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Le boxeur dolois Bilel Latreche va tenter de remporter la ceinture intercontinentale WBO ce mardi 31 octobre à la Commanderie de Dole. L’enfant des Mesnils-Pasteur, multiple champion, est de retour sur la scène du top 15 mondial grâce ses récentes victoires dans le championnat international IBF et le championnat international WBC qu’il a remporté en juin dernier. C’est le costaricain Enrique Diaz, surnommé le Démolisseur, qui se dresse sur sa route. A 37 ans, le dolois pourra compter sur sa détermination et sur un public acquis à sa cause pour remporter une victoire qui pourrait ensuite le propulser vers un combat pour un titre mondial par dérogation ou une défense pour encore grimper dans le ranking mondial. Une soirée qui promet d’être animée, et qui débutera à 20h à la Commanderie de Dole.

Le boxeur dolois Bilel Latreche va tenter de remporter la ceinture intercontinentale WBO mardi 31 octobre à la Commanderie de Dole. Ce multiple champion est de retour sur la scène du top 15 mondial grâce ses victoires dans le championnat international IBF et le championnat international WBC qu’il a remporté en juin dernier. C’est le costaricain Enrique Diaz, surnommé le Démolisseur, qui se dressera sur sa route. A 37 ans, le dolois pourra compter sur sa détermination et sur un public acquis à sa cause pour remporter une victoire qui pourrait ensuite le propulser vers un combat pour un titre mondial par dérogation ou une défense pour encore grimper ans le ranking mondial. Rencontre avec Bilel Latreche.

 

Pour vous introduire Bilel, depuis quand pratiquez-vous la boxe, et comment vous êtes-vous retrouvé dans ce milieu ?

"J’ai foulé ma première salle de boxe à l’âge de 8 ans. C’est venu un peu par le hasard des choses. J’avais des cousins qui étaient des grands champions en boxe anglaise et en full contact, qui m’ont permis de suivre un peu leurs pas. Mais aussi un contexte familial où la maman aimait bien ce sport pour apprendre les différentes valeurs qu’il inculque, en termes d’humilité de respect."

 

Vous présentez aujourd’hui une carrière rythmée par les titres et la réussite, qui a commencé tôt. Un premier titre majeur à 23 ans en devenant champion du monde espoir IBF des poids super-moyens. Une ceinture que vous conserverez à plusieurs reprises. Vous enchainez ensuite, champion de France professionnel, champion international de la WBF, de l’IBA, de l’IBF, et j’en passe… Jusqu’à récemment, en juin 2023, avec ce titre de champion WBC International Asia-Silver. Quel regard, aujourd’hui à 37 ans, portez-vous sur votre carrière ?

"J’en suis très fier. Si on m’avait dit quand j’ai commencé, que j’aurais pu atteindre ces sommets et cette réussite, honnêtement, je n’y aurais pas forcément cru. Même si on me disait très tôt que j’étais doué. Mais des gens doués, il y en a beaucoup. A un moment donné, les qualités intrinsèques sont une chose, mais après c’est le travail qui fait la différence dans le sport de haut niveau. J’ai un regard un peu enfantin, et joyeux, quand je regarde derrière moi. J’ai encore cette envie, avant la fin de ma carrière, d’écrire différentes pages de mon histoire, pour obtenir des ceintures et des titres avant de raccrocher les gants."

 

Vous combattez donc mardi prochain pour la ceinture intercontinentale WBO. Pourquoi ce challenge, et dans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ?

"Ce challenge vient à point nommé. Comme pour beaucoup, le Covid avait mis un vrai arrêt dans ma carrière. C’était la seule fois de ma vie où j’avais remis en question s’il fallait continuer, ou pas, la boxe. Après c’est revenu naturellement. Avec tout ce que j’avais accompli, je ne pouvais pas fermer le livre aussi rapidement et ne pas tenter quelque chose à l’échelle internationale. C’est vrai que ma victoire l’année dernière, et mon retour sur la scène du top 15 mondial grâce à ma victoire dans le championnat international IBF et le championnat international WBC à Bangkok que j’ai gagné en juin, dans deux grosses fédérations, ça a boosté ma confiance et mes ambitions. Aujourd’hui, ce championnat intercontinental vient à point nommé. Tenter un top 10-15 mondial c’est une suite logique avec ce qu’il s’est passé ces dernières années. C’est aussi devenu la chance de pouvoir encore grapper quelques ranking au niveau mondial, et pourquoi pas avoir une chance encore plus haut. C’est ce qui est beau dans ce sport, il n’y a rien qui est écrit, rien qui est définit, tout est possible à chaque combat."

 

L’entraînement a dû être intense. Vous vous sentez prêt physiquement ?

"L’entraînement a été très dur. Je sors de 8 semaines intensives. La préparation a duré 10 semaines. Les deux premières semaines, on va appeler ça de la pré-préparation et de la réathlétisation. Avec 8 semaines intensives, à raison pour les plus petites semaines, de 7-8 entraînements hebdomadaires et de 11 pour les plus grosses. Ça a été dur. Les entraineurs ont été exigeants avec moi. Mais ce sont aussi les ingrédients qu’il faut pour être au top, en espérant que cela suffise pour pouvoir gagner. Je me sens bien, je suis frais à moins d’une semaine du combat. On a encore deux trois petites choses à travailler jusqu’à ce vendredi, avant de couper et d’être en récupération pour être frais le soir du mardi 31 octobre. Aujourd’hui, je suis content de ce qui a été fait et mis en place par mes entraîneurs, mon préparateur physique, mon équipe médicale qui a été très attentive pendant toutes ma préparation. Maintenant il faut rester confiant et se donner toutes les chances d’être à 100% le soir du combat."

 

Vous affrontez le costaricain Enrique Diaz, surnommé « Le Démolisseur ». Comment jugez-vous cet adversaire ?

"Il est un peu fidèle à son surnom, c’est un démolisseur dans le sens où c’est quelqu’un de très offensif et assez puissant. Après, sur le ring, on verra qui va démolir qui. J’ai aussi mon égo, ma fierté, que je vais défendre très chèrement, surtout devant les miens à Dole, dans ma ville natale et avec tout le public qui va venir très nombreux et sera pleinement à mes côtés. Le Démolisseur, ça va être un adversaire qu’il va falloir prendre au sérieux dès le début, être attentif à ne pas se faire contrer ou malmener avec des coups puissants qu’il va tenter. De notre côté, on a vraiment travaillé sur des séquences offensives et défensives avec mon équipe, pour proposer quelque chose qui puisse faire la différence pendant tout le long du combat s’il doit aller à son terme. Mais aussi être en capacité d’abréger, de le mettre KO si besoin, à n’importe quel moment.

 

Il faut remonter à 6 ans pour voir un événement de boxe à la Commanderie de Dole. C’était déjà vous, à l’époque, qui aviez mis KO le finlandais Forsman pour une ceinture WBF. Tout est réuni pour que cette soirée soit une réussite, et j’imagine que c’est d’autant plus stimulant de combattre dans sa propre ville ?

"Combattre à Dole, ça a toujours une saveur particulière. Parce que Dole c'est la famille, les amis, c'est tous ceux avec qui je partage des activités professionnelles, des activités dans le domaine associatif, dans le domaine populaire, de l'insertion, les commerçants, etc. Dole, ça fait et ça fera toujours partie de moi. Il y a toujours cette saveur très particulière d’être chez soi. On va essayer de reproduire ce qu’il s’est fait en 2017, c’était une très belle soirée, je m’en rappelle. L’objectif sera de donner de la joie et du plaisir à tout le monde.

 

Rendez-vous à partir de 20h le mardi 31 octobre à La Commanderie de Dole.

 

Le vendredi 20 octobre prochain, 13 jeunes femmes défileront à la Commanderie de Dole pour l'élection de Miss Franche-Comté 2023, concours qui débouchera ensuite sur Miss France 2024. Une cérémonie qui se déroulera avec la présence d’Indira Ampiot, Miss France 2023, ainsi que Marion Navarro, Miss Franche Comté pour Miss France 2023 et 2ème Dauphine Miss France. Originaire de Baume-les-Dames, Marion Navarro avait été élue le 11 septembre 2022 à Pontarlier, devant un public l’ayant largement plébiscité avant de s’arrêter sur la troisième marche du podium de Miss France quelques mois plus tard. Un résultat prestigieux pour la Franche-Comté, qui n’a plus connu de Miss France depuis 1980. Plus que dix jours avant de connaître celle qui succèdera à Marion Navarro, et qui portera fièrement l’écharpe afin de représenter au mieux la région. Le rendez-vous est donné vendredi 20 octobre, à partir de 20h, pour suivre la cérémonie depuis la Commanderie de Dole.

Parmi les candidates à cette élection :

 

 Représentantes du Doubs :

Miss : Naomi Rivière

Première dauphine : Jessye Lamoureux

Deuxième dauphine : Mathilde Louyot

 

 Représentantes du Jura :

Miss : Sonia Coutant

Deuxième dauphine : Manon Guespin

 

Représentantes de la Haute-Saône :

Miss : Tiffany Ringot

Première dauphine : Noémie Tarik

Deuxième dauphine : Marie-Lys Mouroux

Troisième dauphine : Lucie Bobert

 

Représentantes du Pays de Belfort-Montbéliard : 

Miss : Romane Fernandez

Première dauphine : Valentine Geng

Deuxième dauphine : Camille Quenot

Troisième dauphine : Morgane Alapetite

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus avenue de la Côte d’Or à Dole en début d’après-midi pour un accident de la route impliquant deux voitures et six personnes. Elles étaient toutes sorties des véhicules avant l’arrivée des secours. Seulement deux d’entre elles ont été transportées non médicalisées sur le centre hospitalier de Dole. 

Organisé par l’association Moto Virade 39, le but de cet événement est de collecter des fonds pour aider les laboratoires de recherches qui luttent contre la mucoviscidose. Environ 700 motards et 400 motos sont attendus sur les routes de la région ce dimanche 25 septembre. Le rassemblement est prévu à 7h sur l’esplanade de l’avenue de Lahr de Dole. Le cortège démarrera une demi-heure plus tard. La première étape se fera à Levier à 9h30 devant les établissements Vallet, puis à midi les motards s’arrêteront à Pontarlier pour déjeuner. Dans la capitale du Haut-Doubs, le cortège suivra le parcours suivant : rue de la Halle > Place des Bernardines > rue Jeanne d’Arc > rue Jules Mathez > Hôpital > Montée du Larmont. Le retour est prévu pour 17h30 à Dole.

L'étape de départ du Tour de France approche et à cette occasion le samedi 9 juillet sera particulièrement festif et animé à Dole. Avec le début des vacances c'est aussi le retour des visites guidées dans la ville et son centre historique durant tout l'été. Pour les amateurs de vélo, de patrimoine et de chevaux, de nombreuses visites guidées sont prévues pour ce week-end.

 

Dole vous ouvre ses portes : de cloîtres en chapelles
Samedi 9 juillet à 16h - 
Au XVI et XVII siècle, Dole connaît un prodigieux essor monastique entraînant la construction de nombreux établissements religieux.


Le Faubourg Châlons, une histoire de travaux
Dimanche 10 juillet 16h
Le Faubourg Chalon se développe aux xviii et xix siècles. Il embrasse plusieurs monuments emblématiques de la ville dont le théâtre récemment rénové.
Voyagez au cœur du faubourg ! Entre anecdotes et récits, ce site est un bel exemple de l'évolution urbaine de la ville de Dole et des travaux de réaménagement et de restauration. Venez redécouvrir l’histoire de ces monuments.

 

Balade en calèche
Dimanche 10 juillet - Plusieurs départs de 16h à 18h15
Découverte du centre-ville au rythme du cheval comtois pour prendre le temps de voir la ville autrement.

 

Toutes ces visites sont sur réservation : https://web.digitick.com/index-css5-doletourisme-pg1.html

Le 9 juillet prochain, le tour de France partira de Dole. La plus célèbre course cycliste au monde passera ensuite dans tout le Jura dans les villes d’Arbois, de Champagnole ou encore de Bois d’Amont pour finalement rejoindre l’arrivée en Suisse à Lausanne. L’obtention de ce départ pour la sous-préfecture du Jura est un grand moment qui, en plus de contribuer au rayonnement touristique de la ville sur tout l’été, permet à Dole d’être vue à l’internationale en cette année si particulière du bicentenaire de la naissance de Louis Pasteur. 

Une étape hommage

Le Tour de France partira de Dole seulement pour la troisième fois depuis 1947. Avec deux éditions touchant la ville natale de Pasteur depuis 5 ans, le lien avec Amaury Sport Organisation, l'organisateur du Tour de France, s’intensifie. Cette décision est aussi dû au fait que Christian Pernot, président du conseil départemental du Jura, siège au conseil d'ASO.Jean-Baptiste Gagnoux, le maire de Dole, déclare que ce choix de départ a été en grande partie fait par Christian Prudhomme en fonction de la portée historique de la ville et pour rendre hommage au grand chimiste Louis Pasteur. Après avoir porté ce dossier auprès du directeur du Tour de France, Dole a donc été choisi et a dû débourser 80 000 euros pour s’offrir ce départ. 

Un financement collaboratif

En réalité, cette somme n’a pas été déboursé par la municipalité seule. Celle-ci a financé le départ à hauteur de 20 000 euros tandis que le département du Jura s'est aligné sur la même somme : 20 000 euros et la région Bourgogne Franche-Comté finance le reste : 40 000 euros. Aussi, Monsieur Gagnoux rappele que ces dépenses sont “raisonnables” par rapport à d’autres subventions culturelles “3 à 4 fois plus onéreuses”. En ce qui concerne le calcul dépenses-recettes, il est difficile à réaliser selon le maire puisque les retombées précises sont “incalculables” : “on sait simplement que, comme en 2017, la ville sera bondée, les restaurants, les hôtels et le camping complets”. 

Une grande journée festive

Cette étape sera aussi bien sûr sportive et cette décision vient également récompenser “les efforts de la politique du vélo de la ville” selon Jean-Baptiste Gagnoux. L’enjeu sportif se jouera surtout à Lausanne avec une arrivée dans un col en 3ème catégorie mais le passage à Dole sera inscrit sous le signe des festivités : passage de la caravane publicitaire à 11h30, départ fictif à 13h puis officiel peu après et enfin d’autres concerts, événements, feux d’artifices à partir de 17h. 

Tout est mis en place pour fêter à la fois le cyclisme, l’histoire, le patrimoine et la science dans la ville doloise : les spectateurs n’ont plus qu’à prendre place. 

 

L'interview de la rédaction / Jean-Baptiste Gagnoux   

Le Palais de sports de Besançon accueillait hier soir la finale régionale R1 de futsal féminin. Co-organisé par le Besançon Futsal Académie et la Ligue Bourgogne-Franche Comté de football, l’événement accueillait les quatre meilleures équipes de la région.

 

C'est un Palais des sports rempli qui attendait les meilleures joueuses de futsal de la région hier soir. Sous les encouragements de la salle, quatre formations de R1 se sont affrontées toute la soirée pour décrocher le titre de meilleure équipe de la région. On retrouvait les deux équipes de la cité bisontine : le Besançon Académie Futsal et le SF Besançon, ainsi que le Dijon Métropole Futsal et le groupement Villers-Les-Pots Jura Dolois. Au terme de plusieurs matchs de belle qualité, c'est le groupement Villers Jura Dolois qui s'est imposé en finale face au club local du Besançon Académie Futsal. « Le futsal féminin est très peu connu. On a vu des matchs de qualité ce soir et la ligue Bourgogne-Franche Comté part de très loin. Je suis extrêmement fier et content d'avoir vu ces dames évoluer sur le parquet du Palais des sports de Besançon ce soir », témoigne Nicolas Vuillemin, le directeur général adjoint de la ligue Bourgogne-Franche Comté. Et quant au choix de la cité bisontine pour accueillir l’événement, nul doute qu'il ne s'est pas fait au hasard. « La région Bourgogne-Franche Comté possède un axe Beaume-Dijon-Besaçon important et nous avons du faire avec les salles disponibles. Nous sommes toujours très bien reçus au Palais des sports. Les filles sont très contente d'avoir pu jouer ici », termine le directeur général adjoint de la ligue.

 

Le classement de ces finales régionales :

 

  • 1 ère place : Groupement Villers-Les-Pots Jura Dolois
  • 2 ème place : Besançon Académie Futsal
  • 3ème place : SF Besançon
  • 4ème place : Dijon Métropole Futsal

L'interview de la rédaction

 

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Les sapeurs-pompiers du Jura indiquent qu’en début d’après-midi un accident a eu lieu à Dole, avenue Maréchal de Lattre de Tassigny. Il s’agit d’une collision entre une voiture et une moto. Une victime, gravement blessée, a été évacuée sur un centre hospitalier. Douze sapeurs-pompiers et quatre véhicules ont été déployés pour l’intervention.

Ce mercredi 22 juin s’ouvrira le procès du septuagénaire dolois accusé de violences volontaire avec arme et injures racistes le 21 avril dernier. Pour rappeler les faits, l’homme de 72 ans effectuait des photos à proximité du domicile d’une famille à Dole. Les parents, craignant que l’individu ne prenne des photos de leurs enfants, avaient alors cherché à obtenir des explications.

 

Le ton qui monte, un septuagénaire qui dérape

 

Le septuagénaire a alors menacé le père de famille avec une clé en croix prise dans sa voiture, un outil lourd destiné à resserrer les écrous. Il a ensuite proféré des injures racistes à l’encontre d’Adil Sefrioui, le père de famille, en le traitant de « sale bicot ». Remonté dans sa voiture, le septuagénaire s’est éloigné avant de faire demi-tour, et de foncer vers le père de famille qui se trouvait sur le trottoir. Ce dernier, en un ultime reflexe, a sauté sur le capot du véhicule, qui a fini sa course en arrachant la clôture du domicile de sa victime. Des images d’une rare violence, filmées en intégralité par la femme d’Adil Sefrioui.

 

Un procès repoussé et délocalisé pour sa complexité

 

Âgé de 41 ans, Adil Sefrioui a subi un examen médico-légal. Souffrant de plusieurs fractures, il s’est vu délivrer une incapacité de travail de 30 jours. Ce dossier sera donc examiné mercredi matin à partir de 8h45 devant le tribunal judiciaire de Lons-le-Saunier. Il était préalablement prévu au tribunal correctionnel de Dole, mais la complexité de cette affaire nécessite une formation collégiale, c'est-à-dire devant plusieurs juges. A Dole, il s'agissait ce jour d'un procès à juge unique. Les parties civiles, défendues par Me Randall Schwerdorffer, souhaitent requalifier les faits en « tentative de meurtre ».