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Après trois ans de travail collectif, le groupe Bartwood vient de finaliser son 1er EP, composé de sept titres, baptisé « Je, Tu, Ils ». Enregistré en terre jurassienne, à Présilly plus précisément dans un studio, l’album sera à découvrir très prochainement sur les plateformes. En attendant, le public pourra écouter dès ce week-end le premier extrait de cet opus. Bienvenue dans l’univers Rock’n Rhum Kilt.

Composé de six membres ( Yanne (chant), Nicolas (guitare et chant), Bastien (violon), Valentin (Batterie), Fred ( basse) et Manu (guitare et chœur), cette bande de copains prend plaisir à vivre collectivement cette passion. Chacun apporte ses compétences et ses expériences. Pour l’heure, impossible de vivre de cette aventure musicale, mais l’idée de percer et grandir encore pour en faire une activité professionnelle à part entière est dans toutes les têtes.

Rock’n Rhum Kilt

Bartwood, c’est un savoureux mélange de chansons françaises, de rock et de musique celtique. Alors pour donner plus de clarté à leur univers, la bande de potes a inventé le terme « Rock’n Rhum Kilt » pour mieux se définir. A travers ses productions, il diffuse différentes ambiances et odeurs musicales. Les paroles et la musique se veulent festives, légères, personnelles, mais aussi en lien avec des sujets de société. C’est ainsi que Nicolas, auteur-compositeur de la formation, a donné naissance, avec son épouse,  à des compositions évoquant les féminicides ou le climat.

Les projets

Désormais, les six artistes vont aller défendre leur EP  sur scène. Cet été , le groupe a montré toutes la gamme de ses  compétences lors de festivals et autres soirées. Le 26 novembre, ils se produiront à la Violette lors d’une soirée privée. En parallèle de la promotion de l’album, des contacts sont également menés avec les programmateurs des festivals et des salles de concerts de la région et d’ailleurs. Bartwood veut partager sa musique avec le plus grand nombre et se faire un nom sur la scène musicale, nationale et plus si affinités.

La Lue, c’est le nom de scène de Ludivine Faivre, cette auteure-compositrice et interprète du Haut-Doubs qui adore raconter des histoires à travers ses chansons. « Embrasser le chahut », son 4ème projet paru en janvier dernier, évoque de nombreux thèmes importants des dernières années. On y retrouve des morceaux sur l’égalité homme femme, la philosophie paysanne idéale, le prix de l’essence, et des chansons plus légères qui parlent d’amour de jeunesse. La Lue se produira bientôt puisqu’elle sera accompagnée de ses fidèles musiciens, le 27 novembre, sur la scène du Festi’Diff, à Labergement-Sainte-Marie.

 

"La Lue est une amoureuse de la chanson de caractère. Elle n’est jamais autant épanouie que lorsqu’elle écrit compose et interprète des chansons, et elle en compte déjà plus d’une centaine à son répertoire. En solo, en duo avec Jean-Michel Trimaille, en trio dans le collectif Cancoyote Girls, ou en tant que chroniqueuse chanson, La Lue allie, depuis 10 ans, les sons et le sens pour faire vibrer les âmes"

Bonjour Ludivine. Tu as sorti ton 4ème album en janvier, « Embrasser le chahut ». Comment trouves-tu ton inspiration ?

« L’inspiration vient me chercher. Parfois, quelqu’un va me partager une histoire, ça  va m’émouvoir, me toucher, et je vais en faire une chanson. Je me réveille aussi parfois au milieu de la nuit, ça m’est arrivé plusieurs fois pour cet album, avec une idée très précise en tête que je n’avais pas la veille, et je me mets à écrire et une chanson en sort. Mais aussi un événement qui me met en colère, et je décide d’en faire une chanson »

 

Il arrive que tu t’inspires des histoires que ton public te raconte ?

« Oui effectivement, comme on parle du quotidien, avec des mots assez simples, on essaye de raconter des histoires, et les gens se reconnaissent souvent dans celles-ci. Ils viennent nous voir à la fin du concert, et puis ils nous racontent un bout de leur vie. Ça inspire et nourrit pour d’autres chansons »

 

Où peut-on te retrouver prochainement ?

« Je suis accompagné sur scène par deux musiciens extraordinaires, Jean-Michel Trimaille et Benoit Chabot. On retravaille le set, et on prépare, en prévision d’un concert important qu’on donnera le 27 novembre au Festi’Diff à Labergement-Sainte-Marie. On sera en co-plateau avec Oldelaf. Donc actuellement, on travaille le set pour ce concert, afin d’être préparé au mieux ! »

 

Tu me parlais du partage de ton art avec les enfants. Peux-tu m’en dire plus ?

« J’essaye de transmettre ce que j’ai eu la chance d’apprendre. Je fais pas mal d’ateliers d’écriture de chansons avec les enfants. Justement, pour le Festi’Diff, on travaille avec des enfants du SESSAD, de la Fondation Pluriel, et on va écrire une chanson qu’on interprétera sur scène le 27 novembre »

 

Comment perçoivent-ils ces ateliers ?

« J’ai déjà travaillé avec beaucoup d’enfants, et il y a chez eux beaucoup d’entrain et d’enthousiasme. C’est vraiment génial. Quelquefois, quand on est adulte, on perd un peu cet enthousiasme, et j’espère que ces enfants le garderont le plus longtemps possible ! »

 

Que peut-on te souhaiter pour l’avenir ?

« De continuer d’avoir la joie de chanter, de continuer à éprouver du bonheur en écrivant des chansons, et en les partageant avec le public. Mais aussi de continuer à bien réaliser nos clips ! Notre plus récent, Le Temps des Oiseaux, est sorti en début d’année. Il a été réalisé par François Royet. C’est l’histoire d’un homme amoureux de la nature et des oiseaux. Je vous invite à le regarder dès maintenant ! » 

 

 

 

 

 

L’info est tombée hier. Pour la première fois de son histoire, le concours de jeunes chefs d’orchestre de Besançon sera présidé par un chef japonais. C’est Yutaka sado qui présidera les destinés de l’édition 2023, la 58è du nom.  Ce dernier n’est pas inconnu en Franche-Comté, puisqu’il avait remporté, en 1989,  le Grand Prix du 39è concours.

Lilian Renaud se produira prochainement dans la région. Alors qu’il prépare, avec d’autres artistes, un double album collectif, baptisé « L’héritage Goldman », qui découlera également sur une tournée dans les Zéniths de France,  et qu’il se projette déjà dans la réalisation d’un cinquième album, l’artiste franc-comtois n’en oublie pas pour autant ses fans de la région. Le 21 octobre, il interprétera les titres de ses deux derniers albums à la salle des fêtes de Villers-le-Lac. Le lendemain, c’est Renan Luce qui lui emboîtera le pas. Deux évènements à ne pas manquer, à l’initiative de LR Music et Cavalcade Production. Pour tout savoir sur la billetterie : https://cavalcade-prod.com/ . Rencontre avec Lilian Renaud.

Pourquoi ces concerts que vous interprétez localement sont-ils si importants pour vous ?

C’est très important pour moi en raison de mon attachement à la région et au soutien très fidèle que j’ai encore ici. C’est toujours avec bonheur que je joue dans le secteur.  C’est très fort depuis sept ans. Depuis 2015, et mon passage à The Voice, malgré les hauts et les bas, il y a toujours un soutien inconditionnel.

Comment expliquez-vous ce succès qui dure. Je m’aventure à une réponse, c’est parce que vous êtes l’enfant du pays ?

Je pense que c’est au-delà de l’enfant du pays. Peut-être que j’ai une voix, J’ai une façon aussi d’interpréter des textes. Mon univers plaît et touche certaines personnes. Tout cela construit un public et un attachement.

Pourtant, contrairement à vous, certains artistes cherchent plutôt à se détacher de leurs origines franc-comtoises pour espérer réussir ailleurs, et notamment à Paris.

J’assume complétement mes racines franc-comtoises. C’est une forme de respect par rapport à ma famille, à mes parents qui m’ont mis au monde ici, qui m’on construit ici. Je n’ai pas envie de renier ce que je suis. J’ai un attachement fort au monde paysan, au monde très populaire. Il n’y a pas si longtemps, j’ai fait un concours de chants à Froideconche en Haute-Saône. Un villageois a organisé un concours avec des chanteurs,  à la bonne franquette. Il n’y avait pas de paillettes. J’ai un attachement très fort aux hommes de la terre et aux valeurs qu’ils dégagent.

Quelle est l’actualité de Lilian Renaud ?

Avec mon quatrième album, j’ai fait pas mal de dates cette année. Il y en a encore quelques-unes avant la fin de l’année. Je collabore également à deux albums, qui s’appellent « L’Héritage Goldman ». Une belle tournée des Zéniths se fera avec Michaël Jones en 2023. En parallèle, il y aura sans doute la construction d’un cinquième album.

C’est difficile de vivre de la musique ?

Oui. Cela peut être très dur. Je suis néanmoins très privilégié car je suis parvenu à autoproduire mes deux derniers albums, qui ont plutôt bien marché. Mes concerts marchent plutôt toujours bien également. J’arrive ainsi à accumuler des petites sources de revenue. Ce qui me permet de pouvoir vivre de la musique. Je peux me lever tous les matins en me disant que j’en vis et que je peux payer mes factures avec cela.

Pensez-vous encore à une carrière nationale ou  internationale plus grande ? On a senti que la vie parisienne n’était pas forcément votre truc. Peut-on réussir en mettant de côté la capitale ?

Ma vie est en Franche-Comté. Sur « L’héritage Goldman », je chante une très belle composition qui s’appelle « Il y a ». « Je suis né ici et tout finira ici ». J’ai un peu l’intime conviction que ma vie est ici et qu’elle finira ici. Après évidemment, pour avoir connu de belles tournées nationales, c’est sûr qu’il y a toujours une forme de frustration quand les chansons ne parviennent pas aux oreilles des gens. Quand on est artiste, bien évidemment que l’on souhaite passer par un schéma plus important et réussir à toucher plus amplement. Je ne vais pas vous mentir. On a toujours envie de cela. Je fais au jour le jour. C’est tellement complexe. Il y a tellement de gens qui chantent, qui font de la musique, que pour se démarquer, c’est très compliqué.

Avez-vous des regrets ? Des choses que vous auriez faites différemment ?

Certainement. On apprend de la vie. La question est compliquée. De toute façon, les choses se sont déroulées différemment. Il est inutile de revenir en arrière. Si nous avions un pouvoir magique est revenir dans le passé, j’aurais agi différemment sans doute. Je prends les choses comme elles ont été. Je ne crois pas beaucoup au hasard. Tout ce qui passe, c’est peut-être fait pour quelque chose.

Quel regard portez-vous sur ces youtubeurs, tiktokeurs et autres influenceurs qui donnent l’impression que l’argent et la réussite sont faciles et semblent si éloignés, pour certains en tout cas, de la valeur travail ?

C’est assez perturbant. C’est une nouvelle façon de vivre. Il y a des gens qui, aujourd’hui, par le biais des réseaux sociaux, gagnent beaucoup d’argent. Alors que dans certaines familles, on explique qu’il faut faire des études pour réussir. Il y a un décalage. C’est l’époque. Jusqu’à où cette époque nous mènera ? Je ne sais pas. En tout cas, je n’ai pas l’impression de m’identifier à celle-ci, mais, en même temps, c’est la vie. On ne peut pas aller contre. Il y a certainement des choses positives à tout cela.

Revenons à la musique. Quelle prestation assurerez-vous le 21 octobre prochain à Villers-le-Lac ?

Je serai sur scène avec mes deux musiciens. Nous proposerons des shows français et anglais, issus de mes 3è et 4è albums. Ce sera très folk. Dynamique parfois, plus acoustique, piano, guitare, voix à d’autres moments. J’essaie de construire des shows où cela vit, où les émotions sont différentes. Des beaux moments de partage.

Pour tout savoir sur le concert du 21 octobre de Lilian Renaud à Villers-le-Lac : https://cavalcade-prod.com/

L'interview de la rédaction / Lilian Renaud

Pensez à noter ce rendez-vous sur vos agendas. Le samedi 3 septembre, "La Grande Rentrée" débarque à l’Espace Pourny à Pontarlier.  L’évènement débutera à partir de 21 heures. Micka de Coconut lancera les festivités avec une ambiance années 80. S’en suivra le groupe les Let Dzur. Avant que DJ Tanguy termine de mettre l’ambiance avec les meilleurs sons électro-club.

Cette soirée est ouverte à  celles et ceux qui ont envie de lancer cette saison 2022 – 2023 de la meilleure des manières. Petite restauration sur place. Infos et préventes sur les réseaux sociaux : lagranderentrée.

Ce samedi 20 août, Pontarlier organise sa Silent Party. Le rendez-vous est fixé sous la halle Emile Pasteur. Trois ambiances seront proposées : funk électro, latino hip-hop et rock soul. L’ouverture des portes est programmée à 19h. Un casque sera prêté aux participants contre l’échange d’une pièce d’identité. Possible pour les enfants à partir de 12 ans. Buvette et petite restauration sur place.  Animation gratuite.

La belle aventure musicale se poursuit pour Chloé M. La jeune artiste franc-comtoise sortira le 2 septembre prochain son deuxième album « été / printemps ». Composé de 12 titres, il raconte « les histoires de la vie », celles d’une jeune adulte de 25 ans, journaliste de profession, et toutes celles qui lui sont racontées au fil de ses rencontres. Après les deux dernières années rendues compliquées par la crise sanitaire, durant lesquelles le moral de tout un chacun était en berne, elle a voulu sortir un album positif, poussant au bonheur et à l’espoir d’une vie meilleure.  L’amour, la liberté, la réalisation de ses rêves, … sont autant de sujets qu’elle a souhaité traduire en mots et en musique. C’est avec le musicien bordelais Daniel Chevalley que Chloé s’est lancée dans cette nouvelle aventure musicale. Précisons qu’un premier opus, soutenu par le slameur Grand Corps Malade, baptisé « Respire », a déjà vu le jour en 2018.

Le slam, « un exutoire »

C’est à travers le slam que l’artiste partage sa musique et ses émotions. Cet univers et ses codes, dans les domaines de l’écriture et de l’interprétation,  lui  conviennent et correspondent à la manière dont elle veut s’adresser  à ses auditeurs. Cette passion et cette envie de partager, Chloé M les met également en pratique au sein d’ateliers d’écriture qu’elle anime dans des structures sociales, implantées dans le Doubs et le Jura.

Si vous souhaitez découvrir tout le talent de cette native du Jura, sachez qu’elle se produira le 4 septembre au café-concert « le Savana », rue Battant à Besançon.  

L'interview de la rédaction / Chloé M

 

A dix jours du Festival de la Paille, le Paléo Festival bat son plein à Nyon, en Suisse. Après deux éditions annulées en raison de la crise sanitaire, l’évènement est de retour. Ce 45è numéro se déroule jusqu’à dimanche sur un site entièrement repensé. Les festivaliers peuvent applaudir, cette année encore, des artistes prestigieux et de renommée internationale. Ce mercredi, Sting sera notamment sur scène. D’ici dimanche, Francis Cabrel, Roméo Elvis, Grand Corps Malade, Orelsan et Stromae sont attendus.

Ce vendredi et ce samedi, le Frambou’Can va s’emparer de Frambouhans. Au programme, deux jours de musique aux consonances pop/folk et rock. Les concerts débutent à 18h, et jusqu’à 1 heure du matin. A noter que samedi, de 12h à 17h, des animations seront proposées aux enfants.  Le rendez-vous est fixé sur la place de la mairie. Précisons que le prix est libre, c’est le public qui choisit.

La programmation

Vendredi

Malou (pop/folk)

Sons Of Rage (rock)

Les Fortunes Tellers ( Tribute Rolling Stones)

Samedi

Moana (pop)

Jyzzel (pop)

Seriously Serious (rock)

Back : N : Black (tribute ACDC)

C’est parti. La 32è édition des Eurockéennes de Belfort démarre ce jeudi. Quatre jours de fête et de musique pour les nombreux festivaliers qui feront le déplacement sur le site du Malsaucy. Le programme démarre dès 16h30 ce jeudi après-midi. Ce même jour, le public pourra applaudir : Stromaé et Bob Sinclar. Parmi les autres têtes d’affiche à découvrir jusqu’à dimanche soir : Clara Luciani, Simple Minds et Muse. Cette nouvelle édition accueille 54 artistes, dont 45 qui ne se sont jamais produits aux Eurockéennes. Le budget consenti, après deux années de covid, s’élève à 9,7 millions d’euros.