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Quatre personnes de la communauté tchétchène ont été mises en examen ce samedi après les violences qui se sont déroulées entre lundi et vendredi derniers à Dijon dans le quartier des Grésilles. Parmi eux, un homme de 53 ans de nationalité russe, ayant le statut de réfugié, jamais condamné, dans le Jura.

Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs en vue de la préparation de délits punis de 10 ans d’emprisonnement, participation à un groupement en vue de dégradations ou de violences. Il a été incarcéré. Jeudi, six personnes ont été interpellées, en différents lieux. 

Un homme d’une trentaine d’années a perdu la vie à Belfort. Il a été tué à l’arme blanche. Le meurtrier a réussi à prendre la fuite. La victime aurait été frappé à plusieurs reprises à l’abdomen.

Une altercation dans la rue serait à l’origine de ce drame. Les faits se sont produits dans le quartier de la gare. Une enquête a été ouverte.

Les sapeurs-pompiers du Doubs interviennent actuellement à Courcelles-les-Montbéliard pour le crash d’un avion de tourisme au décollage. Il n’y a pas d’incendie. On déplore deux victimes, légèrement blessées.

Selon l'OFSP, la Suisse compte ce samedi 31'243 personnes testées positives ( 26 cas depuis la veille ) et n’a pas déploré de décès ces dernières 24 heures.

Alors qu’il avait comparé le geste d’Anne Vignot, qui avait posé un genou à terre lors d’une manifestation contre le racisme à Besançon, à un symbole vichyste, le candidat régionaliste bisontin s’est ravisé. Il a finalement retiré la photographie qu’il avait collée à l’entrée du local de son mouvement au centre-ville de la cité comtoise.

Rappelons qu’en 1965, Martin Luther King avait posé un genou à terre lors d’une des marches pour le droit de vote. Ce geste est par la suite devenu un symbole de la non-violence. Jean-Philippe Allenbach assimile lui ce geste « Ã  une soumission au pouvoir Â», faisant référence « Ã  l’histoire de France Â».  

Mr Allenbach explique « qu’il  ne s’agissait  pas de faire passer Madame Vignot pour une personne d’extrême droite, ce  qui, évidemment, serait d’une stupidité complète Â». Et de poursuivre : « Quoiqu’il en soit et afin de calmer les esprits, c'est bien volontiers que nous avons retiré de notre vitrine la photo qui la dérangeait Â». « Mais combien de temps encore, va-t-on continuer à systématiquement recopier, sans même réfléchir, tout ce qui se fait aux Etats-Unis alors que leur histoire n’a rien à voir avec la nôtre ? Â» conclut-il.

L’histoire ne dit pas si Ludovic Fagaut, qui avait obtenu le soutien de Jean-Philippe Allenbach dernièrement, est intervenu auprès de ce dernier pour obtenir cette suppression.

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