Choix du secteur :
Se connecter :

La faute à qui ? A nous ! A notre changement d’habitudes en tant que clients. Ainsi note-t-on qu’aujourd’hui, moins de 20% des clients se rendent au moins une fois par mois dans leurs agences, préférant le site Internet ou l’application mobile de leur banque pour gérer leurs comptes.

Une tendance encore plus forte chez les Millenials, cette génération née entre 1990 et 2000, très attachée aux nouvelles technologies et à la rapidité des échanges. Souvent attirés par les établissements présents uniquement en ligne. Les banques doivent donc s’adapter et miser sur les innovations pour proposer une autre expérience client. Moins complexe, plus réactive et plus experte, cette clientèle étant particulièrement bien informée.

D’un simple clic, le client d’aujourd’hui veut avoir des réponses et des conseils avisés, une interaction avec sa banque comme une réelle valeur ajoutée. Cela passe donc par une réorganisation du réseau pour les banques avec inévitablement des fermetures d’agences pour réaffecter leur personnel aux nouveaux services.

Ce qui une fois encore risque de pénaliser une génération qui conserve l’habitude de se rendre au guichet pour une discussion physique plutôt que virtuelle. Et d’accroitre le sentiment d’abandon du milieu rural quand ces fermetures interviendront dans de petites communes.

Dans un numéro hors-série 60 millions de consommateurs consacre un dossier complet sur « ces aliments qui nous empoisonnent Â». Et on ne peut pas dire qu’il met en valeur le célèbre petit ourson de la marque LU fabriqué à Besançon. La lettre D, qui correspond à « un produit qui doit être consommé en quantité modérée et moins fréquemment Â» lui a été attribué.

Lulu n’a donc pas eu les faveurs du nutri-score, un système d’étiquetage officiel qui permet aux consommateurs de comparer les produits d’une même catégorie et identifier ceux qui sont à privilégier.

Les spécialistes ont ainsi révélé une concentration de quatre additifs, qui apportent au biscuit sa texture moelleuse. Toujours selon cette publication, « malgré la mention « riche en lait Â» sur la boîte, chaque ourson ne contient que 5% de lait en poudre.

Un biscuit (30g) apporte près de 5 grammes de lipides et plus de 9 grammes de sucre, soit 2 petits morceaux de sucre. Dans ces conditions, la sanction ne s’est pas fait attendre, « contrairement à ce qu’il suggère, ce produit ne constitue pas un goûter équilibré.

« D’une façon générale, toute vente, toute activité commerciale sur le domaine public sans autorisation, permis de stationnement ou permission de voirie délivrés par les autorités locales, est interdite » rappelle la Préfecture du Doubs qui ajoute : « Cette pratique pourrait être sanctionnée d’amendes et de possible confiscation des marchandises en application de dispositions du code de commerce et du code de commerce ».

Contrairement à une idée reçue laissant croire à une liberté totale d’installation le 1er mai, la vente de muguet sur la voie publique entre dans le cadre de ce dispositif réglementaire. « Certaines communes organisent elles-mêmes, par arrêté municipal, la vente de muguets par les particuliers : elles peuvent imposer des conditions particulières comme, par exemple : respecter une distance minimale par rapport aux boutiques de fleuristes, vendre du muguet sauvage, sans racine, ne pas ajouter d’autres fleurs ou verdure… »

La Préfecture invite donc tous les candidats à la vente de muguet à se rapprocher préalablement de la mairie du lieu d’installation envisagé pour connaître la réglementation applicable dans la commune.

C’est ce que demande Laurent Croizier, le Président du Modem du Doubs et conseiller municipal bisontin. Lors du dernier conseil municipal, avec sa collègue Odile Faivre-Petitjean, l’élu a proposé la création d’une brigade de nuit de la police municipale à Besançon. Une idée rejetée par la majorité municipale. Pour Mr Croizier, « la situation se détériore Â» dans la cité comtoise et il est important de mettre les moyens adéquats pour mettre un terme aux incivilités et autres méfaits. « Pour nous, cette proposition répondait à un double enjeu. Nous considérons tout d’abord que la sécurité et la tranquillité publique constituent un droit essentiel pour tous les citoyens. Les Bisontins doivent pouvoir circuler librement et se sentir en sécurité à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. D’autre part, la réponse nationale ne peut être la solution à notre problème local de sécurité, dont l’ampleur et la gravité ne cessent de croître Â» explique Mr Croizier.

C’est lors de ses différentes rencontres et échanges avec la population locale, mais aussi avec les policiers municipaux, que l’élu a constaté un mélange d’exaspération et d’inquiétude chez ses concitoyens. « Les Bisontins nous disent qu’ils ne se sentent pas en sécurité, notamment la nuit. Cela concerne aussi le centre-ville. Ces remarques émanent également des services de la police municipale bisontine Â» ajoute Mr Croizier, qui regrette que les effectifs de la police nationale la nuit « ne soient pas en phase avec les besoins Â» .

Si sa proposition restera dans les cartons pour le moment, Mr Croizier n’entend pas en rester là. Il annonce d’ores et déjà que le sujet de la sécurité sera très largement abordé dans les propositions que lancera son parti pour les municipales de 2020 à Besançon. La création d’une brigade de nuit, mais aussi l’armement de la police municipale y figureront en bonne place. « La sécurité est un enjeu du quotidien. Nous réfléchissons à une vraie politique de sécurité et de tranquillité publique à Besançon. La mise en place d’une brigade de nuit ou l’armement de la police municipale doivent faire partie d’une politique beaucoup plus globale. Une politique de prévention mais une vraie politique de répression Â» conclut-il.

L’info est reprise par la presse nationale. Hier, durant la pause méridienne, un homme de 58 ans s’est retrouvé enfermé dans un supermarché spécialisé dans le bricolage à Pont-de-Roide.

Au moment de la fermeture, personne ne s’est aperçue de la présence de ce client. Il a dû patienter jusqu’à 14h, avant de pouvoir retrouver la liberté.

Selon le journal «Aujourd’hui en France Â», les pompiers n’ont pas jugé nécessaire de se déplacer, la situation ne présentant aucune dangerosité.

Sous-catégories