Dans un communiqué de presse, Jean-Philippe Allenbach, le président du Mouvement Franche-Comté, fait savoir que maître Amandine Dravigny, avocate du parti, a adressé un mail pour demander un ensemble de documents, relatifs au marché public, portant sur la commande d’une statue de Jenny d’Héricourt de l’artiste Grenobloise Lili Reynaud-Dewar. Il est également demandé à la Ville « les délibérations y afférentes ».
Jean-Philippe Allenbach rappelle qu’il avait dernièrement alerté le Préfet du Doubs, regrettant, selon lui, que la municipalité « n'ait pas fait d'appel d'offres concernant le choix de l'artiste ». Le coût de cette acquisition s’élève à plus de 103.000 euros. Il est prévu que la sculpture soit installée prochainement sur la place de la Révolution, au centre-ville de Besançon.
Dans une missive, qu’il communique à la presse, le Bisontin Jean-Philippe Allenbach, président du Mouvement Franche-Comté, interpelle le député doubiste Modem Laurent Croizier, suite à son communiqué de presse sur la déclaration de politique générale de Michel Barnier.
En utilisant le « tu », l’ancien candidat aux municipales de Besançon demande au parlementaire s’il s’appliquerait, localement, à lui-même, sa conclusion : « Il est temps de dépasser les divisions et les querelles, les Français nous regardent ».
Se projetant déjà sur 2026, il aimerait savoir si Laurent Croizier assumerait une union « Macron-Modem-LR » pour remporter la ville de Besançon. Il lui renvoie, ainsi qu’à son adversaire Ludovic Fagaut, « N’oubliez pas que les Bisontines et les Bisontins vous regardent ». Affaire à suivre.
Jean Philippe Allenbach, le Président du Mouvement Franche-Comté, ne cache pas son exaspération. Alors que la porte du local de son mouvement, situé au centre-ville de Besançon, avait été taguée en rouge en début de semaine, c’est sa façade qui a connu les mêmes désagréments ce samedi lors de la manifestation contre la réforme des retraites. Jean Philippe Allenbach présente la gauche comme responsable de ces dégradations. Selon lui, cet acte ne peut que provenir « de sympathisants idéologiques » d’Anne Vignot. C’est la raison pour laquelle il demande à la ville de procéder au nettoyage des lieux.