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Demain, jeudi 13 février, avec comme support le livre collectif de l’Institut la Boétie « Extrême droite : la résistible ascension »,  une conférence se tiendra, à 20h, à la salle Courbet, à Besançon. Sous la coordination du sociologue Ugo Palheta, 18 contributrices et contributeurs, composés de personnalités, engagées dans les domaines des sciences sociales, ont participé à sa rédaction. On notera par exemple que l’historien du nazisme Johann Chapoutot en a signé la préface. L’historienne Fanny Gallot fait également partie des auteurs.

L'interview de la rédaction : Severine Véziès

Ce livre, plus que jamais d’actualité, vise à fournir des armes intellectuelles pour analyser, comprendre et décrypter le processus d’extrême droitisation de la société pour, ensuite,  trouver les actions à mener « pour mieux lutter contre ces idées ». Sévérine Véziès, la responsable doubiste de la France Insoumise ne cache pas son inquiétude et relève des similitudes « entre notre histoire actuelle et ce qui a pu se passer dans les années 30 », avec la montée du nazisme.  

L'interview de la rédaction : Severine Véziès

Retailleau, Bayrou, Bolloré et les autres

La lutte contre l’Extrême Droite fait partie du combat politique de toujours de Séverine Vézies. L’appartenance des médias nationaux à des milliardaires, avec un projet politique « clair, en faveur des idées de l’extrême droite » et une droitisation de la droite conventionnelle et des Macronistes » contribuent, selon elle,  « à la montée de l’extrême droite en France ». Les derniers propos de François Bayrou sur « l’identité nationale et la submersion migratoire » témoignent « d’une alliance » avec l’extrême droite. Mme Véziès croit en « une lutte des classes » pour gagner la bataille des idées. « Il faut unir les milieux populaires d’où ils habitent. Ce n’est pas une question géographique, mais de classe sociale » conclut-elle.

L'interview de la rédaction : Severine Véziès

La France Insoumise appelle les Jurassiens à se mobiliser. Le parti de Jean-Luc Mélenchon appelle à la destitution d’Emmanuel Macron, le Président de la République. Les 22 suppressions de classes envisagées à la rentrée prochaine, dans le 1er degré, ne passent pas. Les moyens accordés au collège sont également fortement dénoncés. Dans ces conditions, le collectif invite la population à participer aux actions de blocage,  les rassemblements et les manifestations prévus. Une pétition a également été mise en ligne : https://macron-destitution.fr/

Dans un communiqué de presse, la France Insoumise du Jura dénonce les positions de la droite jurassienne qui « déterre des projets d’un autre siècle », et notamment du Conseil Départemental, et des parlementaires du département,  qui « soutiennent un gouvernement illégitime, qui sera rapidement censuré ».

Elle rappelle que la pauvreté « touche tout le département, avec plus de 26.500 jurassiens et jurassiennes en situation de pauvreté, vivant en dehors des quartiers prioritaires de la ville. Sans compter,  les  46% de la population vivant sous le seuil de pauvreté aux Mesnils Pasteur à Dole, à la Marjorie et aux Mouillères à Lons-le-Saunier et aux Avignonets et Chabot-le-Miroir à Saint-Claude.  

Manuel Bompard, le coordinateur de la France Insoumise et député des Bouches du Rhône, est attendu à Besançon. Il répond à une invitation de la France Insoumise de Besançon. L’intervenant animera une réunion publique le 22 janvier, à 19h, à la salle de la Malcombe.

Dans le département du Doubs, la France Insoumise « assure », dans un courrier, adressé aux Maires et élus du Doubs, « son engagement plein et entier pour défendre leur autonomie financière et leur libre administration ». Le parti de Jean-Luc Mélenchon fait allusion au plan d’économies de 5 milliards d’euros demandé aux communes, départements et régions. Selon des chiffres des Intercommunalités de France, cela traduira par une baisse de plus de 27 millions d’euros pour la région Bourgogne Franche-Comté et plus de 11 millions d’euros pour le département du Doubs.

Suite à la nouvelle étude sur l’analyse de 89 échantillons d’eau du robinet en France métropolitaine, la France Insoumise de Besançon dénonce « l’inaction des gouvernements successifs d’Emmanuel Macron sur les PFAS, les polluants éternels. Des concentrations importantes de certains produits ont été retrouvés, notamment à Saint-Vit, dans le Grand Besançon. Il est demandé l’interdiction «  de la production, la fabrication, l’utilisation, l’importation et l’exportation et, plus globalement, le rejet de tous les PFAS ». Le parti exige l’adoption « d’un texte très ambitieux » sur le sujet.

Politique. Dans le projet de reconstruction de la gauche, en vue des élections législatives des 30 juin et 7 juillet, la France Insoumise de Besançon, qui regrette l’éclatement de la NUPES, appelle à l’union. Elle la juge « urgente et vitale ». Et de compléter : « Face aux grands défis qui sont devant nous, face à la brutalité sociale que subissent les français.es, nous devons tracer un chemin d’espoir crédible et cohérent ».

Ce samedi après-midi, à Besançon,  lors de la manifestation hebdomadaire pour demander un cessez le feu à Gaza, organisée par le collectif Palestine, Séverine Véziès, candidate aux prochaines élections européennes et membre de la France Insoumise, s’est exprimée sur les poursuites contre Rima Hassan, candidate également aux élections européennes, et qui doit répondre des faits « d’apologie du terrorisme ».

Séverine Véziès dénonce « une nouvelle intimidation inacceptable ». Selon elle, « La France de Macron dérive dangereusement ». Mme Véziès point  « un climat répressif qui vise depuis plusieurs semaines celleux ( ndlr : celles et ceux) qui dénoncent le génocide en cours à Gaza et appellent au cessez-le-feu immédiat et permanent ».  « Ils ne nous feront par taire » conclut-elle.

Dans un communiqué de presse, les groupes d’action de la  France Insoumise de Besançon indiquent apporter leur soutien à la mobilisation des agriculteurs qui « se battent pour pouvoir vivre dignement de leur travail ». Le collectif appelle « à la convergence des luttes face à un gouvernement qui n’entend rien de la souffrance et de la colère populaire ».

Le député Sébastien Delogu (LFI) est à Besançon ce samedi. Il est venu rencontrer les habitants de Planoise pour échanger avec la population après les émeutes qui ont enflammé les quartiers populaires en juin dernier. L’objectif est de recueillir des informations et des  témoignages pour s’opposer aux dernières propositions formulées dernièrement par la Première Ministre Elisabeth Borne. Le parlementaire a également participé, en toute discrétion, à la marche « pour un cessez-le-feu à Gaza », qui s’est tenu au centre-ville bisontin.

« Je ne rate aucune manifestation pour appeler à un cessez-le-feu, un processus de paix et la libération des otages » explique-t-il. L’élu marseillais demande que « ces massacres cessent ». « C’est insoutenable de voir des images d’enfants sous le décombres et de pères cherchant leur famille ». Sébastien Delogu condamne les attaques du Hamas. Tout en rappelant « la riposte sans précédent d’Israël ». Et de continuer : « je ne peux oublier que depuis 1947, Israël est gangréné par la colonisation de  ce peuple et de ses terres ». M. Delogu envoie  ses sentiments les plus forts au peuple gazaoui et aux Palestiniennes et Palestiniens.

L'interview de la rédaction / Sébastien Delogu

 

« Réaffirmer notre soutien à toutes les populations »

La Bisontine Séverine Véziès, membre de la coordination nationale de la France Insoumise,  ne fait aucune tergiversation sur le sujet. « Nous faisons partie du collectif organisateur de l’évènement, en tant que parti politique, pour, encore une fois, réaffirmer notre soutien à toutes les populations victimes de cette guerre, les populations palestiniennes et israéliennes. Il faut un cessez-le-feu immédiat » explique-t-elle. Selon Mme Véziès, son parti et Jean-Luc Mélenchon n’ont jamais manqué de clarté sur cette question ». « Il n’y a aucun problème, pour nous, pour dire que les actes commis par le Hamas sont des actes de terreur, des actes terroristes. Tout comme ceux menés actuellement par Tsahal à Gaza ». Et de continuer : « Il faut aussi avoir une réflexion politique pour sortir de cette guerre qui dure depuis trop longtemps ». Séverine Véziès dénonce avec la plus grande des fermetés «  le soutien inconditionnel que la France apporte au gouvernement d’extrême droite de Benyamin Netanyahou en Israël ».

L'interview de la rédaction / Séverine Vèziès

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