être éteinte.
Ligue 2
Rodez 1 - 2 Sochaux
Nationale 2
Racing Besançon 1 – 0 ASM Belfort
Alès 2 – 0 Jura Sud
Nationale 3
FC Sochaux Montbéliard (2) 6 – 1 Cosne (
Quetigny 3 – 4 FC Morteau Montlebon
CA Pontarlier – UF Maconnais (reporté)
Jura Dolois 3 – 2 Dijon (2)
Besançon Football – FC Grandvillars (Dimanche à 14h30)
Sur son compte Twitter, le cycliste jurassien Alexis Vuillermoz annonce son copieux programme pour le mois de février. En ce début de saison, il prendra le départ de deux courses nationales : le Tour des Alpes Maritimes et du Var et les Boucles Drôme-Ardèche. Le premier rendez-vous se disputera du 17 au 19 février prochain. Le deuxième est programmé à la fin du mois.
Retour à la compétition pour le futur jeune retraité Thibaut Pinot. Ce mercredi, il prendra le départ de l’Etoile de Bessèges, la première course à étapes du calendrier français. Le coureur a fait connaître ses ambitions. L’étape du Mont Bouquet a été cochée sur son agenda. « Je viens ici en sortie de stage à Tenerife, mais avec beaucoup de motivation. J’arrive conquérant » a-t-il déclaré.
Hier soir, le FC Sochaux Montbéliard s’est largement imposé face à Valenciennes. On disputait la 21è journée de championnat en Ligue 2. Score final, 4 buts à 0. Au classement, les Lionceaux apparaissent à la 2è place et passent devant Bordeaux. Les deux formations sont à égalité de points (36 points)
Ce mercredi soir, l’ESBF reçoit Nice pour une place en demi-finale de la Coupe de France de handball féminin. Avec cette rencontre, les Engagées débutent une période importante, avec une série de matches capitaux pour la suite de la saison. Coupe de France, championnat et Coupe d’Europe, les handballeuses bisontines apparaissent encore dans tous les tableaux, avec la ferme intention d’aller le plus loin possible. Pour Tom Garnier, l’entraîneur adjoint de Sébastien Mizoule, le groupe doit être en mesure de disputer toutes les confrontations annoncées.
Pour la rencontre de mercredi soir, seize joueuses seront présentes sur la feuille de match. Ce qui va permettre à deux jeunes du centre de formation de figurer dans le groupe élite. Une approche du très haut niveau qu’elles ne veulent surtout pas manquer. C’est le cas de la pivot Léa Cuenot. La jeune handballeuse de N1 féminine a conscience que les places sur le banc bisontin sont chères. C’est la raison pour laquelle elle prend avec sérieux et engagement l’échéance qui arrive. Pas question de passer à côté d’une telle opportunité de grandir encore.
Une expérience formatrice
Comme le souligne Tom Garnier, en appelant cette jeunesse prometteuse, les coaches préparent l’avenir. Participer à la vie du groupe, s’immerger dans le haut niveau, vivre ses émotions de l’intérieur, s’entraîner, porter le maillot, autant de situations et d’expériences qui concourent à la formation de ces jeunes joueuses en devenir.
L'interview de la rédaction / Léa Cuenot et Tom Garnier
Il y a du football ce mardi soir. Dans le cadre de la 21è journée de Ligue 2, le FC Sochaux Montbéliard (3è) reçoit Valenciennes (12è). Le coup d’envoi sera donné à 20h45. Rappelons que le FCSM reste sur une victoire à l’arraché ce week-end face à l’AS Saint-Etienne. Les hommes d’Olivier Guégan se sont imposés sur le score de 3 buts à 2 au stade Geoffroy Guichard.
Les jeunes fondeurs de la région s’y préparent. Elle avait été reportée au début du mois. Finalement, la Transju’Jeunes aura bien lieu ce mercredi 1er février aux Rousses. 2000 jeunes, âgés de 7 à 19 ans, sont attendus dans le Jura et participeront aux courses de 1 à 6 kilomètres. On notera la présence de Célia Aymonier, médaillée aux championnats du monde de ski de fond et d’Anouk Faivre Picon pour donner le coup d’envoi de ces différentes épreuves en style libre.
A compter du 8 février prochain, et jusqu’au 19 février, l’équipe de France de biathlon et Quentin Fillon Maillet disputeront les championnats du Monde de la discipline à Oberhof, en Allemagne. Il reste une semaine au champion jurassien pour préparer au mieux la compétition qui arrive. Déçu pour son début de saison, après un hiver 2022 du tonnerre, Quentin Fillon Maillet veut se mettre dans les meilleures conditions possibles pour performer.
Après une semaine passée auprès des siens, il s’apprête à s’envoler, avec le groupe France, en Autriche pour une semaine intense d’entraînement. Ces derniers résultats à Antholz-Anterselva l’ont rassurés, mais le bilan comptable – celui qu’il s’est fixé cet été, est loin d’être atteint. « J’ai beaucoup appris de ce début de saison. J’ai compris certaines choses sur l’après Jeux Olympiques. Ça me fera beaucoup progresser pour la suite » explique Quentin. Et de compléter : « Je suis peut-être trop parti dans le standard de l’année passée, alors que j’ai besoin de nouveautés et de changement pour continuer à évoluer. C’est ma façon de fonctionner ».
Un sacre à Oberhof ne suffira pas à satisfaire complétement Quentin Fillon Maillet, qui entend néanmoins « ne rien lâcher » dans la deuxième partie de saison à venir. « Je ne lâcherai pas l’affaire » prévient-il. Le champion, qui a plus que jamais les yeux rivés sur les prochains JO de Milan, en 2026, sera complètement rassuré lorsqu’il parviendra à définir le mieux possible ses difficultés du moment. « Il est important de se poser ces questions pour optimiser les trois prochaines années, jusqu’aux prochaines olympiades » narre-t-il. Le biathlète sait qu’il n’aura sans doute pas toutes les réponses, mais il a conscience que cette introspection est nécessaire pour la suite de sa palpitante et si riche carrière sportive.
C’est acté. Ce lundi a été officiellement signé un protocole d’accord entre la communauté d’Agglomération du Grand Belfort et le FC Sochaux Montbéliard concernant la session au club d’un espace de 87 hectares, dont 30 hectares constructibles, au sein de la ZAC des Plutons sur les communes de Meroux-Moval et Bourogne. Il s’agit d’une première étape dans la construction de son nouveau « centre de performance ».
Ce développement se déroulera en deux phases. La première consistera en la mise en place de terrains d’entraînement et de bâtiments. Plus tard, viendra l’implantation d’un nouveau centre de formation.