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Le groupe « Malibu » est sur de bons rails. Ces six membres bisontins, qui composaient l’ancien talentueux groupe « The Rising Sun », ont décidé d’écrire une nouvelle page artistique. Depuis un an, et leur rencontre avec le producteur haut-doubiste Aurélien Bouveret, Ylias (chant et guitare), Linaël (bassiste), Victor (batteur), Charles (saxo), Maël (clavier) et Marius (trombone) ont décidé de s’inscrire dans un nouveau projet. Les ambitions sont affichées et rien ne semble empêcher leur progression. Le succès est inévitable.

 Il faut bien avouer que cette bande de potes, âgés entre 20 et 25 ans, ne part pas d’une page blanche. Avec leur ancien groupe, ils se sont créé un joli CV. Cette camaraderie, conjuguée à leur talent personnel, leur travail et leur ambition, les a conduits à enrichir leur expérience en France et à l’étranger et à se produire sur de nombreuses scènes. Quelques années plus tard, un nouveau cap est franchi avec la sortie d’un premier EP « Until the daylight », disponible sur toutes les plateformes et en vente à Besançon et lors des concerts de la formation. Il se dit qu’un deuxième se prépare.

 Un groupe de « live »

Ces jeunes artistes ne sont pas pressés, mais ils veulent continuer à s’imposer et faire leur place. Si une grande majorité d’entre eux poursuivent leurs études, l’envie de vivre de leur passion est dans toutes les têtes. Pas question de s’arrêter en si bon chemin. Produire toujours et encore et diffuser le plus largement possible leur univers « Pop Us », qui leur colle si bien à la peau, font partie des objectifs affichés.

 

Dix dates de concert à venir

 Malibu s’apprête à sillonner les routes de Franche-Comté et de Navarre. Une dizaine de dates sont d’ores et déjà annoncées d’ici la fin de l’été. Le groupe espère y trouver l’engouement et le soutien qu’il a su créer en terre bisontine. Plus rien ne semble l’arrêter. On n’a pas fini d’entendre parler de Malibu. C’est en tout cas tout le mal que Plein Air souhaite à cette sympathique formation.

L'interview de la rédaction : Ylias, chanteur et guitariste de la formation

 

“60 Temps”, un spectacle événement à l’occasion du 60ème anniversaire de la Chorale Universitaire de Besançon. Le public pourra ainsi embarquer dans une exploration musicale colorée mêlant voix chantées, percussions corporelles et mise en espace. Sur le thème du temps, il aura lieu au sein du Grand Kursaal à Besançon. 

Une réussite bisontine 

C’est en 1962 que tout a commencé pour la Chorale Universitaire. Créée par un étudiant et pour les étudiants(e)s, celle-ci a beaucoup évolué à travers les années, passant d’un répertoire baroque, au jazz, au classique... La Chorale Universitaire est désormais ouverte à toutes et tous, et comporte aujourd’hui 80 adhérents et adhérentes choristes. Composée de deux ensembles vocaux, l’UniVoice Band d’abord, s’occupant des musiques actuelles, anglaises ou françaises, puis le Grand Chœur, reprenant tout un tas de chants internationaux.  
Au sein de l'Université de Franche-Comté à Besançon, la chorale développe le chant sous toutes ses formes : création de formations vocales, éducation musicale de ses membres, participation à des manifestations culturelles, universitaires ou non (concerts, spectacles, animations, auditions ...) ou organisation de celles-ci. 
Singulière, elle offre la possibilité de découvrir une pratique ancestrale et invite chacun et chacune à vivre et ressentir l’expérience de sa propre voix.  

Un titre et un thème porteurs de sens 

Bientôt révélé, le spectacle “60 Temps” est le fruit de trois ans de travail intense, notamment pour Sofiane Messabih - directeur artistique du projet 60 Temps, compositeur et chef des chœurs universitaires. En étroite collaboration avec plusieurs auteurs renommés qui ont écrit les textes des chansons, celui-ci a mis à profit son talent,  afin de mettre ces mots en musique.  
“60 Temps” c’est aussi plusieurs objectifs pour la Chorale Universitaire de Besançon, comme donner confiance aux choristes ou encore faire voyager le public avec émotion grâce à un langage universel. 

Divers événements de célébration  

Les quelques jours précédant le spectacle, une exposition immersive à la fois sonore et visuelle sera proposée dans l’enceinte de la salle Proudhon à Besançon, afin de retracer ces soixante années d’existence. Entre interviews d’anciens choristes et chefs de chœur, archives de l’association et affiches créées par certains étudiants et étudiantes du Lycée Pasteur de Besançon,  du mercredi 10 au dimanche 14 mai, il sera possible de plonger dans ces soixante joyeuses années de chant. 

Mais ce n’est pas tout, l’association sera également présente ce samedi 29 avril à partir de 15h au Musée du Temps afin de présenter “Les Impromptus”, des capsules vocales créées en rapport avec les œuvres exposées dans ce lieu emblématique de la ville bisontine.

L'interview de rédaction : Anne -Fleur Velard, présidente de l"association "Chorale Universitaire de Besançon".

 

Informations pratiques 

Spectacle “60 Temps” 
Samedi 13 mai, 20h00 
Dimanche 14 mai, 17h00 
Grand Kursaal, Besançon 
10 euros tarif plein, 5 euros tarif réduit (étudiants, demandeurs d’emploi, carte avantages jeunes, enfants -18 ans)  

Les Impromptus 
Samedi 29 avril, à partir de 15h00 
Musée du Temps, Besançon 
Écoute libre, entrée du musée payante 
 

Exposition immersive 
Du mercredi 10 mai au dimanche 14 mai 
Kursaal, salle Proudhon, Besançon 
Entrée libre 

L’aventure se poursuit pour Yvann, le jeune jurassien, engagé dans l’émission The Voice sur TF1. Samedi, il a séduit Zazie lors de la deuxième soirée des Battles. Le Jurassien affrontait Jade, une autre concurrente, sur la chanson « Je te promets » de Johnny Halliday. Yvann décroche ainsi sa place pour les Cross Battles.

Ouverte à l’échelle nationale, Musiciennes à Besançon (MAB) est une opération d’accompagnement qui propose à trois équipes artistiques (femmes ou minorités de genre, en solo ou groupe) de bénéficier d’une semaine d’immersion au Bastion et à la Rodia encadrée par des professionnels pour travailler leur projet musical et s’interroger sur le statut de femme artiste.

L’initiative est née d’un constat et de chiffres alarmants, notamment publiés dans le rapport du Centre National de la Musique. Si les écarts salariaux entre les hommes et les femmes sont encore très majoritairement inégalitaires dans ce milieu, ce rapport annuel relevait que seulement 17% des artistes qui se produisent sur scène sont des femmes en France. Et elles représentent 10% des artistes dans le rap, 11% dans l’électro et 14% dans le rock. « C’est une triste réalité. Aujourd’hui, les femmes ont beaucoup moins d’accès à la création […] Elles sont très peu représentées et en large minorité dans toute la chaîne de production » souligne David Demange, directeur de la Rodia. Initiée par le Bastion en 2022, cette opération encourage toutes les femmes musiciennes à s’exprimer, et souhaite permettre à plus de musiciennes d’être accompagnées et soutenues. Au Bastion, par exemple, seulement 15% des adhérents sont des femmes, des chiffres pourtant supérieurs à la moyenne nationale, explique Guillaume Dampenon, administrateur du Bastion. MAB, c’est donc un temps fort autour de la création féminine, à Besançon et en région Bourgogne-Franche-Comté. A travers ce projet, le Bastion, la Rodia et Mazette! entendent participer à l’accès en égalité à la pratique musical, tout en mettant en valeur la création féminine et en dynamisant le territoire autour de ces préoccupations.

Trois lauréates sélectionnées

L’année dernière, lors de la première édition, 116 candidatures avaient été envoyées. Cette année, 225 artistes ont répondu à l’appel. Et trois lauréates ont été sélectionnées par le jury. Championne, une musicienne de Rennes, Minimal, une artiste de Dijon et Oxytocine, une compositrice et interprète de Paris. Ces trois femmes vont pouvoir bénéficier d’un accompagnement du 24 au 28 avril. Cela passera notamment par une demi-journée de coaching scénique avec la coach Ghislaine Lenoir, des ateliers « Être soi » afin de travailler sa posture artistique et sa féminité créative menés par la chorégraphe Bénédicte Le Lay, mais aussi un accompagnement stratégique de chaque projet par l’agence Mazette! et les équipes du Bastion et de la Rodia. Si les trois artistes ne présenteront pas directement le fruit de leur travail, elles proposeront un DJ set le mercredi 26 avril au bar L’Ephéméride à partir de 20h30. De nombreux rendez-vous ouverts au public seront aussi programmés dans plusieurs lieux. A commencer par le duo Ottis Cœur qui jouera aux PDZ mardi 25 avril. Ou encore « La Cantatrice chôme (épisode 2) » qui sera diffusé aux Oiseaux Habitat Jeunes le jeudi 27 avril. Et bien sûr, Mélissa Laveaux, marraine de cette deuxième édition de Musiciennes, qui sera aux côtés des lauréates tout au long de la semaine, et qui clôturera cette édition en montant sur la scène de La Rodia vendredi 28 avril.

 

Guillaume Dampenon, administrateur du Bastion : 

 

L’aventure se poursuit pour le Jurassien Ivann Puslecki à The Voice, le célèbre télécrochet de TF1. Le jeune homme, âgé de 20 ans, originaire de Plaisia, a séduit le jury samedi soir. Les coachs ont été séduits par son interprétation du titre « U-Turn » d’Aaron. Ses supporters pourront de nouveau le retrouver sur le petit écran puisqu’il a décroché son billet pour les battles de l’émission. Rappelons que sa sœur Elsa avait atteint les demi-finales du programme, dans sa version belge, en 2021.

C’est une première pour le département du Jura. Samedi soir, Ivann Puslecki (20 ans), originaire de Plaisia, portera les couleurs du département lors des traditionnelles auditions à l’aveugle de l’émission « The Voice », le célèbre télécrochet de TF1. Jamais un jeune jurassien n’était parvenu à atteindre ce niveau en France. On lui souhaite le même parcours que se sœur, Elsa Puls, qui avait disputé les demi-finales dans la version belge du programme. C’était en 2021.

Dans le Jura, les élèves de classes de formation musicale, à partir de la 3è année, de l’école de musique Haut-Jura Arcade, vont très prochainement participé à l’enregistrement audio et vidéo d’une chanson co-écrite et mixée par deux des professeurs de l’établissement. Cette opération aura lieu le 5 avril dans un studio professionnel à Présilly. Une fois réalisé, le clip sera diffusé sur le site de l’école et les réseaux sociaux de la structure.

On connaît désormais l’affiche définitive de la 33è édition des Eurockéennes de Belfort. Ce nouveau rendez-vous se tiendra du 29 juin au 2 juillet prochain. 52 concerts sont annoncés durant ces quatre jours. Artistes confirmés côtoieront des formations en devenir ou  moins médiatiques.  Rappelons qu’en 2023, le public pourra applaudir Indochine, Orelsan, Shaka Ponk, Zola, Pomme, Phoenix … . Pour tout savoir sur cet évènement www.eurockeennes.fr

Depuis le 27 janvier dernier, la pontissalienne Julie Rousselet, alias Jule, a sorti le 2è EP de son projet global baptisé « les bruits de l’âme ». Baptisé le « Temps », il raconte en cinq titres « des histoires de vie ».  Rappelons que « Hypersensible » est sorti le 5 mai dernier, un troisième opus sortira en juin prochain. C’est à travers la musique et le chant que Jule exprime son combat contre la maladie et son quotidien. L’artiste joue avec les mots. Elle s’exprime avec son cœur, ses émotions et son hypersensibilité.

Pour ce projet, elle s’est entourée d’une équipe d’artistes, musiciens et chanteurs, qui interprètent savamment les paroles et la musique de l’artiste pontissalienne. Comme au printemps et l’automne dernier, des concerts se dérouleront dans les prochaines semaines. En attendant, le grand public peut retrouver ces nouvelles créations sur toutes les plateformes musicales et dans plusieurs points de vente : la FNAC, Laborier Peinture et Pneus Balanche à Pontarlier er au Panier Sympa à Métabief.

L'interview de la rédaction / Jule

 

La 21ème édition du Festival de la Paille qui se tiendra le 28 et 29 juillet a dévoilé sa programmation ce mercredi midi. L’événement tant attendu du Haut-Doubs souhaite rester fidèle à ses valeurs et à sa ligne artistique en proposant un rendez-vous « familial, convivial et festif ». Tous les styles seront proposés : électro, rock, reggae, hip-hop, en passant par la chanson française, chacun devrait y trouver son compte. De nombreux artistes confirmés seront de la partie cette année, à l’image de Bernard Lavilliers, Claudio Capéo ou encore Dub Inc. Mais les organisateurs rappellent aussi l’importance de propulser sur le devant de la scène des artistes plus locaux comme Pogo, Blend of Stones ou encore Chiloo.

 

Le Festival de la Paille a officiellement révélé sa programmation pour cette édition 2023. Le son devrait résonner les 28 et 29 juillet au pied des pistes de Métabief qui accueille chaque année cet événement musical d’ampleur. « 18 groupes, parmi lesquels des noms qui vous parlent. Et puis d’autres qui vous surprendrons » indique Aurélien Bouveret, programmateur du festival. Lors d’une conférence de presse tenue hier à Besançon, ce dernier a présenté les artistes qui partageront cette affiche.

 

Un mélange varié, original et festif 

En tête d’affiche, on retrouve bien évidemment Bernard Lavilliers, qu'on ne présente plus. A 77 ans, après 50 ans de carrière, Bernard Lavilliers, que l’on connaît pour des titres devenus cultes “O’Gringo”“Stand the ghetto”, “La salsa”, “Traffic” ou encore “Attention fragile” se produira le vendredi 28 juillet. Il présentera notamment un spectacle autour de son album O‘Gringo, sorti en 1980. « On s’est dit que c’était un bon moment pour produire Bernard Lavilliers sur le Festival de la Paille » indique Aurélien Bouveret.

Comme cet événement se veut familial, festif et populaire, Claudio Capéo, qui a été demandé énormément de fois, viendra se produire le samedi aux alentours de 21h. Avec plus d’un million de disques vendus, l’alsacien est devenu un artiste incontournable de la nouvelle scène française.

 

Enfin, une autre découverte festive et populaire : Les Fils du facteur. Ils sont suisses, avec deux bisontins qui composent l’équipe. Ils proposent des chansons rythmées, décalées et rigolotes. « Ils sont vraiment à voir sur scène. Après les avoir vu au Paléo l’année dernière, je me suis dit que ça pouvait être incroyable chez nous. Je pense que ça fera plaisir à tout le monde. C’est l’esprit qui est attendu du festival de la Paille » souligne Aurélien Bouveret.

 

 

 Dub Inc, tête d'affiche de la scène reggae 

Le groupe français le plus emblématique du reggae made in France. C’est avant tout par la scène que ces musiciens et chanteurs se sont imposés depuis dix ans comme fer de lance de la scène française. Il auront l’occasion de jouer leur nouvel album sorti en septembre. « C’est une des valeurs sûre et festive. Ils étaient déjà passé et avaient connu un grand succès. Beaucoup de festivaliers et de bénévoles l’ont réclamé. Les artistes eux-mêmes ont souhaité revenir. Il avait proposé un très bon show, c’était un véritable succès » souligne Aurélien Bouveret.

Toujours dans cette veine reggae, avec une tendance un peu plus hip-hop, KT Gorique sera à retrouver sur la scène B. Cette artiste suisse avait eu l’occasion de se produire l’année dernière à Rencontres & Racines ainsi que No Logo. « Sur scène ça déchire, c’est ultra énergique. Ça va être un moment mémorable du festival, c’est une artiste qui va beaucoup faire parler d’elle. Ça fait partie de nos coups de cœur, clairement » explique Aurélien Bouveret.

En faisant légèrement la bascule du côté du côté hip-hop, Chiloo. « Originaire de Belfort, il est en train de bien cartonner sur les réseaux. Pour la petite histoire, Chiloo est un très bon copain de Pihpoh, un grand habitué du festival. Il propose une musique urbaine, assez pop et variée, qui passe très bien. Il avait notamment fait sensation en première partie de BigFlo & Oli » souligne Aurélien Bouveret.

Dans la région, toujours concernant la musique urbaine mais dans un style plus décalé, l’artiste qui a le vent en poupe en ce moment : Pierre-Hugues José, le vésulien. Une personnalité bien connue des réseaux sociaux, pour son humour et son célèbre accent, mais qui a aussi sorti différents clips. Ingénieur de recherche en neurosciences, il a tout plaqué pour tenter l‘aventure de la musique. C’est désormais sur la scène musicale que le jeune haut-saônois entrevois son avenir.

Enfin, en tête d’affiche concernant la musique urbaine : 47TER. Un groupe de pop/rap français, dont les membres sont originaires de l'ouest de Paris. Ils arriveront avec un album fraîchement pondu, qui devrait voir le jour au mois d’avril. Les trois artistes se produiront samedi à 23h sur la grande scène.

 

Les rockeurs au rendez-vous

Côté rock, le festival a encore fait fort cette année. A commencer par un des coups de cœur d’Aurélien Bouveret. « Un jour, j’ai croisé Bastien, un des meilleurs musiciens de la région, qui fait partie des groupes Jack & the Bearded Fishermen et Horskh, sortir d’une boîte de répét’ avec Kanay, le leader de Tetra Hydro K. Ils m’ont fait écouter leur projet qui s’appelle PØGØ, du trap/métal, c’est une tuerie. Il faut venir voir ça. Ça peut piquer un peu les oreilles, mais c’est incroyable. En plus il y a énormément de créations visuelles, ils ont déjà tout préparé, venez-voir ça. Ça se passera vendredi en clôture, sur les 1h du matin sur la petite scène ». Bastien qui sera aussi à retrouver au sein du groupe Jack & the Bearded Fishermen. « Des bisontins pure souche, dans un style rock bien costaud ». La formule est brute, (basse, batterie, trois guitares et deux voix), mais le propos est moderne. Depuis 2005, le groupe cultive son univers dans les distorsions et les mélodies bruyantes.

Les Blend of Stones, groupe né dans les plaines humides de Thise et la chaleur du Swamp Fest en 2018, seront sur grande de l’ouverture scène B le samedi. « Du rock un peu plus stoner » pour Aurélien Bouveret. Après un premier EP sorti en 2021, le groupe continu d’enchaîner les dates et assure notamment la première partie de Mars Red Sky.

Et puis, une autre valeur montante, qui sera en ouverture de la grande scène vendredi : Ko Ko Mo. Ils sont deux sur scène, à la guitare, batterie, et chant. « Lorsque je les ai vu se produire, j’ai pris une immense claque. C’est un groupe qui va vraiment faire parler de lui. Il n’y a plus beaucoup de groupes de rock en France, c’est vraiment celui à ne pas louper » souligne Aurélien Bouveret. « L’enchaînement de Blue Tone Stompers et Ko Ko Mo est à ne franchement pas rater ! » poursuit le programmateur. Un style plus rocksteady, rhythm’n’blues, avec une voix de crooner, pour une musique sincère et chaleureuse, teintée de ska : Blue Tone Stompers fera parler de lui.

Mais aussi des musiciens très aguerris, un style rock garage qui vient dépoussiérer tous les standards des 60’, 70’ : The Dustburds. Le groupe réunit des membres d’horizons variés de la scène rock alternative française. « Ce groupe-là vous ne le verrez pas souvent. Ils sont huit sur scène, c’est très dansant. J’ai hâte de voir comment vont réagir les spectateurs, en tout cas le plus jeunes, parce que je suis sûr qu’ils vont adorer, et pourtant on n’est pas spécialement sur une musique récente. Mais elle est très bien ramenée au goût du jour, avec toute la création artistique et graphique qui l’entoure » explique Aurélien Bouveret.

 

La traditionnelle scène électro 

Enfin, sur une touche plus pop/électro, Suzane, qu’on ne présente plus : victoire de la musique 2020 « Révélation scène », nominée pour en tant qu’artiste féminine en 2021, lauréate du prix Charles Cros, duo avec Grand Corps Malade, sera à l’ouverture de la grande scène samedi. « C’est une artiste véritablement faite pour la scène » souligne le programmateur.

Et puis, dans la lignée de Thylacine qui était présente l’année dernière pour clôturer la soirée du vendredi, c’est Fakear qui prend la relève pour cette 21ième édition. Un choix difficile, après de nombreuses tergiversations au sein de l’équipe, tant les idées fusaient pour le plateau électro du vendredi. Le 24 février sort d’ailleurs son nouvel album, « Talisman », symbole de renouveau et d’une nouvelle étape pour l’artiste caennais. « J’ai pu entendre les premiers titres, et ça va être une des très belles découvertes du festival » indique Aurélien Bouveret.

Le Festival verra également la présence de Vitalic, qui n’est plus à présenter dans le monde de l’électro, et qui proposera une formule festival très complète. Après la sortie de « Dissidaence », chaleureusement accueilli par la critique comme par le public, Vitalic offre une suite plus techno et plus sombre, marquée par une esthétique industrielle froide et minimale. Une composition et une production brutes qui rappellent l’héritage post-cold wave ancré dans l’ADN du producteur.

« Et puis, une opportunité qu’on a eu en électro, qui clôturera le festival. Il s’agit de DJ Pone. Un des membres fondateurs de Birdy Nam Nam. Il a aussi joué avec Cut Killer et fait énormément de participation avec NTM et des groupes tendance hip-hop. C’est exceptionnel de pouvoir terminer avec cette touche. C’est un grand monsieur dans le monde de l’électro » détaille Aurélien Bouveret.

 

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