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Une voix s’élève durant le procès de Jonathann Daval à Vesoul pour dénoncer les violences faites aux femmes. Carole, une maman d’une jeune de femme de 20 ans, exprime sa colère et son inquiétude sur des pancartes qui ne passent pas inaperçues. Ce mardi, alors que la famille d’Alexia Daval devait s’adresser au meurtrier présumé de la jeune femme, la militante est venue leur dire son soutien devant le tribunal. « Soutien aux proches Â» pouvait-on lire sur ce panneau rouge, rempli de cÅ“urs et de fleurs. Demain, mercredi, elle a promis d’être là, avec un message particulièrement destiné à Jonathann Daval cette fois-ci

« J’habite juste en face. Je suis féministe. Je défends les plus faibles. Je suis venue faire passer un message de soutien. Il y a trop de féminicides en France. En ce moment, avec le confinement, cela explose. Une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son mari et on ne fait rien. C’est intolérable Â» déclare-t-elle.

Lundi, en début de matinée, un homme nu, porteur d’un couteau, a été vu en train d’entrer dans un immeuble dans le quartier Planoise à Besançon. Lorsque les policiers se sont rendus chez lui, l’homme était en possession d’un cutter et d’un couteau. Son interpellation a été mouvementée. Placé en garde à vue, il a été remis en liberté, en attendant le résultat des expertises psychiatriques.

L’université de Franche-Comté a une nouvelle présidente. Avec 21 voix sur 35, Macha Woronoff a été élue ce mardi soir à la tête de l’établissement. Elle succède à Jacques Bahy. Mme Woronoff prendra officiellement ses fonctions le 1er décembre prochain. Elle sera entourée par une équipe de gouvernance dont les membres seront nommés lors de ce conseil d’administration.

Cette élection est loin de faire l’unanimité au sein de l’université. Beaucoup craignent un arrêt brutal de certaines formations. Le chantier de la nouvelle présidente s’annonce colossale tant les besoins sont nombreux et cruciaux au sein de l’université de Franche-Comté.

Macha Woronoff, professeure d’université en pharmacie clinique et praticien hospitalier au CHU de Besançon, devient ainsi la deuxième femme présidente de l’université de Franche-Comté.

Un individu a été interpellé le 16 novembre dernier, peu avant minuit, en possession d’une bombe lacrymogène dans le secteur de Planoise à Besançon. Il est très vite apparu qu’il n’avait pas respecté son contrôle judiciaire.

Ce dernier n’avait pas le droit de sortir la nuit. Il a été conduit manu militari au commissariat de la Gare d’Eau. Il s’est ensuite expliqué devant un magistrat instructeur.

Un jeune homme de 29 ans, domicilié à Métabief, a dû s’expliquer au commissariat de police de Pontarlier ce lundi car, lors d’un contrôle, il est apparu qu’il était en possession d’un permis de conduire non prorogé depuis 2012. L’automobiliste a expliqué qu’il n’était pas au courant. Son véhicule a été immobilisé. Son permis de conduire a fait l’objet d’une rétention.

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