ette nuit, aux alentours de 1h, un violent incendie a ravagé une maison individuelle située au 4 rue des 4 Chemins à Goux-les-Usiers, commune de Val d’Usiers. À l’arrivée des sapeurs-pompiers, l’habitation était totalement embrasée. L’intervention rapide de plusieurs équipes a permis de maîtriser les flammes à l’aide de quatre lances, dont une installée sur échelle. Les cinq occupants de la maison, sains et saufs, seront relogés temporairement au sein de leur famille.
Un accident de la circulation impliquant une moto seule s’est produit ce samedi sur la RD 6, en direction de Houtaud, sur la commune de Val d’Usiers. Un homme de 63 ans a été grièvement blessé. Pris en charge par les secours, il a d’abord été transporté au centre hospitalier de Pontarlier, avant d’être héliporté vers le CHU de Minjoz.
Hier soir, vers 21 heures, une violente collision entre deux véhicules s’est produite à un carrefour de la D 678, sur la commune de Boissia. L’accident a fait six blessés. Deux personnes sont gravement touchées. Les victimes ont été prises en charge par les secours, avant d’être transportées à l’hôpital.
hier soir, vers 20h, les secours ont été mobilisés à l’étang des Graviers, rue des Sablières à Sochaux, pour une noyade. Un homme d’environ 60 ans, s’adonnant à la pêche, a disparu sous l’eau sans refaire surface.
Les plongeurs des sapeurs-pompiers du Doubs l’ont extrait en arrêt cardio-respiratoire. Malgré une tentative de réanimation, le décès a été constaté par le médecin du SMUR. La Police Nationale et un représentant de la commune étaient présents sur les lieux.
Un accident mortel de la circulation routière s’est produit hier soir, vers 21h30, à Vaux-les-Saint-Claude. Une personne n’a pas survécu à ses blessures. On déplore également un blessé grave, avec un pronostic vital engagé. 30 personnes sont impliquées. 18 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.
Un accident de la route s’est produit cet après-midi à Maîche, au hameau des Seignottes. Deux voitures, dont un véhicule de la Poste, se sont violemment percutées. On déplore trois blessés : une femme de 69 ans et deux hommes, âgés de 68 et 39 ans. Des représentants de la mairie et de la gendarmerie se sont rendus sur place.
Le 25 juin, vers 15h45, à Besançon, une patrouille police secours est intervenue à la maison d’arrêt de la rue Pergaud après la découverte de 22g de résine de cannabis sur un détenu, à l’issue d’un parloir avec son épouse et leur fils. Âgée de 31 ans, la femme a été interpellée et placée en garde à vue.
Elle a reconnu avoir acheté la drogue en ville pour 90 euros dans le but de la remettre à son mari. Les stupéfiants ont été détruits. Elle a été convoquée pour une ordonnance pénale devant le tribunal judiciaire de Besançon le 3 octobre.
Le 26 juin vers 15h45, à Besançon, les motards de la brigade motorisée ont intercepté un automobiliste circulant sans ceinture de sécurité. Contrôlé, l’homme de 39 ans faisait l’objet d’une suspension de permis de conduire. Interpellé puis placé en garde à vue, il a reconnu les faits. Son véhicule a été immobilisé. Il devra répondre de ses actes lors d’une comparution devant la justice le 10 juillet.
Le déploiement du drapeau palestinien sur l’esplanade des Droits de l’Homme, devant la mairie de Besançon, suscite depuis plusieurs jours de vives réactions sur les réseaux sociaux. Pour certains, il s'agit d'un acte de solidarité humanitaire ; pour d'autres, d'une prise de position politique jugée inappropriée dans l’espace public républicain. Face à la polémique, le préfet du Doubs a choisi d’engager une action en justice, provoquant de nouvelles interrogations sur l'équité du traitement accordé à différentes causes internationales.
Une démarche fondée sur la jurisprudence
Sollicitée par notre rédaction, la préfecture du Doubs rappelle que cette initiative judiciaire s’appuie sur des décisions de justice récentes : « Le Préfet s’en tient à l’avis des tribunaux qui ont beaucoup statué récemment sur cette question », explique-t-on. En substance, les juridictions administratives ont précisé que le pavoisement des bâtiments publics avec des drapeaux étrangers ne peut être toléré que dans des cas « largement consensuels » au sein de la société française. C’est cette interprétation qui a, par exemple, permis l’affichage du drapeau ukrainien dans de nombreuses collectivités, sans contestation majeure. Mais dans le cas du conflit israélo-palestinien, les autorités estiment que le sujet demeure hautement clivant : « Le sujet du conflit au Proche-Orient est un sujet de clivage chez les Français. »
Un conflit meurtrier aux bilans asymétriques
Derrière ces considérations juridiques et politiques se cache une réalité tragique : l’ampleur du conflit en cours à Gaza. Depuis l’offensive lancée par Israël en octobre 2023, plus de 56 000 Palestiniens ont été tués, selon les autorités sanitaires de Gaza. Certains experts indépendants, comme ceux cités dans une étude publiée dans The Lancet, estiment que ce chiffre pourrait être bien supérieur si l’on prend en compte les morts indirectes liées à la faim, aux maladies ou à l’effondrement des infrastructures. Côté israélien, le conflit a débuté par l’attaque sans précédent du 7 octobre 2023, au cours de laquelle environ 1 200 personnes ont été tuées, dont 816 civils israéliens et étrangers. Depuis, les combats à Gaza ont coûté la vie à plus de 300 soldats israéliens, selon les chiffres de l’armée israélienne (IDF).
Entre émotion, droit et symbole
La décision de la maire de Besançon d’arborer le drapeau palestinien, aussi symbolique soit-elle, entre en collision avec une lecture stricte du droit public et des règles de neutralité dans les espaces officiels. Pour les soutiens, ce geste est un cri d’alerte face à une catastrophe humanitaire ; pour ses détracteurs, il constitue une prise de position dans un conflit international qui divise profondément l’opinion française. La question qui se pose désormais est celle de l’égalité de traitement entre les causes humanitaires : pourquoi le soutien à l’Ukraine serait-il jugé « consensuel » et donc légitime, alors que celui exprimé envers la Palestine serait qualifié de « clivant » ?
Une jurisprudence à géométrie variable ?
Le débat ne fait que commencer. Si les tribunaux confirment la démarche préfectorale, cela pourrait créer un précédent concernant l’expression symbolique des collectivités sur des sujets internationaux. Il soulèverait aussi une interrogation plus large sur le rôle des institutions locales dans les grands enjeux du monde, entre solidarité et neutralité républicaine.
Un grave accident s’est produit ce jeudi soir, vers 20h, boulevard Léon Blum à Besançon. Un piéton a été percuté par une voiture. Un homme de 56 ans a été transporté médicalisé sur le centre hospitalier Jean Minjoz.