Une personne a perdu la vie ce matin au lieu-dit Les Ronchaux, dans le secteur d’Etival. Cet automobiliste a été victime d’un arrêt cardiorespiratoire. L’action des sapeurs-pompiers n’a pas permis de le sauver. Six véhicules et neuf secouristes, dont un médecin, se sont rendus sur place.
Un accident, impliquant une voiture et un poids-lourd, vide et bâché, s’est produit ce matin, vers 11h, à Meussia (39). Cinq personnes sont concernées. On déplore quatre blessés légers. 19 sapeurs-pompiers et neuf engins se sont rendus sur place.
Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus ce matin à Lons-le-Saunier, rue Pierre Hebmann, pour une fuite de gaz survenue sur la voie publique suite à des travaux. Un engin de chantier a arraché une conduite. Des agents de GRDF sont intervenus pour rétablir la situation. On ne déplore aucun blessé.
Hier, vers 18h30, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus à Randevillers pour un feu de cheminée avec propagation à l’appartement dans une maison communale comprenant trois logements. Le sinistre a été maîtrisé au moyen de trois lances. Les trois logements ont été impactés par le sinistre. Les occupants ont été relogés dans leur famille.
Un homme, âgé d’une quarantaine d’années, a été interpellé le 19 janvier dernier. Il est soupçonné d’avoir dérobé un sweat shirt de marque et d’autres articles, un téléphone et un vêtement, dans trois enseignes de la zone commerciale de Châteaufarine. Connu des services de police, il comparaîtra en mai prochain devant la justice. Le quadragénaire nie les faits, à l’exception du vol à l’étalage commis dans le commerce où il a été interpellé.
Un jeune homme d’une vingtaine d’années devra s’expliquer en septembre prochain devant la justice. Le 19 janvier dernier, à Besançon, il a été interpellé et placé en garde à vue après avoir tenté de prendre la fuite a pied à la vue d’une patrouille de police, rue Russel. L’individu s’est délesté dans sa course d’un sachet, contenant 10 bonbonnes de cocaïne, 14 d’héroïne et 175 euros
Une personnalité inquiétante
Ce procès qui se tiendra devant la cour d’assises de Grenoble s'annonce retentissant, surtout en raison de la médiatisation qu’a eu cette affaire, notamment en raison de l’âge de la victime, et de la personnalité troublante de l’accusé. Concernant les attentes qui gravitent autour de ce procès, les révélations potentielles de la part de Nordahl Lelandais, les parents et proches de Maëlys reconnaissent n’avoir que très peu d’espoir de connaître la vérité. L'ancien maître-chien militaire est aussi jugé pour des agressions sexuelles sur deux de ses petites cousines de cinq et six ans, au cours du même été 2017, et pour détention et enregistrement d'images pédo-pornographiques.
Une organisation de grande ampleur
L'organisation de ce procès a été anticipée depuis longtemps, notamment par le biais de l'envoi d'observateurs à la cour d'assises de Chambéry. De ce fait, le procès sera délocalisé au palais de justice de Grenoble, qui a l'avantage d'être beaucoup plus moderne et fonctionnel que celui de Chambéry, un peu plus âgé. Pour faire face à l'afflux des journalistes, une deuxième salle de 60 places avec retransmission vidéo sera ouverte. Pour l’heure, déjà plus de 130 journalistes représentants une trentaine de médias devraient être sur place. Le procès a été programmé sur trois semaines, du 31 janvier au 18 février, une durée rare pour ce genre d'affaires. La sécurité tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du bâtiment sera renforcée.
« C’est un véritable drame pour tout le Jura. Il s’agit de quatre jeunes, le bilan est très lourd » a déclaré David Philot, le préfet du Jura, lors d’une conférence de presse tenue ce matin. Parmi les occupants de cette voiture, trois d’entre eux avaient 15 ans, 17 ans pour l’autre. Seule la conductrice du véhicule était majeure. Un seul des cinq occupants du véhicule a pu s’en extraire, il s’agirait du passager installé au milieu à l’arrière du véhicule. C’est lui qui a pu arrêter un passant afin qu’il prévienne les secours. Il a été évacué par les secours en hypothermie. Une patrouille de gendarmerie a pu très rapidement arriver sur les lieux. Les gendarmes se sont jetés à l'eau pour extraire les occupants du véhicule mais n'y sont pas parvenus. Quatre d’entre eux étaient lycéens et internes au Lycée Paul-Emile Victor à Champagnole, à une vingtaine de kilomètres du lac. Une cellule psychologique importante a été déployée au sein de l’établissement.
Ce matin encore, la 206 était immergée à cause de l’accès difficile de la zone. Des opérations ayant pour but de l’extirper du lac, afin d’obtenir d’autres données relatives à cet accident, sont en cours. Pour l’heure, les premiers éléments indiquent une sortie de route causée par une chaussée « extrêmement glissante, intégralement verglacée sur des centaines de mètres » a précisé Lionel Pascal, le procureur de la République du Jura. Effectivement, il s’agit d’une zone boisée de part et d’autre d’une route qui n’entrevoit quasiment jamais le soleil en cette saison. « Nous avons eu des pluies verglaçantes. Les principaux axes ont été salés, mais pas cette voie sans issue de deux kilomètres qui longe le lac. Quand je me suis rendu sur place, on ne tenait même pas debout tant cela glissait » ajoute Lionel Pascal. Avant de poursuivre : « Sur les photos de vos collègues, grâce aux phares des véhicules de pompiers, on se rend bien compte de l’éclat de la route causé par le verglas. Mais lorsqu’on arrive dessus, sans un éclairage important, c’est beaucoup plus difficile de s’en rendre compte ».
La route sur laquelle ces jeunes circulaient se situe en surplomb du lac, bordée par une pente assez raide et très boisée. Leur véhicule a malheureusement chuté sans heurter un seul arbre, précipitant leur chute directement dans le lac glacé, et piégeant les victimes dans l’habitacle. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame.
Quatre lycéens, trois mineurs et un majeur, ont trouvé la mort ce mercredi soir à Doucier (39). Leur véhicule, conduit par une conductrice, a probablement glissé sur la chaussée, avant de terminer sa course dans le lac de Chalain. Selon nos informations, ils rentraient du lycée Paul Emile Victor de Champagnole. Une personne a pu s’extraire du véhicule et donner l’alerte. Cette dernière a été transportée sur le centre hospitalier de Lons-le-Saunier.
Ce mercredi soir, un jeune homme de 19 ans est toujours en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Dans l’après-midi, vers 14h, à la vue d’une patrouille de la BAC, il a pris la fuite au fond d’un hall d’immeuble, place Cassin, dans le quartier Planoise. Lorsqu’il a été interpellé, il était en possession d’une liasse de 910 euros de billets de banque.
A ce même endroit, un sac contenant 9 grammes d’herbe de cannabis, 175 grammes de résine de cannabis et environ 6 grammes de cocaïne a été découvert. Lors de son audition, il a reconnu la possession de ces produits « pour sa consommation personnelle ». Il nie avoir vendu à un autre homme, âgé de 40 ans, de la marchandise.