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Comme chaque été, la base nautique des Grangettes et les clubs partenaires organisent ce samedi la journée éco-aquatique. Il s’agit de la 13è édition.

Au programme ( animations gratuites) :

De 13h30 à 18h : animation nature
De 14h30 à 17h : nettoyage des rives du lac
A 21h : projection en plein air.

Le public est invité nombreux à participer à cet évènement.

A compter du 7 juillet, et jusqu’au 30 juillet, la direction Biodiversité et Espaces verts de la Ville de Besançon organise les « journées de Chailluz ». Il s’agit de nombreuses animations qui permettront à tout un chacun de découvrir la nature.

Au programme : des balades « découvertes » des insectes et des arbres, des spectacles vivants en musique, lecture et atelier tissage en plein air, grimpe dans les arbres ou encore activités ludiques et découverte des bois.

Les places sont limitées. Réservation obligatoire par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Toutes les infos sont à découvrir sur www.besancon.fr


Ce dimanche, les citoyens de la conférence citoyenne sur l’avenir des Vaîtes ont remis leur rapport à Anne Vignot, la Maire de Besançon. 80% des 51 participants ont donné un avis favorable, 5% ont voté contre et 15% se sont abstenus. Par ailleurs, 36% de ses membres soutiennent l’hypothèse d’aménagement sans construction de nouveaux logements et 44% soutiennent l’hypothèse d’aménagement avec construction limitée de logements.
Une chose est certaine à une très nette majorité, personne ne souhaite voir une modification profonde du quartier. Il est refusé catégoriquement l’idée de création de 500 logements neufs par an pour assurer une croissance de la population à Besançon. Si construction il doit y avoir, et en référence aux 300 logements proposés par an par d’autres études, il est signifié l’importance de réhabiliter ou transformer les logements vétustes existants, de friches artisanales, commerciales et industrielles, présents sur le quartier des Vaîtes ou plus généralement sur le territoire bisontin. Selon les représentants de ce collectif, il est primordial de « préserver et développer des espaces naturels. Et ce, en raison des enjeux environnementaux et climatiques ».

Neuf zones délimitées

Pour être le plus précis possible, les participants ont défini le quartier en neuf zones. Certaines devant être préservées « intégralement ». Si construction il devait y avoir, les nouveaux bâtiments construits devront l’être « avec un faible impact environnemental » et « des espaces verts devront être prévus ». Concernant l’école Tristan Bernard. La priorité reste le projet de réhabilitation de la structure actuelle, jugeant qu’un projet d’une telle ampleur « ne répond pas aux besoins » déclinés. Si une construction, là encore, est envisagée, elle devra s’effectuer « sur un autre périmètre ».

Suivi des préconisations

Concrètement, les membres de la conférence citoyenne demandent « qu’au cours des prochains conseils municipaux, une délégation soit présente ». Rappelons que le projet des Vaîtes sera à l’ordre du jour du Conseil Municipal du 30 septembre prochain. Ils demandent également « à être informés de toutes les décisions juridiques et politiques qui seront prises à propos des Vaîtes ». Enfin, méfiants, ils s’interrogent « sur la réelle prise en compte de (leur) avis ». Sur ce point, Anne Vignot les a également rassurés et leur a signifiés qu’elle leur répondra tout d’abord personnellement et qu’elle s’assurera du respect du suivi de cette démarche citoyenne.

Demain, samedi, l’association « Vivre au pied du Mont d’Or », soutenue par des élus et des associations franco-suisses, organise un action à la douane de Vallorbe. Il est prévu une distribution de tracts, avec barrage filtrant à hauteur de la douane.

L’objectif étant de dénoncer le projet éolien Bel Coster, qui prévoit l’installation de neuf éoliennes de 210 mètres de hauteur. Les manifestants pointent un projet qui va détériorer le paysage. Actuellement, un combat judiciaire est en cours.

Un recours a été déposé auprès du tribunal cantonal du canton de Vaud. D’autres actions juridiques sont prévues si le collectif est débouté.

L'interview de la rédaction : Le président de l'association "Vivre au peid du Mont D'or"

Une nappe verdâtre fluo, non identifiée, a été constatée sur le bassin baignade de l’étang de Brognard, dans le pays de Montbéliard. Selon les spécialistes de la biodiversité, il pourrait s’agir d’un développement d’algues microscopiques. Selon les sapeurs-pompiers, ces microphytes sont inoffensives pour la faune et la flore. Des analyses de l’eau sont néanmoins en cours pour vérifier cette hypothèse.

La Ville de Besançon demande une reconnaissance de l’état catastrophe naturelle pour la sécheresse de l’année 2020 auprès de la préfecture du Doubs. Comme les années précédentes, un certain nombre de propriétaires ont constaté des fissures sur leurs maisons et biens immobiliers, en raison sans doute de la sécheresse des sols. Le dossier est désormais dans les mains de l’état, qui statuera sur cette situation. La Ville rappelle que les propriétaires concernés doivent signaler les dégâts auprès de leur assureur.

Ce jeudi soir, les élus du conseil municipal de Besançon ont été doublement accueillis. Tout d’abord par des représentants des fonctionnaires des syndicats CGT et SUD venus exprimer leur opposition à la loi des 1607 heures. Cette réforme de la fonction publique, votée en 2019, prévoit, à compter du1er janvier 2022, le retour obligatoire aux 1607 heures annuelles de travail. Pour le syndicat CGT, « son application est une véritable régression sociale contraire aux valeurs portées par les partis politiques dont est issue la majorité municipale ». Et de poursuivre : « cette règle supprime des emplois, dégrade le service public et les conditions de travail ».

L'interview de la rédaction

 

Dans le même temps, les membres du collectif « RN + 5,7° pour une autre mobilité » sont venus dire tout le mal qu’ils pensaient du projet de doublement de la RN57 entre Beure et Micropolis, qui doit être discuté ce jeudi soir. Pour les manifestants, « cette construction va dans le sens de l’aggravation des dérèglements climatiques ». Il est également précisé que le GIEC vient de lancer des cris d’alarme qui montrent qu’il y a urgence à changer la façon de nous déplacer. Ce document expliquerait, selon les manifestants, que le doublement des voies de circulation provoquerait un renforcement du trafic, engendrant des nuisances et de la pollution supplémentaires.

L'interview de la rédaction

Dans le cadre de la gestion de la forêt communale et afin de permettre aux usagers une sortie plus sécurisée des camions grumiers, route des Granges, la Ville de Pontarlier, en coopération avec l'ONF, met en œuvre des travaux d'élargissement de route ainsi que de création de places de dépôt/retournement et des pistes de débardage.

Initialement prévus en mars, ces travaux ont été retardés et ont débuté le 22 juin pour se terminer le 30 septembre. Pendant ce laps de temps, l'accès à ce cheminement est interdit pour toute la durée des travaux (piétons, voiture, cycliste...). Les circuits 8 pédestre et le circuit 80 VTT seront impactés et connaitront des déviations.

De plus, la Ville est également engagée dans la lutte contre les scolytes, responsables d’importants dégâts sur les épicéas. C’est la raison pour laquelle les différents aménagements réalisés ont aussi pour objectif de sécuriser les lieux en ciblant les arbres dépérissant.

A l'occasion de la journée internationale du Lynx, ce samedi 12 juin, à la citadelle de Besançon, vous pourrez découvrir plus en détail cette espèce et les enjeux autour de sa préservation. « Il est essentiel de protéger le lynx » dit Marine Lemaire, chargée d'études faune, flore et biodiversité. En effet, en plus d'être une espèce protégée, il y a de forts enjeux autour de la préservation du Lynx, notamment sur la fragmentation de son territoire. Cette dernière, si elle est mal gérée, peut entraîner divers problèmes comme des collisions routières ou encore des problèmes de consanguinité à l'échelle du massif jurassien mais également alpin et vosgien.

L'objectif de cette journée est donc de mettre en lumière ces enjeux cruciaux autour de l'animal qui fait partie des symboles du Jura. Une journée de présentation et de sensibilisation pour que tout le monde connaisse l'espèce et les risques qu'elle encourt. C'est d'autant plus important de le faire ici puisque la Franche-Comté renferme le noyau de la population de l'espèce.

Ce rendez-vous est organisé avec la citadelle et la direction biodiversité et espaces verts de la ville de Besançon, en lien avec des partenaires comme le « Pôle Grands Prédateurs » ou encore « FERUS », première association nationale de protection et de conservation du loup, de l'ours et du lynx en France. Vous aurez l'occasion de retrouver des expositions, visites et animations dans de nombreux stands comme des diffusions de documentaires. La journée est ouverte à tout public, à savoir que pour les animations la jauge d'accueil sera limitée.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus pour une pollution aquatique à Rougemontot. Il s'agissait d'une légère irisation d'hydrocarbure sur un ruisseau se jetant dans une rivière de première catégorie La Beune. L'origine est due à un remplissage d'une cuve de fuel la veille chez un particulier.

Les secours ont pu stopper la pollution en posant des boudins absorbants et ainsi éviter une pollution aquatique dans cette rivière.