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Face à l’urgence climatique, les enjeux environnementaux sont sur le devant de la scène et une priorité pour beaucoup, professionnels comme particuliers. L’arrêt du glyphosate est notamment une des principales revendications des écologistes mais également une nouvelle ambition… pour la SNCF ! En effet, la compagnie ferroviaire a mis en place un chantier expérimental à proximité de Dole sur 5000 mètres carrés. Une première en Bourgogne-Franche-Comté. Ce chantier verra le réensemencement de plusieurs végétaux choisis pour correspondre aux contraintes ferroviaires et pédoclimatiques et ne demandant qu’un faible entretien. « Notre ambition est l’arrêt du glyphosate en le remplaçant par une solution plus verte. À la SNCF, on l’envisage pour 2021 – 2022 » explique Murielle Ehmig, doctorante en maîtrise de la végétation et élaboratrice du projet.

Cette expérimentation est l’objet d’une thèse qu’elle va mener sur trois ans. Un objectif de résultat ? « Non, l’idée est de comprendre les raisons d’une réussite ou d’un échec d’une telle expérimentation, déclare-t-elle. Si elle ne fonctionne pas, il faudra sélectionner de nouvelles espèces, semer à d’autres périodes… ». Le suivi sur le secteur de Brevans continuera après le dépôt de sa thèse, pendant cinq ans au total. « Trois ans, c’est court dans le domaine végétal. Comme il s’agit d’une expérimentation, c’est vraiment sur du long terme, le temps de voir si les espèces correspondent et s’il y a une concurrence avec celles déjà en place. On veut voir si l’expérience est concluante avant d’industrialiser le processus ».

 

Différentes contraintes à prendre en compte

Avant que ce chantier ne voie le jour, il a inévitablement fallu choisir les espèces. L’équipe est partie sur une base de données de 650 végétaux pour n’en retenir que quelques-uns. Par exemple, seulement quatorze espèces ont été choisies pour le deuxième chantier expérimental situé au sud de Paris, à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). Pour faire le tri, il aura fallu un an d’efforts et pour cause : les végétaux doivent répondre simultanément à différentes contraintes. La hauteur doit être limitée pour avoir une bonne visibilité de la voie. Une résistance aux piétinements est également demandée, afin de survivre aux passages des trains mais aussi des agents. Dans un même temps, ces végétaux doivent être fortement concurrentiels pour limiter le développement des espèces actuellement présentes et peu appétents pour les animaux. « Ce processus serait uniquement utilisé sur les voies de services [utilisées pour le passage des trains de fret ou le stockage des trains travaux, ndlr]. On part sur des voies peu utilisées pour éviter d’avoir certaines problématiques, concernant notamment l’enrayage ou le patinage des trains ». À savoir aussi que les voies peu empruntées sont souvent enherbées, prouvant que de la végétation peut pousser et donnant un terrain disposé à recevoir de nouvelles plantations. Sur le site de Brevans, quatre ont été ensemencées grâce à « l’hydromulching ». Cette méthode consiste en une projection hydraulique sur du « mulch », un mélange de matière organique, fibre de bois et cellulose, utilisé comme fertilisant. Elle permet de couvrir une large zone, parfois difficile d’accès, assez rapidement.

 

Une première en France

Seulement deux chantiers sont en expérimentation dans l’hexagone : à Brevans et Villeneuve-Saint-Georges. Mais le projet a la vocation de s’étendre. La SNCF établira d’autres sites test à partir de l’année prochaine, « le temps de recevoir les retours » précise Murielle Ehmig. Le long travail de sélection devra alors être réitéré, « puisqu’on ne peut pas utiliser la même végétation à Brest ou à Marseille. Le travail sera fait au plus près des régions pour répondre aux contraintes ». Une découverte pour la France, mais pas pour l’Europe, même si, d’après la doctorante, très peu pensent à cette technique. La SNCF collaborerait alors avec plusieurs compagnies ferroviaires du continent, notamment CFF en Suisse. « Ils ont une démarche à peu près similaire mais uniquement sur les pistes où les agents font leurs tournées ».

Si cette technique s’avérait convaincante, il serait proposé aux établissements ferroviaires de chaque région un outil d’aide à la décision avec un guide qui permettrait de choisir l’ensemencement adéquat le long des voies et planifier les travaux nécessaires.

La Ville de Besançon et Grand Besançon Métropole font savoir qu’ils ne pratiquent aucun démarchage téléphonique pour vendre des travaux d’isolation ou l’installation de chaudières. Pour tous renseignements, contactez l’Espace info Energie de l’ADIL du Doubs au 03.81.61.92.41 ou sur le site adil25.org

Une violente explosion de gaz s’est produite ce matin, vers 10h, au 24 de la rue du professeur Haag, à Besançon, dans un appartement situé au 1er étage d’un immeuble qui en compte quatre. Un homme de 84 ans est grièvement blessé. Il présente des blessures superficielles au visage et aux membres supérieurs, mais d’autres plus graves, liées à l’effet de souffle, sont soupçonnées par les secours. La victime a été transportée à l’hôpital de la ville.

Les causes et l'origine  précises de cette explosion ne sont pas encore clairement identifiées. Les pompiers ont néanmoins repéré un départ de feu au niveau de l’électroménager. Le bâtiment a été évacué. Quatre personnes ont dû le quitter provisoirement. Elles pourront le regagner lorsque les vérification d’usage seront terminées. Quant à l’appartement sinistré, il est inutilisable. Le dossier a été transmis à Grand Besançon Habitat, le gestionnaire des lieux.

Dans le dernier Besançon Votre Ville, Jean-Louis Fousseret, le Maire de Besançon, se félicite de la vitalité de sa ville. Chiffres à l’appui, l’édile argumente ses propos en évoquant les milliers de personnes qui se sont rendues à la nouvelle piscine de Chalezeule et la belle fréquentation des Mardis des Rives en juillet et août (18.300 spectateurs).

Fin juillet, la Citadelle avait enregistré 155.000 entrées. Que dire également du nouveau Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie qui, après un an seulement d’ouverture, atteindra 130.000 entrées d’ici le mois de novembre.

Mr Fousseret se félicite également du succès des premières manifestations automnales comme les Journée Européennes du Patrimoine, le festival détonation ou encore de la manifestation « Livres dans la Boucle Â».

La Ville de Pontarlier possède un important patrimoine forestier. Il s’agit donc de le préserver. Pour ce faire, vu l’état de santé de certains arbres, des travaux de coupe et d’entretien vont être nécessaires.

Les sapins situés à proximité du cimetière Saint-Roch ont d’ores et déjà été coupés. Ils avaient été attaqués par des scolytes et le risque de chute devenait de plus en plus important. Quant aux frênes situés le long de la route du Larmont, certains sont atteints par la chalarose un champignon qui fragilise l’arbre et entraîne sa mort. Un élagage de sécurité est donc prévu avant l’hiver. Pour les arbres malades ils seront également coupés.
Dans le secteur du Larmont, « un projet de replantation de feuillus sains est prévu Â» pour remplacer les arbres morts, explique la Ville de Pontarlier.

La Ville fait également savoir que les frênes plantés avenue de Neuchâtel seront surveillés en attendant le printemps où une décision sera prise afin de définir si une découpe est nécessaire ou non.

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