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On connait les noms des athlètes qui évolueront la saison prochaine au sein des équipes de France de ski de fond. On notera la sélection : d’Eve Ondine Duchaufour du ski club du Grandvaux, Chloé Pagnier du Risoux Club Chaux Neuve, Rémi Bourdin du ski club Frasne-Drugeon, Luc Primet de l’Olympique Mont d’Or et Romain Gallois du ski club Bois d’Amont en équipe de France B.

Ce mercredi, sur le site de la Malcombe, 200 lycéens et collégiens, venus des établissements scolaires du Grand Besançon, ont participé à une riche après-midi sportive et festive, organisée par les étudiants en 2è année de licence Management du sport de l’université de Franche-Comté. Au total, ce sont une cinquantaine d’étudiants, qui ont encadré les jeunes participants.

Au programme, une Color Run, du cécifoot, un ventrigliss, un parcours du combattant, du volley-ball, du street golf, … . Depuis plusieurs mois, en partenariat avec l’UNSS, les jeunes organisateurs, s’investissent dans la préparation de cet évènement. Organisés en pôle, ils ont pensé complètement ce rassemblement. Communication, partenariat, logistique, règles du jeu, … , tout a été minutieusement préparé. Une mise en pratique des connaissances théoriques acquises tout au long de l’année.

Des ados à fond

Certes, le plaisir et la joie des participants ne sont pas suffisants pour décréter la qualité d’un évènement, mais il faut bien avouer que c’est déjà un premier signe. Dans les prochains jours, avec leurs professeurs, les étudiants vont évaluer cette belle après-midi. A l’image de Julien, les jeunes organisateurs  esquissent déjà les griefs qui pourraient leur être formulés. Sans anticiper les évaluations à venir, les étudiants peuvent être fiers d’eux. Le défi est relevé.

Le reportage de la rédaction

Passionné par le sport, deux étudiants en BPJEPS ( brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport)  Prune Blondeau et Fernand Bressan ont décidé de créer un club d’haltérophilie en terre pontissalienne. Baptisé  “Haltérophilie Pontissalienne”, il  a  ouvert ses portes  en août dernier. Le samedi 30 avril il organisait sa première compétition régionale. 

C’est quoi l’haltérophilie ? 

Ferdinand Grassen, président du club,  mais aussi rugbyman à Pontarlier, explique que l'haltérophilie consiste « à déplacer un poids donné au-dessus de sa tête bras tendu ». Pour cela, on peut utiliser deux mouvements, soit la technique de l’arraché ou la technique de l’épaulé jeté.  Le technicien précise que le total des deux mouvements plus le poids et l’âge de chaque personne permet d’attribuer une position au  classement IWF, ( International Weightlifting Federation) qui représente la fédération d’haltérophilie.

arrache halterophilie

halterophilie epaule

 

Arrêt sur image : L'arraché

HALTEROPHILIE PONTARLIER

 

La technique de l’arraché fait partie des deux mouvements d’haltérophilie. Celui-ci a pour principe d'amener une barre chargée avec les bras tendus au-dessus de sa tête en ayant une coordination parfaite entre le haut et le bas de son corps. Il est important de bien comprendre les muscles à engager pour réaliser parfaitement le mouvement.

L’haltérophilie un sport de “bonhomme” ? 

HALTEROPHILIE PONTARLIER 3

Le président explique qu’il ne suffit pas d’être très grand et très fort pour être bon en haltérophilie.  Prune Blondeau, la co-créatrice du club, veut lutter contre les clichés, en indiquant que ce sport est accessible à tous les gabarits et à tous les sexes.  « Il reste néanmoins vrai, que chaque physique à sa propre catégorie en compétition ».  La misogynie n’est donc pas la bienvenue. Prune Blondeau n’a pas peur d’affirmer que cette discipline, grâce à la technicité qu’elle demande, plaît autant aux filles qu’aux garçons. Si la force fait partie des compétences à déployer, d’autres qualités sont également exigées.

 

Les interviews de la rédaction

Prune Blondeau

Fernard Bressand

Ce lundi soir, au palais des sports Ghani Yalouz, la délégation régionale académique à la jeunesse et aux sports organisait une soirée de prévention et de lutte contre les violences dans le sport. Cette initiative avait pour but premier d’informer et de sensibiliser les éducateurs sportifs et dirigeants des clubs  du Doubs sur les violences sexuelles, morales et physiques, le racisme et le bizutage au sein des pratiques.  Les intervenants, dont Patrice Durand, inspecteur d’académie, directeur des services de l’éducation nationale du Doubs, ont voulu porter cette réflexion avec les premiers concernés et les doter d’outils leur permettant de repérer d’éventuelles mauvaises conduites et connaître les démarches à mener et les institutions à contacter en cas de besoin

Tout sauf des éducateurs

Si dans leur très grande majorité, et heureusement, les éducateurs bénévoles et professionnels sont respectueux des jeunes qu’ils encadrent et conscients de l’importance de leur rôle et de leurs missions, certains agissent étrangement, oubliant leur responsabilité ou se montrant de véritables prédateurs. Sachant cibler leurs proies, notamment les jeunes les plus vulnérables, ils utilisent toutes sortes de brimades, sévices et violences pour asseoir leur autorité, semer la terreur, obtenir de meilleurs résultats ou attirer des mineurs dans les mailles de leur filet

Des langues qui se délient

Depuis les témoignages de quelques sportifs de renom, évoquant notamment les viols et agressions sexuelles dont ils ont été victimes, les autorités n’ont pas tardé à réagir. Chaque année, la justice condamne et éloigne des terrains de sport des individus dangereux, menaçants et agressifs. La lutte contre les violences exercées dans le milieu du sport est devenue une priorité des pouvoirs publics et des fédérations sportives. Des contrôles inopinés ou suite à des signalements sont effectués par les organismes et administrations en charge de cette mission. « Les valeurs du sport ne doivent pas être bafouées. Il est tellement déterminant dans l’épanouissement et le développement physique, intellectuel et social et moral d’un jeune que les agresseurs doivent être sortis et condamnés » rappelle Madame Saint-Jean, conseillère d’animation sportive, en charge de la réglementation à la délégation régionale académique à la jeunesse.

Le reportage / Patrice Durand et Florence Saint Jean

Le FC Sochaux Montbéliard fait savoir que le match comptant pour la dernière journée de Ligue 2, face à Dijon, pour lequel les Lionceaux vont tenter de regagner leur quatrième place au classement, se disputera à guichets fermés. Cela fait longtemps qu’une telle affluence n’a pas été enregistrée  à Bonal. La rencontre se jouera ce samedi 14 mai à compter de 19h.


La Ville de Morteau prépare son prochain tournoi sportif estival. Il se déroulera le dimanche 26 juin, de 9h à 20h, à la Plaine des Sports et des Loisirs. Il est ouvert à toutes les personnes majeures, hommes et femmes, licenciés ou non d’un club sportif. Chaque équipe devra présenter une liste qui comportera de 6 à 8 joueurs, dont une féminine au minimum.

Les équipes s’affronteront dans quatre disciplines : basket ball, bubble bump, football, beach volley et tir à l’arc. Le tournoi sera annulé en cas de pluie ou météo incertaine.

Le règlement du tournoi et la fiche d’inscription sont disponibles sur le site internet de la ville de Morteau : www.morteau.org . Prix de l’inscription : 5 euros par joueur. La clôture des inscriptions est fixée au 15 juin.

Les résultats des équipes francs-comtoises :

Morteau Montlebon 0 – 3 Racing Besançon

Vesoul 2 – 0 Levier

Jura Dolois 3 – 0 Belfort Sud

Lure 4 – 0 Valdahon Vercel

Le FC Sochaux Montbéliard s’est incliné sur le score de 1 but à 0 à Valenciennes ce samedi soir. Le groupe d’Omar Daf réalise une très mauvaise opération. Il perd sa quatrième place et redescend en cinquième position. Il devra disputer deux barrages pour espérer retrouver l’élite du football français. L’ultime journée de championnat se jouera samedi prochain à Bonal. Les Lionceaux recevront Dijon à 19h.

 

Le Grand Besançon Doubs Handball n’est pas parvenu à remporter les points de la victoire contre Cherbourg hier soir dans le cadre de la 28è journée de championnat en Proligue. Le groupe s’est incliné sur le score de 28 à 32. Pourtant la formation bisontine était parvenue à revenir au contact des Normands en seconde période (24-24). Le maintien  s’annonce des plus compliqués.

Dans le cadre d’un projet tutoré, Trois étudiants en 3è année de licence « management du sport » à  l’UFR STAPS de Besançon ont décidé d’organiser une action de financement à destination de Rémi Bourdin, étudiant en 3ème année de licence STAPS, spécialité Activités Physiques Adaptées et Santé à Besançon, mais surtout sportif de haut niveau.

Domicilié à La Rivière Drugeon et licencié au ski club de Frasne/Drugeon, Rémi fait partie des équipes de France juniors et B de ski nordique. Malgré le soutien de ses sponsors, le jeune athlète cherche à boucler le budget de sa prochaine saison. Pour réussir les échéances à venir et notamment se qualifier pour les prochains championnats du monde U23 de ski nordique, qui se disputeront à Whistler au Canada, l’athlète doit réussir sa préparation estivale.  C’est notamment pour cette raison qu’il a besoin du soutien de tous les amoureux des sports de glisse et de la montagne.

Porter le plus haut possible les couleurs des montagnes du Jura

Pour soutenir cet enfant du Haut-Doubs et l’aider à performer, il suffit de lui apporter un soutien financier. Ses amis ont créé une cagnotte sur la plateforme « ibelieveinyou ». Ainsi, en cliquant sur ce lien : https://ibelieveinyou.fr/fr/project/1150/championnats-du-monde-u23-le-reve-canadien , il est possible de faire un don. Alban, Maxime et Matthew ont été séduits par le projet sportif de Rémi. C’est la raison pour laquelle,  ils se sont lancés dans cette aventure. Les valeurs et l’image que dégagent ce sport, sa notoriété et surtout la motivation et la persévérance de Rémi ont conforté les étudiants dans leur choix.

Un parcours exemplaire

Comme Obélix, Rémi Bourdin est tombé dans la marmite depuis sa plus tendre enfance. Dès l’âge de 7 ans, il pratiquait déjà sa discipline en plein cœur des forêts enneigées du massif du Haut-Doubs. Le jeune homme a gravi les échelons pour se hisser parmi les meilleurs athlètes français. Remi fait partie des grands espoirs de la discipline. Alors autant dire que tous les soutiens sont les bienvenus pour l’aider dans son ascension.

Le reportage de la rédaction / Alban, Maxime, Matthew et Rémi