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Ce samedi soir, le drive de dépistage du Covid-19 du Dr Mourras fermera ses portes afin d’offrir un centre de dépistage en intérieur durant les mois d’hiver. Ainsi, un nouveau site de dépistage ouvrira ses portes ce lundi 16 novembre, à 8h, au 6 rue des Causses à Besançon. Il est rappelé que ce site est réservé aux personnes considérées comme prioritaires. Les horaires du centre restent inchangés : du lundi au vendredi de 8h à 18h et le samedi de 8h à 16h.

17 jeunes, âgés entre 20 et 30 ans, ont été verbalisés à Levier car ils n’ont pas respecté les clauses du confinement. Prévenue par le voisinage, une patrouille s’est rendue au domicile de l’un d’eux ; où se tenait le rassemblement. Tous ont reçu une amende de 135 euros. La soirée s’est déroulée ce jeudi soir

Sans doute une bonne nouvelle pour le BesAC. Le club de basket de Besançon disputera bien son 16è de finale de Coupe de France mardi prochain, le 17 novembre, à 19h. Les bisontins iront défier Champagne Basket à Reims. Il s’agira du 3è match du BesAC en huit mois.

Cette rencontre sera historique pour le BesAC qui jouera pour la première fois en 16es de finale de Coupe de France et pour la première fois en compétition contre une équipe de l'élite hexagonale. Le match  sera diffusé en direct sur la chaîne Youtube de la Fédération Française de Basket.

L'intersyndicale CGT-FSU-SUD de l'Université de Franche-Comté (UFC) réagit au sujet des conditions dans lesquelles s'effectue le passage au "tout distanciel" pour les étudiants. Les syndicats déplorent la communication qui a été faite par l’université, mais aussi l’incurie complète qui règne au sein de l’institution. De plus, ils s’insurgent des propos de Jacques Bahi, le président de l’UFC, qui affirmait que les locaux seraient adaptés pour respecter les mesures imposées, et que l’université serait prête à répondre aux attentes matérielles. Rien n’a été fait selon l’intersyndicale. Michel Savaric, un des responsables de SUD Education, se désole des conditions sanitaires de l’Université de Franche-Comté, et dénonce « un effondrement du système Â».

« Les étudiants sacrifiés Â»

« Nous sommes prêts parce que nous avons financé toutes les composantes en matériel de captage vidéo, d’informatique, de réseau […] Si demain nous devons passer en distanciel, en semi-distanciel ou même en confinement, nous sommes tout à fait prêts pour assumer. Nous avons l’infrastructure et nous avons le matériel Â» déclarait Jacques Bahi le 6 octobre dernier sur l’antenne de France Bleu. Or, selon l’intersyndicale CGT-FSU-SUD, il n’y a eu aucune adaptation des locaux, et le passage au distanciel n’a absolument pas été anticipé. Michel Savaric affirme que tous les investissements et les équipements promis n’ont pas vu le jour à l’UFC. « Les étudiants sont sacrifiés Â» déplore-t-il. D’après le militant de SUD Education, l’université est incapable de fournir les conditions de la transmission des connaissances à distance. « On constate une incurie complète, un effondrement du système, et le passage au démerdentiel Â» conclut-il.

Des conditions sanitaires irréalisables

« Depuis la rentrée, rien n’a changé Â» affirme Michel Savaric. Selon lui, la distanciation sociale est impossible à respecter, dans un système « où tout est fait pour entasser le plus d’étudiants possible dans un espace restreint Â». Port du masque, bornes de gel hydro-alcoolique, ou flèches « purement symboliques Â» au sol, ont été les seules mesures mises en place. « L’université est incapable de protéger et d’assurer la sécurité de ses étudiants et du personnel Â» déplore le militant de SUD Education.

Europe Ecologie Les Verts dénonce les arrêtés pris par les huit préfectures de la région concernant « la mise en Å“uvre de dérogations au confinement en matière de régulation de la faune sauvage et de destruction d’espèces animales susceptibles d’occasionner des dégâts Â». Selon le parti « le ministère de la transition écologique cède sous la pression des chasseurs Â».

Selon le parti écologiste, « ces dérogations se fondent sur une démarche « préventive Â» et non sur des dégâts constatés et effectifs Â». Enfin, il est expliqué que ces dérogations « posent également une question évidente d’accès à la nature Â». Il est déploré « une absence d’équité dans la mise en Å“uvre de ce reconfinement Â».

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